Alors que la Commission nationale de recensement des votes a proclamé Macky Sall vainqueur au premier tour, ses quatre concurrents viennent d’annoncer qu’ils ne déposeraient pas de recours devant le Conseil constitutionnel, bien qu’ils contestent les résultats.
Macky Sall a remporté la présidentielle dès le premier tour, selon les résultats provisoires proclamés ce jeudi par la Commission nationale de recensement des votes. Ces chiffres doivent encore être validés par le Conseil constitutionnel. Les quatre autres candidats ont annoncé ne pas vouloir déposer de recours devant le Conseil constitutionnel.
Le Sénégal attend avec fébrilité l’annonce jeudi des résultats, encore provisoires, du premier tour de la présidentielle qui a mis aux prises le président sortant Macky Sall, dont le camp revendique la victoire, à quatre opposants qui entendent le contraindre à un second tour à l’issue indécise.
Le président sortant Muhammadu Buhari a été réélu avec 56 % des voix, a annoncé mardi soir la commission électorale nigériane. Un résultat que conteste son opposant, l’homme d’affaires Atiku Abubakar. Selon Vincent Hiribarren, historien spécialiste du Nigeria, cette élection cristallise le « non-renouvellement de la classe politique nigériane ».
Alors que les résultats définitifs communiqués par la commission électorale (INEC) donnent Muhammadu Buhari réélu avec 56% des voix, son principal rival, Atiku Abubakar, a dans la foulée annoncé son intention de se pourvoir en justice pour les contester.
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika déposera le 3 mars sa candidature à un cinquième mandat auprès du Conseil constitutionnel, a annoncé son directeur de campagne, Abdelmalek Sellal.
Muhammadu Buhari a été réélu président du Nigeria avec 56% des voix, selon les résultats définitifs communiqués par la commission électorale (INEC) mercredi matin.
De nouvelles manifestations contre le cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika se tiennent aujourd’hui, mardi 26 février, dans plusieurs villes du pays, à l’initiative cette fois des étudiants. Cette journée fait suite à plusieurs mouvements de mobilisation à travers le pays, dont le plus important a eu lieu vendredi 22 février à Alger.
Des centaines d’étudiants protestent mardi sur un campus du centre d’Alger contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika, sourds aux appels du Premier ministre exhortant les manifestants à s’exprimer dans les urnes lors de la présidentielle du 18 avril.
Dénonçant un « détournement de processus électoraux d’une gravité inédite » lors de la présidentielle en RDC, le chercheur Gérard Gerold demande à la communauté internationale de briser ce qu’il qualifie de « silence complice ».
Ce dimanche 24 février, 6,6 millions de Sénégalais ont été appelés aux urnes pour désigner leur futur président. Au terme d’une journée de vote dont plusieurs missions d’observation ont salué le déroulement, la tension est montée d’un cran dans la soirée, avec le dépouillement des suffrages. Les premières tendances ont en effet amené les différents candidats à des revendications contradictoires.
Macky Sall a revendiqué dimanche soir, par la bouche de son Premier ministre, sa victoire dès le premier tour de la présidentielle. Un scénario impossible, selon Thierno Bocoum, responsable de la communication de la coalition d’Idrissa Seck.
À quelques heures de la proclamation officielle des résultats de l’élection présidentielle et parlementaires au Nigéria, Situation Room – un groupement de la société civile qui assure la surveillance du scrutin – a annoncé qu’au moins 39 personnes ont été tuées dans des violences liées au scrutin.
John Mahama, ancien président du Ghana, a été désigné candidat du principal parti d’opposition à la présidentielle de 2020 lors des primaires du Congrès national démocratique (NDC), samedi.
S’il fallait encore une preuve de la supériorité du degré de maturité démocratique du Sénégal par rapport à celui de la quasi-totalité des autres pays francophones du continent (et même de beaucoup de pays anglophones), la campagne pour l’élection présidentielle du 24 février vient de la fournir.
Au Sénégal, 6,6 millions d’électeurs étaient appelés aux urnes ce dimanche. Premières tendances, réactions, analyses… Retour sur une soirée électorale tendue, alors que les chiffres officiels ne sont pas encore connus.
En 2004 et en 2014, l’ancien Premier ministre était le candidat principal de l’opposition à l’élection présidentielle face à Abdelaziz Bouteflika. Le sera-t-il à nouveau dans moins de deux mois ? Interview.
Malgré un important dispositif policier, plusieurs centaines de manifestants étaient réunis dimanche en milieu d’après-midi dans le centre d’Alger pour s’opposer à un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika.
Le décompte des voix entre les deux favoris de la présidentielle, le chef de l’État sortant Muhammadu Buhari et l’opposant Atiku Abubakar, se poursuivaient dimanche au Nigeria, sans qu’aucun résultat officiel ne soit annoncé, même si les deux camps se proclamaient déjà vainqueur d’un scrutin généralement calme.
Meetings réglés au millimètre, militants convoyés par bus entiers, prises de paroles enflammées ou improvisations de débutant… Retour en images sur la campagne présidentielle sénégalaise, avec le photoreporter Sylvain Cherkaoui.
Idrissa Seck, candidat de la coalition « Idy2019 », a voté en fin de matinée dans une école élémentaire de Thiès, sa ville natale et son bastion électoral, à une soixantaine de kilomètres à l’est de Dakar.
Le président sortant a voté dimanche matin peu après 9h dans sa ville natale de Fatick, à environ 150 kilomètres au sud-est de Dakar. Il a salué la « forte mobilisation » de ses compatriotes, qui se rendent aux urnes ce dimanche pour le premier tour de l’élection présidentielle.
De nouveaux rassemblements, à l’appel d’un mouvement « citoyen », sont prévus dimanche en Algérie, dont un à Alger, pour s’opposer à un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, qui doit s’envoler dans la journée pour des examens médicaux en Suisse.
Après trois semaines de campagne animée, plus de six millions de Sénégalais sont attendus aux urnes dimanche pour départager le président sortant Macky Sall de ses quatre autres adversaires : Idrissa Seck, Ousmane Sonko, Madické Niang et Issa Sall.
Au cours des trois dernières décennies, le Sénégal a connu sept élections présidentielles pluralistes. Si la réélection au premier tour du président sortant a été la règle, les rares scrutins à deux tours ont été synonymes d’alternance.
Les bureaux de vote ont ouvert samedi matin pour les scrutins législatifs et présidentiel au Nigeria après le report des élections la semaine dernière. Un regroupement de la société civile a déjà recensé 16 morts dans des violences électorales.
Le principal parti d’opposition sud-africain, l’Alliance démocratique (AD), a promis de mettre un terme à la corruption qui entache l’ANC, le parti au pouvoir, en lançant samedi son manifeste en vue des élections législatives prévues en mai.
Un total de 41 personnes ont été arrêtées vendredi en Algérie, lors de manifestations contre un 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, a annoncé la police algérienne, au lendemain de rassemblements ayant fortement mobilisé à travers le pays.
Les Sénégalais sont appelés aux urnes dimanche pour élire leur président parmi Macky Sall, qui brigue un second mandat, et les candidats de l’opposition Ousmane Sonko, Idrissa Seck, Issa Sall et Madické Niang.