Dans un entretien accordé à Jeune Afrique, Raila Odinga, candidat de l’opposition à la présidentielle, réagit à la décision la Cour suprême kényane d’invalider l’élection d’Uhuru Kenyatta et émet des craintes sur l’avenir immédiat de son pays.
Le Premier ministre tunisien a décliné sa liste d’urgences pour sortir le pays de la crise économique. Au passage, Youssef Chahed a aussi essuyé les critiques d’élus sur le retour d’anciens ministres de Ben Ali dans sa nouvelle équipe.
Le débat sur une éventuelle destitution du chef de l’État en raison de son état de santé reprend en Algérie. L’entourage d’Abdelaziz Bouteflika met pour sa part en garde contre les conséquences de cette demande sur la stabilité du pays.
L’opposition kényane aurait-elle des difficultés à financer sa campagne ? Un appel aux dons a été lancé vendredi par la coalition NASA, pour l’aider à mener la bataille en vue de l’élection présidentielle du 17 octobre.
Le président de la Commission électorale kényane (IEBC) a admis l’existence de défaillances dans la conduite de l’élection présidentielle du 8 août, invalidée par la justice, dans une lettre interne envoyée à son directeur exécutif et divulguée jeudi par la presse. Des affirmations dont se sont désolidarisés plusieurs membre de la Commission, plus que jamais menacée d’éclatement.
La large victoire du MPLA aux élections générales du 23 août a été confirmée mercredi soir par la Commission nationale électorale (CNE). Une annonce aussitôt contestée par l’opposition.
João Lourenço, le nouveau président angolais, sera investi le 21 septembre… si tout se passe comme prévu. Car, depuis la divulgation des résultats provisoires par la Commission nationale électorale (CNE), quelques jours après les élections générales du 23 août, les chiffres définitifs tardent à être publiés.
Plusieurs partis politiques ont appelé ce mardi au report des municipales prévues le 17 décembre prochain. Il s’agit des premières élections locales depuis la révolution de 2011, sept ans tout juste après l’immolation de Mohamed Bouazizi.
Le leader de l’opposition kényane, Raila Odinga, a énuméré mardi 5 septembre devant la presse une série de conditions à sa participation à l’élection présidentielle du 17 octobre, date choisie par la Commission électorale après l’invalidation du scrutin du mois dernier.
Le recensement des électeurs dans les deux provinces du Kasaï n’a pas commencé ce lundi comme l’avaient annoncé les autorités, selon plusieurs sources consultées par l’AFP.
Le président guinéen et président en exercice de l’Union africaine a salué la décision de la Cour suprême du Kenya d’invalider les élections présidentielles du 8 août dernier. Alpha Condé applaudit « un comportement qui honore l’Afrique et prouve que désormais la démocratie s’installe sur le continent ».
Le président kényan Uhuru Kenyatta a vertement critiqué samedi la Cour suprême, au lendemain de l’annulation historique de sa réélection, et exclu tout remaniement en profondeur de la controversée Commission électorale, chargée d’organiser le nouveau scrutin d’ici le 31 octobre.
La stupeur domine au sein du clan de Uhuru Kenyatta, après l’invalidation, vendredi 1er septembre, de la réélection du président sortant par la Cour suprême.
Dans un discours à la nation, retransmis en direct à la télévision, Uhuru Kenyatta a déclaré vendredi 1er septembre « ne pas être d’accord avec la décision aujourd’hui de la Cour suprême, mais la respecter ». Quelques heures plus tôt, celle-ci invalidait à la surprise générale sa victoire à l’élection présidentielle, en raison « d’illégalités et d’irrégularités » constatées lors du scrutin.
Si l’opposant Raila Odinga garde encore une chance de remporter enfin la présidentielle après la décision ce vendredi d’annuler le scrutin présidentielle au Kenya, Isaías Samakuva n’a pas pu, cette fois encore, se faire élire à l’issue des élections générales en Angola. Et la liste de ces opposants africains et candidats malheureux à la magistrature suprême est bien longue. Portfolio.
Déjà large vainqueur des élections législatives qui se sont déroulées il y a un mois, le PCT, parti du président Denis Sassou Nguesso, a sans surprise remporté haut la main les élections sénatoriales, selon les résultats officiels publiés vendredi.
La Cour suprême kényane a invalidé ce vendredi l’élection d’Uhuru Kenyatta et ordonné l’organisation de nouvelles élections sous 60 jours. Cette décision est définitive.
Alors que les membres de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) sont réunis à Kananga pour évaluer le processus d’enrôlement des électeurs, achevé selon elle à près de 98 %, la polémique enfle à propos des chiffres publiés dans certaines provinces.
Au terme de deux semaines marathon d’examen du recours déposé par l’opposant Raila Odinga contre la réélection d’Uhuru Kenyatta, tous les yeux sont tournés vers les sept juges de la Cour suprême. Demain, ils pourront valider l’élection d’Uhuru Kenyatta, ou l’annuler et ordonner l’organisation d’un nouveau scrutin. Le point sur les enjeux.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) a organisé le 26 et le 29 août les deux tours de l’élection des gouverneurs dans huit provinces de la RDC où les postes étaient vacants.
La Cour suprême kényane a commencé lundi l’examen sur le fond du recours déposé par le candidat malheureux à l’élection présidentielle, Raila Odinga. Celui-ci conteste la victoire du président sortant Uhuru Kenyatta lors du scrutin du 8 août.
Alors que les résultats provisoires des élections générales du 23 août, contestées par l’opposition, donnent vainqueur le MPLA et son nouveau leader João Lourenço, la chercheuse à l’Institut sud-africain des relations internationales Paula Cristina Roque annonce une nouvelle ère pour le pays même si, dit-elle, les proches de l’ancien président devraient continuer de tirer les ficelles en coulisses. Interview.
Abdelaziz Bouteflika a convoqué les élections locales le 23 novembre prochain. Ce sera le baptême du feu pour le parti d’opposition Talaie El Houriat, qui fêtera ses deux années d’existence officielle en septembre.
Les deux grands partis d’opposition refusent de reconnaître la victoire du MPLA aux élections générales mercredi dernier, malgré la validation unanime vendredi des observateurs internationaux.
Au pouvoir depuis quatre décennies en Angola, le Mouvement populaire pour la libération de l’Angola (MPLA) a remporté les élections générales disputées mercredi avec plus de 64 % des suffrages, a annoncé jeudi la Commission nationale électorale (CNE).
Les Angolais ont voté dans le calme mercredi pour choisir un successeur au président José Eduardo dos Santos, qui a décidé de quitter le pouvoir au terme d’un règne de trente-huit ans à la tête de son pays. Le dépouillement a immédiatement débuté et devrait livrer ses premiers résultats d’ici vendredi.
Le coordonnateur du mouvement citoyen Filimbi détaille, dans une interview à Jeune Afrique, la nouvelle stratégie de la société civile congolaise face au président Joseph Kabila. Au passage, il répond aux critiques que le lancement de ce manifeste a suscitées.
À l’issue d’une la réunion de la SADC (la communauté de développement d’Afrique australe) organisée à Pretoria, le président sud-africain Jacob Zuma a approuvé, dimanche, la nomination d’un envoyé spécial en République démocratique du Congo (RDC) qui aura pour mission « suivre le processus électoral ».