Emmanuel Macron peut-il échapper à la malédiction qui, depuis plus d’un demi-siècle, semble frapper ceux qui ne se reconnaissent ni dans la droite ni dans la gauche ?
Entre coups fourrés et coups de théâtre, effondrements et résurrections improbables, la campagne présidentielle ressemble de plus en plus à un délirant jeu de massacre. Du jamais-vu depuis la création de la Ve République !
Alors qu’il devra faire face mercredi aux juges d’instruction dans le cadre de l’enquête sur des soupçons d’emplois fictifs concernant son épouse, le candidat de la droite à l’élection présidentielle a été la cible dimanche de nouvelles révélations. Selon le Journal du dimanche (JDD), François Fillon se serait fait offrir pour 48 500 euros de costumes sur-mesure depuis 2012.
Le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, a demandé le 10 mars au Conseil de sécurité d’envoyer 320 Casques bleus supplémentaires en République démocratique du Congo par crainte de possibles poussées de violence avant les élections, prévues fin juin.
La Commission électorale gambienne (IEC) a commencé à enregistrer les candidatures au scrutin législatif du 6 avril, le premier de l’ère post-Yahya Jammeh, selon un de ses responsables vendredi, alors que la coalition de l’ex-opposition menace de se défaire.
Le chef du gouvernement ne veut pas des socialistes de l’USFP dans son équipe, quand le le secrétaire général du RNI, Aziz Akhannouch, refuse d’y siéger sans eux. Qui aura le dernier mot ?
Et si Barack Obama venait coiffer au poteau Emmanuel Macron, Marine Le Pen, Benoît Hamon, François Fillon, Jean-Luc Mélenchon et les autres candidats à la présidentielle française ?
François Fillon a décidé de maintenir sa candidature à l’élection présidentielle, malgré l’annonce dans la matinée de sa convocation par les juges d’instruction à la suite des révélations sur le présumé emploi fictif de son épouse.
Les différentes tendances issues du mouvement kabyle adoptent des postures différentes alors que les élections législatives se rapprochent. Tour d’horizon, du boycott à la participation.
Les évêques catholiques, médiateurs des pourparlers en cours en RD Congo, ont reconnu ce vendredi que l’opposant Étienne Tshisekedi, décédé début février, avait laissé une lettre au président Joseph Kabila. La missive produira-t-elle l’effet escompté ? Rien n’est moins sûr.
Face aux blocages qui empêchent l’application de l’accord de la Saint-Sylvestre, la Lucha a dénoncé ce mercredi les « interminables » pourparlers politiques en cours à Kinshasa. Le mouvement citoyen exige le retour à l’ordre constitutionnel d’ici la fin de l’année.
L’épouse de Robert Mugabe, Grace, a évoqué publiquement le possible décès décès de son époux ce vendredi. La Première dame a affirmé que, même mort, celui-ci serait confortablement réélu à la présidentielle. Il s’apprête à fêter ses 93 ans.
L’union des partis d’opposition, appelée Icso, s’est divisée hier entre ceux qui veulent participer aux prochaines législatives et ceux qui les boycottent. Un premier pas vers la dissolution ?
L’ancien Premier ministre somalien, Mohamed Abdullahi Farmajo, a été élu président ce mercredi, à l’issue d’un vote des parlementaires placé sous haute sécurité.
Pour se forger une image de parti citoyen, le parti d’Ilyas El Omari a décidé de restituer à l’État les indemnités perçues par ses parlementaires durant la période où ils étaient au chômage. Il veut contrecarrer les islamistes sur le terrain de la moralisation de la vie politique.
Au pouvoir depuis 37 ans, le président José Eduardo dos Santos a confirmé vendredi qu’il ne se représenterait pas à la présidence de l’Angola lors des élections d’août et qu’il cédait sa place à l’actuel ministre de la Défense, João Lourenço.
Fin du suspense en Algérie. Les élections législatives auront lieu jeudi 4 mai 2017, a annoncé dans un communiqué la présidence de la République. Elles se tiendront dans un contexte économique particulièrement tendu.
Les premiers scrutins municipaux de l’après-révolution se tiendront d’ici la fin de l’année en Tunisie, grâce au déblocage intervenu la veille au Parlement, a confirmé Chafik Sarsar, le président de l’Instance électorale (Isie).
Ce n’est peut-être pas une mission impossible, mais celle-ci est assurément difficile. Erwan Davoux, 45 ans, est candidat pour Les Républicains (LR) dans la 9e circonscription des Français de l’étranger (Afrique du Nord et de l’Ouest). Il s’agit de sa première campagne législative.
Benoît Hamon a été désigné ce dimanche candidat de la gauche pour la présidentielle de 2017, à l’issue du second tour de la primaire qui l’opposait à Manuel Valls. Si la route reste longue jusqu’à l’Élysée, le socialiste a déjà parcouru du chemin, du Finistère à Solferino en passant par Dakar et SOS Racisme. Portrait d’un socialiste pur jus.
Les tractations ont duré toute la nuit du vendredi à samedi, au centre interdiocésain de Kinshasa. Au petit matin, le document additif de mise en oeuvre de l’accord politique de la Saint-Sylvestre n’avait toujours pas été signé. Et la piste d’un référendum est de nouveau évoquée.
La ministre des Affaires étrangères kényane, candidate au poste de présidente de la Commission de l’Union africaine, a reçu Jeune Afrique en marge du 30e Conseil exécutif du Sommet de l’Union africaine.
Selon des sources officielles, le retour du nouveau président gambien dans son pays est prévu jeudi après-midi. Depuis le 15 janvier, Adama Barrow est en exil à Dakar, où il a attendu que Yahya Jammeh cède le pouvoir, ce que ce dernier a fait samedi dernier.
Depuis l’éclatement de la crise politique en Gambie, en décembre, de très nombreuses personnes ont fui le pays par crainte de troubles. Selon l’ONU, au moins 8 000 d’entre elles seraient de retour depuis le départ en exil de l’ex-président Yahya Jammeh.
Dans un palais présidentiel gambien qui se réorganise, les responsables de l’ordre protocolaire avaient besoin de savoir quelle épouse du polygame Adama Barrow devait être qualifiée de “first lady”. L’élu a tranché sur une chaîne de télévision sénégalaise…
Plus de vingt jours après la signature de l’accord politique global et inclusif en RDC, les modalités de son application tardent à être adoptées. Principal blocage : le partage des postes. Au grand dam des évêques congolais, médiateurs de ces tractations, qui l’ont fait savoir dimanche.
Le Premier ministre mauricien, Sir Anerood Jugnauth, communément appelé SAJ, a présenté ce lundi sa démission à la présidente Ameenah Gurib-Fakim, qui a nommé son fils Pravind Jugnauth pour le remplacer. Un successeur contesté par l’opposition qui réclame la tenue d’élections.