Les Sierra-Léonais étaient appelés aux urnes ce mercredi 7 mars pour élire le successeur du président Ernest Bai Koroma et voter pour les législatives. Un scrutin marqué par une forte affluence dans les bureaux de vote.
En pleine campagne pour la présidentielle prévue le 29 juillet prochain au Mali, Moussa Mara, l’ex-Premier ministre de Ibrahim Boubacar Keïta et le chef du parti Yelema, a rencontré plusieurs responsables en France du 26 février au 2 mars.
À l’approche de la présidentielle prévue le 29 juillet, le gouvernement dispose de cinq mois pour organiser des élections crédibles sur ce vaste territoire, dont certaines zones maîtrisées par des groupes jihadistes échappent au contrôle de l’État. Sécurité, logistique, financement, réclamations de l’opposition… Les défis à relever sont nombreux.
À l’approche de la présidentielle du 29 juillet, Mohamed Ag Erlaf, ministre de l’Administration territoriale du Mali, précise à Jeune Afrique le dispositif de sécurité prévu par le gouvernement, représentant l’un des principaux défis à relever.
Pour tenter de battre le président sortant Ibrahim Boubacar Keïta à la présidentielle du 29 juillet, les leaders de l’opposition tentent d’unir leurs forces dans un projet d’alliance. Rester à trouver le candidat qui sera chargé de porter leurs couleurs, et la liste est longue.
L’Alliance pour la démocratie au Mali-Parti africain pour la solidarité et la justice (Adema-PASJ), le principal allié de la formation d’Ibrahim Boubacar Keïta, présentera bien un candidat à la présidentielle du 29 juillet. Une décision qui ne fait pas l’unanimité au sein du parti.
Concurrents à l’élection présidentielle prévue ce mercredi en Sierra Leone, Samura Kamara, le ministre des Affaires étrangères qui portera les couleurs de l’APC, parti au pouvoir, et Julius Maada Bio, investi par le SLPP à Freetown, font figure de favoris.
Qui sont vraiment ces militants du PPRD qui se font appeler « Jeunes Leaders » et qui se disent prêts à en découdre avec les manifestants anti-Kabila dans les églises ?
À quelques mois de l’élection présidentielle du 29 juillet au Mali, les 64 partis politiques de la Convention de la majorité présidentielle (CMP) commencent à mobiliser leurs militants. Mais sur le terrain, c’est une unité à deux vitesses qu’on observe, entre ceux qui soutiennent déjà la candidature du président sortant IBK, et les autres…
Depuis plusieurs semaines, responsables politiques et membres de la société civile réclament une réforme Commission électorale indépendante (CEI). Marie-Paule Kodjo, porte-parole de la Plate-forme des organisations de la société civile pour l’observation du processus électoral en Côte d’Ivoire (POECI), expose ses griefs.
Comment savoir – et respecter – ce que le « peuple » veut vraiment ? La vérité est que tout le monde, dirigeants comme opposants, parle à la place du principal intéressé.
Plus d’un mois après la nomination d’un nouveau Premier ministre, la Guinée-Bissau n’a toujours pas de gouvernement et les législatives prévues en mai ne devraient pas avoir lieu avant novembre, ont indiqué des responsables politiques à l’issue de consultations avec le président José Mario Vaz.
Dans son dernier rapport publié ce jeudi, le Groupe d’étude sur le Congo, réunissant des experts indépendants, recommande au Conseil de sécurité de « faire de la tenue d’élections crédibles la principale priorité de la Monusco », la mission onusienne en RDC.
L’opposition sénégalaise réclame la démission du ministre de l’Intérieur Aly Ngouille Ndiaye, qui a déclaré sur une chaîne de télévision avoir « le souhait que le président Macky Sall gagne au premier tour » en 2019.
Désigné candidat du Social democratic front (SDF, opposition) pour la présidentielle de 2018, Joshua Osih succède, à 49 ans, à John Fru Ndi, légendaire président du parti. Jeune Afrique vous présente ce mordu d’aviation tombé dans la politique.
