Le courant marocain du RMF a remporté dimanche les élections régionales du Conseil français du culte musulman (CFCM). Mais les divisions entre les différentes branches de l’islam de France n’ont peut-être jamais été aussi fortes.
Une vague de contestation sociale et/ou électorale balaie depuis plus d’un an les pays occidentaux, dont les gouvernements peinent à surmonter les séquelles de la crise. Dernier en date : l’Espagne.
L’élection de la Constituante tunisienne ne cesse de susciter des tensions. Lundi, la commission électorale a proposé de fixer une nouvelle date, entre celles du 24 juillet et du 16 octobre qui font polémique. La presse parle du 4 septembre prochain.
L’élection en Tunisie d’une Assemblée constituante pourrait avoir lieu en octobre, comme le souhaitait la commission électorale jusqu’alors seule à défendre l’idée d’un report. Les partis politiques et même le gouvernement y réfléchissent désormais.
À cinq mois de l’élection présidentielle, Paul Biya laisse planer le mystère sur sa candidature. En attendant, le pouvoir fait feu de tout bois pour juguler la grogne sociale.
Faisant fi de la décision du gouvernement de maintenir l’élection d’une Assemblée constituante en Tunisie à la date du 24 juillet, la commission électorale a établi un calendrier qui la reporte au 16 octobre prochain.
Le Front populaire ivoirien désire prendre part au gouvernement d’union nationale d’Alassane Ouattara mais demande l’amélioration de la sécurité pour les pro-Gbagbo et la libération des « camarades » détenus.
Le Conseil des ministres tunisien a tranché en faveur du maintien de la date du 24 juillet pour tenir l’élection de l’Assemblée constituante, prélude à l’élaboration d’une nouvelle Constitution devant marquer la fin de la période de transition.
Sur Twitter et internet en général, il était connu bien avant la révolution, pour ses prises de positions en faveur de la liberté d’expression. Slim Amamou a démissionné de son poste de secrétaire d’État après seulement quatre mois au sein du gouvernement de transition.
La Haute instance indépendante chargée d’organiser les élections de l’Assemblée constituante tunisienne s’est prononcée pour un report du scrutin, initialement prévu pour le 24 juillet, pour des raisons logistiques. Un temps opposé à cette idée, le Premier ministre Béji Caïd Essebsi semble s’être résigné.
Le parti au pouvoir en Afrique du Sud a remporté le scrutin des municipales avec 62 % des voix. Mais l’opposition réalise une forte progression par rapport aux dernières élections.
Bien que largement en tête aux municipales, le parti présidentiel voit ses positions s’éroder. Son incapacité à assurer l’accès aux services publics de base pour les plus pauvres lui a coûté des voix.
Dans une interview à la chaîne CBS, la secrétaire d’État américaine, Hillary Clinton, a affirmé que la femme de Mouammar Kadhafi, Safia, et sa fille, Aïcha, ont quitté la Libye pour la Tunisie. Une information qui reste pour le moment contredite par les autorités tunisiennes…
Le milliardaire déjanté va-t-il vraiment briguer, en mai, l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2012 ? Ou n’est-ce qu’un gigantesque coup de pub ? Quoi qu’il en soit, il multiplie contre Barack Obama les attaques au-dessous de la ceinture.
L’organisation Human Rights Watch estime que 800 personnes ont trouvé la mort en trois jours, dans la période de violences meurtrières qui ont suivi l’élection présidentielle d’avril dernier au Nigeria.
Le président d’Ennahdha, Rached Ghannouchi, ayant pris de la hauteur, c’est son secrétaire général qui se retrouve en première ligne pour refonder le mouvement islamiste tunisien. Et le réintégrer dans le paysage politique national.
Spécialiste de la finance, Michel Henry Bouchet enseigne à la SKEMA Business School de Lille, en France. Il détaille sa vision des enjeux de la révolution tunisienne et analyse les risques auxquels, selon lui, la Tunisie est désormais exposée.
Les Tunisiens n’en finissent pas de s’interroger sur l’origine des violences qui secouent actuellement le pays. Lors d’un discours dimanche soir, le Premier ministre Béji Caïd Essebsi a reconnu que des manipulations étaient à l’œuvre. Mais il n’a pas donné de détails et a également laissé planer le doute sur la date du 24 juillet, fixée pour l’élection d’une Assemblée constituante.
Après leurs parlementaires et leur président, les Nigérians ont élu leurs gouverneurs. Ce scrutin, crucial dans cet État fédéral, s’est déroulé dans un climat très tendu.
Les Tunisiens qui ont exercé des responsabilités au sein du RCD, l’ancien parti de Ben Ali, au cours des dix dernières années, ne pourront se présenter aux élections de l’Assemblée constituante, le 24 juillet prochain, selon le Premier ministre Béji Caïd Essebsi.
Parité hommes-femmes, inéligibilité des anciens du RCD, mode de scrutin… Plusieurs dispositions relatives à l’élection de l’Assemblée constituante, prévue en juillet, suscitent la polémique en Tunisie.
Saleh Kebzabo préside l’Union nationale pour la démocratie et le renouveau, principal parti d’opposition au Tchad. Il a renoncé à être candidat à la présidentielle du 25 avril.
Depuis l’élection présidentielle nigériane qui a vu la victoire du président sortant Goodluck Jonathan, les émeutes ont fait au moins 200 morts, selon l’ONG Civil Rights Congress. L’opposition appelle au calme mais conteste les résultats du scrutin devant la Commission électorale.
Le 1er juin à Zurich, le richissime homme d’affaires qatari tentera d’arracher la présidence de la Fifa à son ex-ami suisse, qui la détient depuis 1998. Une élection à couteaux tirés.
S’il a bien été accepté par la classe politique nigériane, le nouveau report des élections générales ne consolide pas l’image démocratique du Nigeria. Pis, il pourrait rapidement raviver des tensions politiques.
Le président malien Amadou Toumani Touré a pris encore une fois tout le monde de court en nommant la première femme chef de gouvernement de l’histoire du Mali. Outre les nombreux défis de la fin du second mandat d’ATT, Mariam Kaidama Cissé, une haut fonctionnaire déjà ministre à deux reprises, aura fort à faire dans un pays où l’autorité féminine peine à s’inscrire dans la sphère publique.
Pour son premier meeting depuis son retour en Tunisie, l’opposant Moncef Marzouki a appelé ses partisans à veiller à la sauvegarde de la révolution de janvier. Il a dénoncé le maintien de la répression policière héritée du régime Ben Ali.
Le second tour des élections législatives en Centrafrique devrait sans surprise porter le parti présidentiel au pouvoir. L’opposition dénonce les résultats du premier tour et boycotte ce second scrutin.