Dans un courrier adressé au Premier ministre en date du 22 juillet, dont JA a obtenu copie, le directoire de campagne de Soumaïla Cissé considère que les réponses apportées par les autorités sur plusieurs anomalies relevées dans le fichier électoral sont « insuffisantes ».
Le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), un des deux grands partis de la coalition au pouvoir, a menacé dans une conférence de presse dimanche d’aller seul aux élections locales d’octobre. Il a également annoncé l’exclusion des frondeurs favorables au « parti unifié ».
Michelle Nyakudya écoute attentivement le discours d’un candidat de l’opposition à la députation au Zimbabwe. Elle se pince encore pour y croire, mais les faits sont là.
L’équipe du chef de file de l’opposition au Mali, Soumaïla Cissé, l’un des principaux candidats à la présidentielle du 29 juillet contre le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, a dénoncé vendredi d’importantes « anomalies » dans le fichier électoral, mettant en garde contre « ce qui s’apparente à une vaste tentative de fraude ».
L’engagement politique – sans pour autant être partisan – est nécessaire et indispensable pour faire bouger les choses, selon Alice Nkom, qui sensibilise les femmes à l’importance de participer aux scrutins.
Les élections municipales et régionales auront lieu le 13 octobre en Côte d’Ivoire, a annoncé mercredi le gouvernement dans un communiqué à l’issue du Conseil des ministres.
En campagne électorale, Ibrahim Boubacar Keïta, président malien sortant candidat à sa propre succession, s’est rendu jeudi à Kidal, dans une ville bouclée par les ex-groupes rebelles touaregs et les forces internationales.
Avenir politique du président Joseph Kabila, moratoire sur le vote des Congolais de l’étranger, rapports tendus entre la RDC et la Belgique… De passage à Paris, Emmanuel Ilunga, ministre en charge des Congolais de l’étranger, s’est confié à Jeune Afrique.
Alors que la campagne électorale entre dans sa deuxième semaine, Soumaïla Cissé, chef de file de l’opposition et principal adversaire du président sortant Ibrahim Boubacar Keïta, est à Sikasso, région-clé du sud malien.
En vue de la présidentielle du 29 juillet, les communicants français sont nombreux auprès des candidats, tels que Soumaïla Cissé, Ibrahim Boubacar Keïta, Cheick Modibo Diarra ou Aliou Boubacar Diallo.
Même si la plupart des pronostics le placent en tête du premier tour, rien n’est encore joué. Mais à deux semaines de la présidentielle malienne, Ibrahim Boubacar Keïta se veut serein, satisfait des efforts engagés et déterminé à les poursuivre.
Le président camerounais Paul Biya, 85 ans dont trente-cinq au pouvoir, a annoncé vendredi sa candidature à un septième mandat pour la présidentielle du 7 octobre prochain.
Les élections municipales au Cameroun, initialement prévues en 2018, ont été reportées d’un an, suite à un décret du président Paul Biya, lu à la radio d’État mercredi. Après la prorogation du mandat des députés, il ne reste donc plus que le scrutin présidentiel, prévu le dimanche 7 octobre.
Vingt-quatre candidats vont concourir à la présidentielle du 29 juillet au Mali, mais seuls quelques-uns sont en mesure de battre le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta. Qui sont-ils ? Quels sont leurs fiefs ? Quelles alliances ont-ils nouées ? Éléments de réponse.
Ils sont sept candidats à la présidentielle malienne à être passés dans le gouvernement de Ibrahim Boubacar Keïta, le président sortant, au cours des cinq dernières années.
Une visite du secrétaire général de l’ONU et du président de la commission de l’Union africaine en République démocratique du Congo est « inopportune » en cette période préélectorale, a affirmé dimanche un conseiller du président congolais Joseph Kabila.
Plus de 60 000 personnes ont assisté dimanche à Bamako au premier meeting de campagne du chef de l’État malien Ibrahim Boubacar Keïta, alors que son principal rival à la présidentielle du 29 juillet, Soumaïla Cissé, mobilisait également une foule de nombreux partisans.
Il est en convaincu, l’heure du changement a sonné. À 40 ans, le chef de l’opposition zimbawéenne Nelson Chamisa table sur sa jeunesse pour gagner la présidentielle et débarrasser son pays de la vieille garde qui le dirige depuis près de quarante ans.
La campagne pour l’élection présidentielle du 29 juillet a officiellement débuté samedi au Mali avec un dispositif de sécurité renforcé en vue d’un scrutin pour lequel vingt-quatre candidats sont en lice dans un pays toujours en proie à des violences jihadistes.
À 48 heures de la fermeture des bureaux de réception de la Ceni, la plupart des partis et regroupements politiques n’avaient toujours pas déposé vendredi les dossiers de leurs candidats aux provinciales. Quelles conséquences en cas de prolongation ?
La Cour constitutionnelle a proclamé ce 4 juillet une liste définitive de 24 candidats pour l’élection présidentielle du 29 juillet. L’ex-Premier ministre Cheick Modibo Diarra et les anciens ministres Mountaga Tall et Choguel Kokalla Maïga, qui avaient vu leurs candidatures rejetées la semaine dernière, en font partie.
Les députés camerounais ont adopté le 2 juillet le projet de report des élections législatives prévues avant la fin de l’année. Le gouvernement, qui tente de désengorger le calendrier électoral, devrait prochainement acter le glissement des municipales, alors que la date de la présidentielle n’a toujours pas été fixée.
Corneille Nangaa, le président de la commission électorale de la RDC, n’est pas épargné par les critiques, à moins de six mois du vote. Mais il promet un scrutin exemplaire.
Près de quatre mois après la présentation de son programme, l’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RDC, nomme 46 personnes au sein de son cabinet. Et se dit prêt pour les élections.
Un peu plus de 400 000 nouveaux électeurs ont été récemment enregistrés en Côte d’Ivoire. Des opérations « entachées d’irrégularités », a dénoncé lundi à Abidjan un avocat, y voyant une menace pour les scrutins à venir.
Le gynécologue congolais Denis Mukwege, plusieurs fois cité pour le prix Nobel, a invité dimanche ses compatriotes « à lutter pacifiquement » contre le régime du président Joseph Kabila plutôt que de miser sur les élections prévues le 23 décembre « dont on sait d’avance qu’elles seront falsifiées ».
Le populaire meneur du Collectif pour la défense de la République (CDR) a déclaré jeudi qu’il soutiendrait la candidature de Soumaïla Cissé à la présidentielle du 29 juillet. Un soutien de poids pour le principal challenger du président sortant IBK.
La révision de la liste électorale, du 18 au 24 juin, ne réglera malheureusement pas complètement le problème de la représentativité du corps électoral.