Crise anglophone, réforme de l’État, corruption, candidature commune de l’opposition… De passage en France depuis le 24 février, où il a rencontré la diaspora camerounaise, Akere Muna, candidat à la présidentielle d’octobre 2018, a répondu aux questions de Jeune Afrique.
L’Union pour la majorité présidentielle (UMP), a remporté une « large victoire » aux législatives du vendredi 23 février, a annoncé le ministre de l’Intérieur. Sans surprise.
Le gouvernement a annoncé un redécoupage électoral pour les sénatoriales, avec une réduction du nombre de sièges, dont le calcul est désormais basé sur le nombre de départements que compte chaque province. Pour l’opposition, cette réforme constitue une diversion à l’approche des législatives.
Ce lundi a été décrété « journée ville morte » à Conakry et dans ses environs par l’opposition guinéenne, qui conteste les résultats des élections communales donnant la victoire au RPG, le parti au pouvoir, et exige un nouveau scrutin. Des manifestations ont démarré dans plusieurs quartiers.
La formation islamiste tunisienne Ennahda a annoncé que Simon Slama, un juif tunisien mènerait la liste électorale qu’elle soutient à Monastir. Une annonce qui a fait grand bruit et « casse les idées reçues », selon son vice-président, Abdelhamid Jelassi.
Le Social democratic front (SDF) a investi samedi Joshua Osih candidat à la présidentielle de 2018, deux jours après le désistement du principal opposant, Ni John Fru Ndi, de la course à la présidentielle prévue en octobre.
À l’approche de la troisième marche des chrétiens en deux mois, prévue le 25 février en RDC, des leaders de l’opposition congolaise se joignent, l’un après l’autre, à l’initiative. Le dernier appel de soutien est celui de Moïse Katumbi, ce vendredi depuis Bruxelles.
En amont du congrès du Social Democratic Front, qui s’ouvre ce jeudi 22 février dans son fief anglophone de Bamenda, les candidats à la candidature SDF pour la présidentielle d’octobre 2018 se sont livrés à un combat en coulisse. Joshua Osih, figure montante dans le parti, pourrait se voir opposer son ascendance suisse.
Les premières élections sénatoriales ivoiriennes se tiendront le 24 mars prochain, a précisé ce mercredi Bruno Koné, le porte-parole du gouvernement. La campagne électorale se déroulera du 19 au 22 mars.
Six mois après les manifestations organisées par le Parti national panafricain (PNP) qui ont marqué le déclenchement de la crise politique au Togo, le dialogue politique s’ouvre ce lundi en présence du président ghanéen, Nana Akufo-Addo. Des discussions qui devraient durer une dizaine de jours et lors desquelles douze points doivent être abordés.
Près de deux semaines après les élections communales du 4 février, la majeure partie des résultats a été proclamée. Dans les communes urbaines, le RPG Arc-en-ciel, au pouvoir, est donné largement en tête. Mais il se trouve au coude à coude avec l’UFDG dans de nombreuses villes du pays, où l’UFR pourrait jouer les arbitres.
Alors que s’approchent les élections municipales et régionales, dont les dates n’ont pas encore été fixées, le parti de Laurent Gbagbo souhaite une grande concertation avec le gouvernement. La frange du FPI dirigée par Aboudramane Sangaré n’exclut pas de participer aux prochains scrutins.
C’est un mouvement qui s’inspire clairement du Balai citoyen burkinabè ou du Y’en a marre sénégalais. Comme ces collectifs, Togo Debout veut ratisser large et entend mobiliser notamment les déçus de la classe politique. L’objectif déclaré : l’avènement d’une « véritable démocratie » au Togo et une « transition démocratique ».
Le président congolais Joseph Kabila accueille ce mercredi à Kinshasa ses homologues du Congo-Brazzaville, Denis Sassou Nguesso, et de l’Angola, João Lourenço. Un sommet tripartite de 24 heures pour aborder des questions d’intérêt commun. Mais aussi du processus électoral en RDC.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a débuté vendredi soir la proclamation officielle des résultats des élections communales tenues le 4 février. Ces résultats très partiels, qui ne concernent que seize circonscriptions, consacrent l’avance du RPG Arc-en-ciel, au pouvoir, et son principal challenger : l’Union des forces démocratiques de Guinée.