L’opposant Jean Ping, qui conteste toujours la réélection d’Ali Bongo Ondimba à la tête de l’État gabonais en août 2016, veut faire « échouer » la révision de la Constitution voulue par le gouvernement et qui doit être débattue au Parlement prochainement.
L’audience prévue ce 2 novembre de la Cour suprême du Liberia portant sur des allégations d’irrégularités lors du premier tour de l’élection présidentielle du 10 octobre a été reportée à ce vendredi 3 novembre. La Commission électorale doit d’ici là suspendre toute procédure dans l’organisation du scrutin.
Lors d’une conférence de presse organisée ce mardi au siège du Rassemblement à Kinshasa, Félix Tshisekedi, le président de cette principale plateforme de l’opposition en RDC, a indiqué que les élections doivent se tenir « au plus tard en juin 2018 » à l’issue d’une « transition sans Kabila ».
La Commission électorale kényane a annoncé ce lundi 30 octobre la victoire d’Uhuru Kenyatta à l’élection présidentielle du 26 octobre, en dépit du fait que le scrutin n’a pas pu se tenir dans quatre comtés de l’ouest du pays, acquis à l’opposition, qui l’a boycotté.
Le parti au pouvoir au Liberia a contesté dimanche pour fraudes le résultat du premier tour de la présidentielle du 10 octobre, avant un second tour devant opposer le 7 novembre son candidat, le vice-président Joseph Boakai, à l’ex- star du footbal George Weah.
Le scrutin prévu samedi dans quatre comtés de l’ouest du Kenya, où l’élection présidentielle n’a pu avoir lieu jeudi en raison des violences, a été reporté sine die par la Commission électorale (IEBC), a annoncé vendredi son président, Wafula Chebukati.
L’opposant Raila Odinga avait appelé ses partisans à boycotter ce nouveau scrutin présidentiel qui se tenait jeudi, estimant que les conditions d’une élection crédible n’étaient pas réunies. Des violences ont émaillé la journée de vote. Au moins six personnes sont mortes.
Le Togo traverse une crise politique depuis un peu plus de deux mois, avec des manifestations quasi-hebdomadaires de l’opposition. Celles des 17 et 18 octobre ont fait apparaître de nouveaux acteurs dont l’existence inquiète la communauté internationale : les groupes d’auto-défense, communément appelés « milices ».
Si l’ancien footballeur est arrivé en tête du premier tour de la présidentielle, le second s’annonce bien plus serré. Comme Ellen Johnson-Sirleaf l’a fait en 2005, Joseph Boakai semble en mesure de le rattraper…
Alors que les bureaux de vote venaient d’ouvrir leurs portes ce jeudi 26 octobre au Kenya pour l’élection présidentielle boycottée par l’opposition, la police a dispersé des opposants tentant d’empêcher la tenue du scrutin dans plusieurs villes du pays. Les électeurs étaient peu nombreux à s’être déplacés dans la matinée.
La présidentielle camerounaise, prévue en octobre 2018, aura lieu dans moins d’un an. Une éternité, si l’on s’attache à la brûlante actualité du pays. Pourtant, de nombreux candidats se sont déjà déclarés, espérant concilier départ précoce et présence dans le sprint final.
Mercredi après-midi, lors d’un meeting à Nairobi, Raila Odinga a invité ses partisans à rester chez eux jeudi. Un peu plus tôt, la Commission électorale avait confirmé que le scrutin présidentiel se tiendrait bien le 26 octobre, malgré les appels à un report.
Un projet de loi tendant à modifier la composition et le fonctionnement de la Cour constitutionnelle suscite de l’inquiétude en RDC. Beaucoup, au sein de l’hémicycle, y voient un stratagème du régime du président Joseph Kabila pour affaiblir une juridiction indocile.
Zweli Mkhize, trésorier du Congrès national africain (ANC) se lance officiellement dans la course à la présidence du parti de Madiba. Sa candidature semble être le seul moyen de garantir l’unité de l’ANC et de lui éviter une défaite lors de la prochaine élection présidentielle.
