Sur un ton sévère, Mohammed VI a appelé vendredi les nouveaux députés et les fonctionnaires du royaume à assumer leurs devoirs envers les Marocains. « Sans citoyen, point d’administration », a-t-il martelé.
S’il a été convenu de donner le poste de Premier ministre à la frange de l’opposition qui participe aux pourparlers en cours à Kinshasa, le nom du futur chef du gouvernement ne sera pas inscrit dans l’accord politique devant être conclu. En conséquence, même si Vital Kamerhe paraît être le favori, d’autres opposants croient encore à leur chance.
Considéré comme le père fondateur de la Tanzanie, Julius Nyerere disparaissait le 14 octobre 1999 à l’âge de 77 ans. À l’occasion de l’anniversaire de sa mort, Jeune Afrique revient sur son héritage.
Alors que le candidat républicain à la présidence Donald Trump a récemment été accusé d’agressions sexuelles par le New York Times, la Première dame américaine Michelle Obama s’est dite « glacée jusqu’à la moelle » par l’attitude « effrayante » du milliardaire.
Après la démission surprise de leur chef, Salaheddine Mezouar, les libéraux du RNI ont sollicité mercredi Aziz Akhannouch pour lui succéder, dans l’attente d’un congrès extraordinaire qui aura lieu le 29 octobre. Retour sur le parcours d’un patron devenu ministre et, prochainement, chef de parti.
La mouvance, l’opposition et les observateurs que sont la communauté internationale et la société civile guinéenne ont signé, mercredi 12 octobre un accord. Il aborde comme prévu des points tels que les élections locales ou l’indemnisation des victimes de violences politiques.
Sans surprise, le chef du PJD, vainqueur des législatives du 7 octobre, a été reconduit comme chef du gouvernement. Prochaine étape : formation de son équipe ministérielle.
Les formations historiques ont cédé la place aux deux partis vainqueurs des élections du 7 octobre, confirmant la polarisation du parlement marocain. Jeune Afrique passe en revue les tops, les flops et les alliances à venir.
Alors que le dialogue politique en cours à Kinshasa se heurte à plusieurs blocages, le président Joseph Kabila a réuni dimanche ses lieutenants dans l’est de la capitale congolaise. Objectif : accélérer les pourparlers pour obtenir un accord politique avant le sommet international de Luanda, prévu le 26 octobre.
Ce lundi la dynamique électorale reste favorable à Hillary Clinton dans la course à la présidence américaine, qui doit se tenir en novembre. Le deuxième débat l’opposant au républicain Donald Trump hier a pourtant tourné à l’affrontement.
La Cour constitutionnelle a tranché, Ali Bongo Ondimba a été réélu. Ce n’était pas gagné : abandonné par son parti, lâché par ses anciens alliés, confronté à des opposants plus remontés que jamais, le chef de l’État revient de loin.
La République démocratique du Congo (RDC) est au seuil d’une crise politique profonde et historique, à l’issue très incertaine et aux conséquences sûrement imprévisibles pour la paix et la stabilité dans la sous-région d’Afrique centrale.
Le lendemain de l’annonce des résultats des législatives du 7 octobre, le secrétaire général du Rassemblement national des indépendants (RNI) a présenté sa démission à ses collègues du bureau politique. Le président de la Cop22 dit assumer la débâcle de son parti.
A la veille du deuxième débat contre Hillary Clinton, la campagne de Donald Trump pour la Maison Blanche est secouée comme jamais. Le candidat républicain a dû s’excuser pour des propos de 2005 où il se vante d’imposer son désir aux femmes.
Les résultats provisoires publiés par les autorités marocaines montrent que peu d’électeurs s’étaient déplacés à 17 heures, deux heures avant la fermeture des bureaux de vote.
Mis à part les écoles publiques, fermées pour accueillir les bureaux de vote, c’est une journée quasi-normale que vit Casablanca. L’affluence dans les bureaux de vote reste assez timide à la mi-journée.
La première tendance du vote vient de tomber. Mais il faudra attendre la fin de la journée car beaucoup de Marocains ne prennent le chemin des urnes qu’après la prière du vendredi et à la sortie des bureaux.
Les bureaux de vote ont ouvert à 8 heures du matin pour accueillir les 16 millions d’électeurs marocains. Les premières tendances commenceront à tomber ce soir-même.
Kennedy-Nixon, Carter-Ford, Reagan-Mondale, Bush-Gore… Leurs duels télévisés ont marqué l’histoire de la présidentielle. Phrases assassines, traits d’humour ou gaffes : au tour de Clinton et Trump de jouer.
Le Rassemblement national des indépendants (RNI) a débarqué en force mercredi à Guelmim, au sud du Maroc, pour soutenir la candidature d’une des stars du parti : la ministre M’barka Bouaida. Jeune Afrique a été du voyage.
Le Conseil National de Dialogue Politique (CNDP) a annoncé mercredi, par la voix du Premier ministre, un nouveau report des élections locales, qui devaient avoir lieu le 8 janvier 2017. Le parti au pouvoir, qui soutient l’initiative, évoque le manque de financement et l’impréparation de la Commission électorale nationale indépendante (Ceni).
Le PJD a changé la donne dans cette ville qui donnait historiquement sa voix aux socialistes de l’USFP. S’il est assuré d’y gagner les législatives ce 7 octobre, le taux de participation, lui, ne cesse de reculer.
Les législatives du 7 octobre se dérouleront selon un scrutin de liste à un tour, à la représentation proportionnelle et avec un seuil électoral de 3 % (nombre minimum de voix qu’un parti doit s’assurer afin d’accéder au Parlement).
Abdelali Hamidine, 45 ans, vice-président du conseil national du PJD, qui compte 107 députés. Objectif : plus de 115 sièges, « arriver premier » et diriger à nouveau le gouvernement.
Parallèlement au dialogue politique convoqué par le président Joseph Kabila, le « Rassemblement » de l’opposition, regroupement politique rangé derrière Étienne Tshisekedi, a tenu mardi son conclave à Kinshasa. Une grande messe visant à dessiner les lignes de l’après Kabila.
Comme à chaque scrutin électoral, la capitale du Sahara sera disputée par les seigneurs locaux. Soutenus par une légitimité tribale, une manne financière et la confiance du Makhzen, ils tenteront d’élargir leur domination sur la ville.