Au-delà des programmes publics et des grands groupes, les petites et moyennes entreprises doivent contribuer plus largement au développement économique.
Selon les chiffres officiels confirmés par le FMI, en quatre ans de gouvernance Macky Sall, le Sénégal aurait trouvé un chemin de croissance réelle inédit dans son histoire : 2,6 % en 2011, 3,4 % en 2012, 3,5 % en 2013, 4,5 % en 2014, 6,5 % en 2015 et, en projection, 6,6 % en 2016 et 6,8 % en 2017.
PDG et fondateur de la Nouvelle Minoterie africaine (NMA), qui, en 2015, a racheté les célèbres Moulins Sentenac, Ameth Amar, 65 ans, est l’un des hommes d’affaires les plus influents du Sénégal.
Les députés béninois ont adopté jeudi à l’unanimité le budget d’exercice de l’État pour l’année 2017. Ce budget passe à 2 011 milliards de francs CFA contre 1 423 milliards en 2016, soit un accroissement de 41,24%.
Depuis 2003, la famille Kabila a mis en place un empire qui couvre un nombre considérable de domaines, selon une enquête de « Bloomberg ». Cette emprise très rémunératrice sur l’économie du pays expliquerait les réticences du président à quitter le pouvoir, estime l’agence.
Le chef du gouvernement burkinabè pilotait, en ce début de décembre, une levée de fonds à Paris pour financer sa stratégie de développement. Il a expliqué ses priorités à JA.
Comme la Banque mondiale, le Fonds monétaire internationale avait suspendu en avril 2016 son aide financière au Mozambique, après la découverte d’1,4 milliard de dettes absentes des statistiques officielles.
Le gouvernement nigérian a annoncé la découverte de l’équivalent de 6,9 milliards de dollars de créances supplémentaires dans les comptes publics. Selon Abuja, cette dette a été accumulée sous l’administration précédente.
Le président d’Eurogroup Consulting, qui accompagne par ses conseils les ambitions stratégiques du gouvernement, livre sa perception de la mutation du pays.
Dans son dernier rapport, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement constate que les 49 pays les moins avancés du monde, majoritairement africains, peinent toujours à profiter des fruits de leur croissance.
Géré par l’institution panafricaine, le Fonds africain de développement (FAD), dédié aux 38 pays d’Afrique à faibles revenus, reconstitue ses ressources pour les trois prochaines années. Mais ses moyens continuent de baisser…
L’enveloppe allouée par les partenaires du pays pour financer le plan quinquennal de développement a pulvérisé toutes les attentes et pourrait marquer un nouveau départ. À condition d’être honorée et utilisée à bon escient.
Nigeria, Côte d’Ivoire, Sénégal… Les régulateurs n’hésitent pas à mettre à l’amende les opérateurs lorsqu’ils ne respectent pas leur cahier des charges.
L’agence de notation financière salue les bonnes performances de la Côte d’Ivoire malgré un ralentissement de sa croissance. Fitch s’inquiète cependant de la baisse continue des prix du cacao et pointe la faiblesse de l’indicateur de développement humain par rapport à d’autres pays notés eux aussi B.
Les conflits juridiques, fiscaux ou douaniers entre gouvernements et grands groupes internationaux se sont multipliés sur le continent ces derniers mois. Malmenés par la crise des matières premières, de nombreux pays tentent de mieux défendre leurs intérêts.
Le Nigeria, pays membre du Partenariat pour un gouvernement ouvert (POG), dont le quatrième sommet mondial se clôture vendredi 9 décembre à Paris, s’est engagé à améliorer la transparence dans la gestion de ses affaires publiques. Si l’action de la société civile a permis la diffusion d’informations relatives aux deniers publics, les efforts restent insuffisants.
Au terme de la conférence PNDES à Paris, le Burkina a annoncé avoir reçu 16 milliards d’intentions de financement de la part des entreprises du secteur privé. Une somme très importante, mais sur laquelle très peu de détails ont été donnés.
Confronté à la récession en raison de la chute des prix du pétrole, la première économie d’Afrique essaie de se reconcentrer sur son agriculture, jadis florissante, et qui emploie toujours 70% de la population active.
Premier événement du genre en Algérie, le Forum africain pour les affaires et les investissements a marqué l’évolution d’une économie algérienne plus ouverte sur ses voisins mais encore très protectionniste par tradition.
Ouagadougou s’est vu promettre 12,2 milliards d’euros de la part de bailleurs de fonds tels que le FMI et la Banque mondiale pour le financement de son Plan national de développement économique et social (2016-2020) adopté en mai dernier.
La mondialisation (que les Anglo-Saxons appellent globalisation) est-elle une nouvelle révolution économique ? Elle a commencé il y a un quart de siècle, s’identifie avec le XXIe siècle, est en train de modifier les équilibres mondiaux, lentement mais sûrement.
A la tête de la présidence tournante du G20 pour un an, l’Allemagne entend en profiter pour encourager l’investissement sur le continent, où ses entreprises sont déjà solidement implantées.
L’Algérie est en quête de nouveaux partenaires, de préférence sur le continent. C’est dans ce contexte qu’intervient le Forum africain d’investissements et d’affaires, organisé par l’État et le patronat du 3 au 5 décembre.
À la veille du Rendez-Vous d’Alger, le président du Forum des chefs d’entreprise revient sur les retards du pays, les réformes et les propositions du patronat pour améliorer le climat des affaires.
En vigueur depuis 2009, la règle qui exige une participation nationale majoritaire dans les projets d’investissements étrangers va être assouplie. Mais pas question de l’abolir.
Le groupe Benhamadi et sa principale filiale sont considérés comme un modèle de réussite. Ils fabriquent leurs produits dans le pays et ont gagné nombre de marchés à l’étranger.