Et de trois ! Après Jean Ravelonarivo le 4 août, puis Jean Omer Beriziki douze jours plus tard, c’est Olivier Mahafaly Solonandrasana qui, le 21 août, a confirmé sa candidature à la présidentielle de cette fin d’année.
La police sénégalaise a empêché mardi à Dakar un rassemblement du Front de résistance nationale (FRN), une coalition de l’opposition, visant à « défendre la démocratie ». Plusieurs manifestants ont été arrêtés.
La Cour constitutionnelle de la RDC a validé lundi la candidature de l’ancien Premier ministre Samy Badibanga à la présidentielle. Mais la polémique autour du recouvrement de sa nationalité congolaise est loin de s’estomper.
Huit militants du mouvement Lutte pour le changement (Lucha) ont été accusés mardi 4 septembre par un officier de police de destruction d’un véhicule en marge d’une manifestation qui s’est tenue la veille à Goma, dans l’est de la RDC, a annoncé le parquet.
Ibrahim Boubacar Keïta, a prêté serment, mardi 4 septembre, devant plus de 3 000 personnes. Alors que l’opposition continue à contester cette investiture, IBK a tenu un discours d’unité, tout en exigeant de la « loyauté » pour faire avancer la mise en place de l’accord de paix.
La Commission électorale congolaise a invalidé six candidatures à la présidentielle de décembre prochain. Mais les fondements juridiques à quatre des six rejets ne sont pas réunis, estime Botethi Beya Liandja, consultant indépendant qui participe à l’élaboration de rapports sur le processus électoral en RDC.
Membre de toutes les législatures depuis la fin du génocide, ce député du Parti social-démocrate a choisi de ne pas se représenter. Portrait d’un personnage clé de l’histoire du Parlement rwandais.
Le parti au pouvoir en Mauritanie et les islamistes sont arrivés en tête après les élections législatives, régionales et locales de samedi, selon les premiers résultats partiels disponibles le 3 septembre, a indiqué une source proche de la Commission électorale nationale indépendante.
Les Rwandais se rendent aux urnes lundi 3 septembre pour les quatrièmes élections législatives depuis la fin du génocide. Sauf immense surprise, le FPR, majoritaire depuis 2003, devrait conserver sa mainmise sur le Parlement, où l’opposition tente de se frayer un chemin.
Les résultats des élections législatives, régionales et locales de samedi arrivent au compte-gouttes en Mauritanie. De son côté, l’opposition dénonce des « fraudes massives » dans ce scrutin test pour le président Mohamed Ould Abdelaziz, à moins d’un an de la présidentielle de mi-2019.
Le chef de file de l’opposition refuse de reconnaître la victoire d’IBK à la présidentielle. Pas sûr pourtant qu’il soit en mesure d’inverser le rapport de force.
Des électeurs mauritaniens étaient contraints de jouer les prolongations samedi soir en raison de problèmes d’organisation lors d’élections législatives, régionales et locales considérées comme un test pour le régime du président Mohamed Ould Abdelaziz, à moins d’un an de la présidentielle de mi-2019.
À quatre jours des scrutins législatif, régional et municipal qui devaient se tenir le 1er septembre, la campagne électorale mauritanienne a été marquée par un petit coup de théâtre : l’homme d’affaires Mohamed Ould Bouamatou, en exil entre l’Espagne et la Belgique, s’est engagé résolument en faveur de l’opposition, pour la première fois de sa vie.
Au cours de l’audience sur le contentieux électoral entre Jean-Pierre Bemba et la Ceni, le procureur général de la République a demandé le 31 août à la Cour constitutionnelle de confirmer l’inéligibilité du candidat.
Après avoir longtemps travaillé dans la finance, au Luxembourg, Serge Jovial Imbeh est de retour à Madagascar où il a présenté sa candidature à la présidentielle du 7 novembre prochain. Portrait de cet outsider, qui espère faire sa place entre Hery Rajaonarimampianina, Marc Ravalomanana et Andry Rajoelina.
À la veille du premier tour des législatives en Mauritanie, samedi 1er septembre, le débat sur l’éventualité d’un troisième mandat du président Mohamed Ould Abdelaziz revient sur le devant de la scène politique. Les opposants montent au créneau, tandis qu’au sein du parti au pouvoir, les stratégies divergent.
Le parti d’Henri Konan Bédié a appelé le 29 août le gouvernement à modifier la date des prochaines élections régionales et municipales prévues le 13 octobre.
Être candidat ou candidate à une élection présidentielle en Afrique subsaharienne devient-il une affaire de demande solvable ? C’est la question que pose Thierry Amougou, économiste « hétérodoxe », qui met en garde contre ce qu’il qualifie de « pacte faustien » en train de s’installer entre démocratie et grand capital en Afrique subsaharienne.
La candidature de Frédéric Batumike, condamné à perpétuité pour plus de 40 viols sur des fillettes, a été jugée recevable par la Commission électorale congolaise (Ceni) pour concourir aux élections provinciales dans le Sud-Kivu. Face à la polémique, la commission a annoncé le 28 août des « corrections en cours ».
Un mois après la victoire du « oui » à un référendum constitutionnel très contesté qui doit lui permettre de rester à la tête de l’archipel, le président comorien Azali Assoumani a nommé un nouveau gouvernement.
Les organisations de la société civile maliennes n’ont pas été assez impliquées dans le processus électoral, faute de moyen et de volonté politique, ce qui a accentué le fort taux d’abstention lors de la présidentielle. C’est l’avis d’Ibrahima Sangho, à la tête du Pool d’observation citoyenne du Mali (Pocim), qui a déployé plus de 2 000 observateurs lors des deux tours du scrutin.
À quoi ressemblera le paysage politique ivoirien à l’aube de la présidentielle d’octobre 2020 ? En annonçant le 9 août que le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) se retirait du processus de création du parti unifié, Henri Konan Bédié a plongé le pays dans l’incertitude.
Trois mois après l’élection présidentielle, les électeurs maliens retourneront aux urnes les 28 octobre et 18 novembre pour des législatives, alors que la réélection du président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK) est toujours contestée par l’opposition.
Plus de 80 candidats ont fait part de leur intention de briguer la magistrature suprême en février 2019. Ils devront au préalable recueillir suffisamment de parrainages pour pouvoir concourir.
La publication des listes de candidats aux élections locales du PDCI et du RHDP a étalé au grand jour la confusion qui règne au sein des directions des principaux partis ivoiriens.
« Je ne suis pas candidat en 2021 et je soutiens la candidature du président Denis Sassou Nguesso », a annoncé Denis Christel Sassou Nguesso, lundi 27 août, affirmant vouloir mettre fin aux « polémiques ».
Le président du Zimbabwe Emmerson Mnangagwa a officiellement prêté serment dimanche, après plusieurs semaines de vive controverse sur les conditions de son élection le 30 juillet, jugée frauduleuse par l’opposition.
La commission électorale nationale et indépendante (Céni) a rejeté six des 25 candidatures à la présidentielle de décembre prochain en RDC. Celle de Jean-Pierre Bemba a été jugée « irrecevable » suite à sa condamnation par la CPI pour subornation de témoins.