Deux mois avant la fin de l’année, échéance prévue par l’accord de la Saint-Sylvestre pour la tenue des élections en RDC, le calendrier électoral n’est toujours pas connu. Ce qui fait dire à Ève Bazaiba, secrétaire générale du Mouvement de libération du Congo (MLC), que le pays s’approche d’une situation d’exception. Interview.
À l’issue d’une réunion de son bureau politique tenue à Kinshasa, l’Union pour la nation congolaise (UNC) de Vital Kamerhe a annoncé ce lundi le retrait du gouvernement de son cadre Pierre Kangudia, ministre du Budget.
Alors que les manifestations de l’opposition de succèdent depuis mercredi, avec son lot d’affrontements et de violences à Lomé et dans d’autres villes du pays, les nouveaux membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) ont prêté prêtent serment ce vendredi devant la Cour constitutionnelle. Une Ceni qui, avant même son installation, a été vivement critiquée par l’opposition.
Figure importante de la très controversée Commission électorale kényane (IEBC), Roselyn Akombe a déclenché une nouvelle tempête politique en démissionnant, mercredi 18 octobre. La désormais ex-commissaire dit craindre pour sa vie et se trouve aujourd’hui aux États-Unis. Elle explique à Jeune Afrique les raisons de sa démission.
Le leader de l’opposition kényane Raila Odinga a estimé le 19 octobre qu’il n’était pas trop tard pour faire les réformes qui pourraient l’amener à reconsidérer sa décision de se retirer du scrutin présidentiel du 26 octobre.
L’incertitude règne au Kenya, alors que la Commission électorale a perdu en légitimité et que l’opposant Raila Odinga s’est retiré de la course à la présidentielle. La crédibilité du nouveau scrutin prévu le 26 octobre est en jeu.
La plupart des leaders de l’opposition s’étaient rassemblés autour de la plateforme Touche pas à ma Constitution ! Désormais tous concentrés sur 2018, ils préparent leurs partis respectifs, et leurs candidatures, à la présidentielle.
Ancien Premier ministre, comptable de formation, Moussa Mara a accepté de répondre aux questions de Jeune Afrique au sujet de la révision constitutionnelle, du mandat d’IBK, de la prochaine élection présidentielle au Mali, et de la sécurité dans le pays.
Perdants du premier tour de la présidentielle, Charles Brumskine et Alexander Cummings pourraient bien détenir la clé du second en choisissant entre Joseph Boakai et George Weah, qui ont respectivement obtenu 29,1 et 39% des suffrages.
Plus de 3 millions d’électeurs seront appelés aux urnes le 7 mars 2018 pour les élections présidentielle, législatives et locales, après deux mandats du chef de l’État Ernest Bai Koroma.
Le sénateur George Weah, légende du football africain, et le vice-président Joseph Boakai s’affronteront au second tour de la présidentielle au Liberia, aucun candidat n’ayant obtenu la majorité absolue au premier, a annoncé dimanche la Commission élecorale.
Deux manifestants ont été tués vendredi dans l’ouest du Kenya au cours d’affrontements avec la police, des centaines de personnes ayant bravé l’interdiction de manifester pour faire entendre leur voix en vue de la présidentielle du 26 octobre.
Après une semaine d’accalmie, l’opposition a annoncé de nouvelles manifestations les mercredi 18 et jeudi 19 octobre, au moment même où le gouvernement a décidé d’interdire les marches pendant les jours ouvrables. Ce qui augure de nouvelles tensions dans le pays.
S’alignant presque sur la ligne de la Majorité présidentielle (MP), la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a laissé entendre que les élections reportées « au plus tard en décembre » auront finalement lieu en 2019. Connivence ou coïncidence ?
48 heures après le vote de mardi pour la présidentielle, le sénateur (et légende du football africain) George Weah et le vice-président Joseph Boakai étaient donnés en tête par les premiers résultats partiels annoncés le 12 octobre par la Commission électorale.
Le gouvernement kényan a interdit jeudi les manifestations dans le centre des trois principales villes du pays. Cette décision fait suite à l’appel de l’opposition à de nouveaux rassemblements, cette fois quotidiens, en amont de la présidentielle du 26 octobre.