Les observateurs de l’Union européenne (UE) n’ont pas été invités à superviser les élections cruciales prévues en République démocratique du Congo le 23 décembre, à la différence de leurs collègues de l’Union africaine (UA), a-t-on appris lundi.
Dans un communiqué daté du 19 novembre mais publié une semaine plus tard, le Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine demande la levée des sanctions internationales, celles de l’UE en particulier, qui frappent Emmanuel Ramazani Shadary, candidat de la coalition au pouvoir à la présidentielle en RDC.
L’héritier désigné du président Joseph Kabila, Emmanuel Ramazani Shadary, a lancé sa campagne en assistant à une messe dans la cathédrale de Kinshasa, samedi, à quatre semaines de l’élection présidentielle du 23 décembre en République démocratique du Congo.
Vital Kamerhe et Félix Tshisekedi, deux candidats en lice pour la présidentielle en RDC, ont conclu un accord de coalition le 23 novembre à Nairobi. Le premier, qui se retire de la course présidentielle au profit du second, en explique les raisons à Jeune Afrique.
Pour proclamer les résultats définitifs du premier tour de la présidentielle malgache, la Haute Cour constitutionnelle doit trancher entre les attentes contradictoires des candidats. Si aucun recours ne peut être déposé contre elle, certaines de ses décisions restent controversées depuis le début de l’année.
Investiture par Benno Bokk Yakaar, mobilisation de la diaspora… Le calendrier de la campagne du chef de l’État, candidat à sa propre succession, se précise.
Les évêques du Togo ont appelé à des réformes constitutionnelles et institutionnelles avant les élections législatives prévues le 20 décembre, en accord avec la feuille de route de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao).
Un des deux finalistes de la présidentielle à Madagascar, Marc Ravalomanana, a fait volte-face mercredi, en annonçant, dans un souci d’« apaisement », le retrait des requêtes qu’il avait déposé devant la Haute Cour constitutiuonnelle.
L’opposition congolaise a été autorisée à manifester mercredi 21 novembre à Kinshasa pour accueillir un de ses candidats à la présidence de la République, Martin Fayulu, a-t-on appris mardi de source officielle.
À quarante-huit heures du lancement de la campagne électorale en RDC, Seth Kikuni, l’un des 21 candidats en lice pour la présidentielle du 23 décembre, a demandé ce mardi à la Ceni de reporter le scrutin.
À trois jours du coup d’envoi officiel de la campagne électorale pour le triple scrutin (présidentiel, législatif et provincial) en RDC, Emmanuel Ramazani Shadary, dauphin du président sortant Joseph Kabila, a dévoilé lundi 19 novembre son programme, qu’il chiffre à 86 milliards de dollars.
En discussion depuis plusieurs mois, l’amendement de la loi électorale a été examiné par la commission parlementaire concernée qui a décidé – à son niveau – d’augmenter le seuil de représentativité à 5%. Mort des petits partis ou efficacité renforcée ? L’impact d’une telle mesure fait débat.
Près d’un millier de partisans de Guillaume Soro étaient rassemblés le 18 novembre à Abidjan à l’occasion du 5e conclave du Raci, un mouvement dont le président de l’Assemblée nationale est le président d’honneur.
Dix ans après leur duel hors des urnes, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina se retrouveront de nouveau face à face, cette fois-ci pour le second tour de l’élection présidentielle malgache. Après l’annonce des résultats de la première manche, samedi 17 novembre par la Ceni, retour sur les principaux enseignements du scrutin.
Des responsables d’ONG partenaires de Y en a Marre ont été convoqués par les autorités sénégalaises. Le 16 novembre, l’association LEAD, son gestionnaire technique, a été notifiée de l’abrogation de son autorisation. Dans une note d’information, le mouvement citoyen dénonce des mesures d’intimidation visant à le faire disparaître.
La Fondation Kofi Annan, facilitatrice des pourparlers de Genève portant sur le choix du candidat commun, vient de publier la « lettre d’engagement » des sept leaders de l’opposition congolaise. Ces derniers s’étaient tous engagés à se retirer de la vie politique en cas de non-respect de l’accord.
Fraudes, corruption, intimidations… les trois anciens présidents, qui attendent toujours les résultats officiels du premier tour de la présidentielle du 7 novembre, rivalisent d’arguments pour discréditer le scrutin.
Près d’une semaine après le premier tour de l’élection présidentielle du mercredi 7 novembre, les équipes des trois candidats favoris s’opposent aux résultats encore partiels. Si personne n’a fait mention d’une future descente dans la rue, la tension monte.
24 heures seulement après sa signature à Genève, l’ « accord de coalition » sur une candidature commune de l’opposition a volé en éclats lundi 12 novembre. Mais que prévoyait-il ? Jeune Afrique vous livre en exclusivité le document.
Au lendemain du choix du candidat commun de l’opposition à Genève, Félix Tshisekedi, leader de l’UDPS, et Vital Kamerhe ont annoncé le 12 novembre le retrait de leur signature de l’accord de coalition conclu avec les cinq autres leaders de l’opposition. Adolphe Muzito et Freddy Matungulu ont, eux, réaffirmé leur soutien à Martin Fayulu.
Réunis depuis le 9 novembre à Genève, en Suisse, les sept principaux leaders de l’opposition congolaise sont finalement parvenus à se mettre d’accord sur une candidature commune à la présidentielle du 23 décembre, au terme de longues tractations.
Quatre jours après l’élection présidentielle à Madagascar, l’ancien président de la Transition, Andry Rajoelina reste en tête devant son rival, Marc Ravalomanana, selon les résultats encore partiels publiés ce dimanche par la commission électorale nationale indépendante (CENI).
Accusé de corruption par des candidats à la présidentielle du 7 novembre, le président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), Yves Herinirina Rakotomanana est sorti de son silence samedi et a réclamé des preuves à ses accusateurs.
Esquisse de son programme, machine à voter, fichier électoral… Quelques jours avant sa désignation comme candidat commun de l’opposition pour la présidentielle du 23 décembre en RDC, Martin Fayulu répondait aux questions de Jeune Afrique.
Deux des candidats favoris à l’élection présidentielle, Andry Rajoelina et Marc Ravalomanana, sont donnés au coude-à-coude par les premiers résultats très provisoires publiés par la Commission électorale. L’ambiance était déjà à la fête dans leur QG dès la fin des votes.
Les Malgaches, qui se sont déplacés dans les bureaux de vote, disent leurs espoirs que l’issue de cette élection présidentielle les éloignera définitivement des crises politiques. Si le scrutin s’est déroulé globalement dans le calme, quelques incidents ont ponctué la journée.
Quand se fera la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI) en Côte d’Ivoire ? Et quel en sera l’ampleur ? Au lendemain des élections locales du 13 octobre, le sujet est au centre du débat en Côte d’Ivoire.
Initialement prévue à Conakry, la réunion décisive des sept leaders de l’opposition congolaise aura finalement lieu le 9 novembre à Genève. Objectif : désigner un candidat unique et peaufiner un programme commun.
Le député congolais Sam Bokolombe, membre de l’équipe de l’opposant Moïse Katumbi, s’est déclaré lundi favorable à une nouvelle « rallonge » de la date de la présidentielle en RDC, prévue le 23 décembre. Une prise de position avec laquelle le parti de Katumbi prend ses distances.
Paul Biya a prêté serment mardi 6 novembre à l’Assemblée nationale pour son septième mandat. Le président camerounais réélu à l’issue du scrutin du 7 octobre, a notamment affiché sa « détermination » face aux sécessionnistes des régions anglophones.