Ville des grands chantiers royaux, Tanger représente une des plus importantes arènes électorales du scrutin du 7 octobre. Le match opposera l’islamiste Najib Boulif, le pamiste Fouad El Omari et l’istiqlalien Hicham Tamsamani.
Le gouvernement congolais a démenti mardi l’information publiée par plusieurs médias selon laquelle le président Joseph Kabila aurait annoncé le report des élections lors de sa visite de travail en Tanzanie. Le gouvernement a également rappelé que le chef de l’État congolais n’a pas les prérogatives de convoquer les scrutins en RD Congo.
Ancien fief istiqlalien, la ville ocre est devenue le champ de bataille des islamistes, des Pamistes et des Rnistes de Salaheddine Mezouar. Pour quel dénouement le 7 octobre ?
La sortie de Jean-Marc Ayrault sur la RDC n’est pas du goût de Kinshasa. Le gouvernement congolais a accusé mardi le chef de la diplomatie française d' »encourager les extrémistes » après ses déclarations demandant au président congolais Joseph Kabila de respecter la Constitution de la RDC et de ne pas se représenter à la présidentielle.
Dans une interview accordée à TV5 Monde lundi dans la soirée, le ministre des Affaires étrangères et du développement international français, Jean-Marc Ayrault, est revenu sur la situation en République démocratique du Congo. Il reproche au président Joseph Kabila de « ne pas respecter la Constitution pour garder le pouvoir » et de créer les conditions d’une guerre civile.
À Casablanca, le PJD veut poursuivre sa conquête des espaces urbains. Il aura en face de lui le PAM, mais aussi d’autres gros calibres de l’Istiqlal et du RNI.
Abdelilah Benkirane, Rachid El Abdi, Noureddine Lazrak… De gros calibres se présentent aux législatives du 7 octobre dans ces deux villes riveraines. Ça va chauffer !
Le président sortant du Cap-Vert, Jorge Carlos Fonseca, a été réélu, dimanche 2 octobre, au premier tour avec près de 73 % des voix à l’issue d’un scrutin marqué par une abstention de plus de 60%, selon des chiffres officiels partiels.
La Commission électorale de la République démocratique du Congo (Ceni) a préconisé samedi la convocation du corps électoral en novembre 2017, renvoyant par ailleurs à une année plus tard la tenue de la présidentielle en RDC. Soit deux ans après la fin du second mandat du président Joseph Kabila.
Le Premier ministre gabonais Emmanuel Issoze Ngondet a dévoilé dimanche soir la composition du nouveau gouvernement. Malgré les annonces répétées en faveur d’une « large ouverture » prônée par Ali Bongo Ondimba après sa réélection contestée, de rares personnalités de l’opposition y font leur entrée.
Le mystère de la déclaration fiscale de Donald Trump a été partiellement éclairci samedi par de nouvelles révélations sur sa façon d’échapper à l’impôt, des révélations qui concluent une semaine désastreuse pour le candidat républicain à la Maison Blanche.
Hillary Clinton a amélioré son avance sur son rival dans la course à la Maison Blanche Donald Trump depuis leur débat de lundi, avec un écart de 3 points, selon un sondage publié vendredi.
Après avoir boycotté les législatives de 2011, la gauche radicale s’est refait une santé aux communales de 2015. Et nourrit de grandes ambitions pour le scrutin parlementaire du 7 octobre.
« J’affirme ma détermination à assumer mes responsabilités de président élu par le peuple souverain », a déclaré Jean Ping lors d’une conférence de presse jeudi à Libreville, deux jours après l’investiture d’Ali Bongo Ondimba. Il a également demandé à la communauté internationale de prendre des sanctions ciblées.
Au lendemain de l’investiture d’Ali Bongo Ondimba, dont la réélection est toujours contestée par l’opposition, Emmanuel Issoze-Ngondet a été nommé mercredi 28 septembre Premier ministre en remplacement de Daniel Ona Ondo. Éléments de portrait d’un diplomate réputé discret.
Entre le processus de dialogue qui s’enlise et le climat politique de plus en plus tendu en RD Congo, Germain Kambinga soutient que seule la voie du consensus pourra sortir le pays de l’impasse. Le ministre de l’Industrie et ancien porte-parole du Mouvement de libération du Congo (MLC) de Jean-Pierre Bemba s’est confié mercredi à Jeune Afrique.
Après avoir nommé le nouveau Premier ministre de son gouvernement d’ouverture mercredi, Ali Bongo Ondimba s’apprête à choisir ses futurs ministres, a indiqué le ministre de la Communication Alain-Claude Bilie-By-Nze. Un retour à la normale politique qui n’empêche pas Jean Ping et ses partisans de continuer de contester l’élection.
Le vice-président sud-africain a récolté un soutien de taille dans sa course à la présidence de l’ANC. Lundi, le très influent syndicat des mineurs s’est en effet rallié à sa cause. Suffisant pour assouvir son ambition de succéder à Jacob Zuma à la tête du parti, mais aussi à la tête de l’État ?
Un sondage Afrobaromètre révèle que 45% des Africains n’ont pas ou peu confiance dans les résultats des élections auxquelles ils participent. Un désaveu qui va grandissant ces dernières années, au fil des scrutins parfois douteux, des mouvements contestataires et des réélections controversées.
Quatre jours après la validation de sa réélection par la Cour constitutionnelle, Ali Bongo Ondimba a été investi ce mardi midi pour un deuxième septennat.
Lundi soir, les deux candidats à l’élection présidentielle américaine se sont affrontés durant 90 minutes sur un plateau télé. Un débat âpre, où chacun a tenté tour à tour de déstabiliser son rival. Et à ce petit jeu, la plupart des observateurs saluent une victoire de Hillary Clinton.
À l’orée de la campagne pour les élections législatives, Ilyas El Omari, figure de proue du parti authenticité et modernité (PAM), s’érige en défenseur des femmes pour endiguer ce qu’il nomme la « marée conservatrice » au Maroc. Il espère ainsi battre le parti islamiste au pouvoir, le Parti Justice et Développement (PJD) lors du scrutin qui se tiendra le 7 octobre prochain.
Vendredi, la Cour constitutionnelle gabonaise a validé la victoire d’Ali Bongo à la très contestée élection présidentielle du 27 août. Une décision qui a suscité des réactions très froides au sein de la communauté internationale ces derniers jours.
Le ministre français des Affaires étrangères Jean-Marc Ayrault a regretté samedi que l’examen des recours n’ait pas levé « tous les doutes » sur la réélection du président gabonais Ali Bongo Ondimba, tout en appelant l’opposition à « récuser l’action violente ».
Jean Ping a réagi samedi à la décision de la Cour constitutionnelle du Gabon de valider la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba. Le principal rival du président sortant a dénoncé un « déni de droit ».
La capitale gabonaise était quadrillée samedi par un imposant dispositif des forces de sécurité après la validation dans la nuit par la Cour constitutionnelle de la réélection du président Ali Bongo Ondimba, dont l’annonce le 31 août avait déclenché des émeutes meurtrières et des pillages massifs dans le pays.
La Cour constitutionnelle du Gabon a validé dans la nuit de vendredi à samedi la réélection du président sortant, Ali Bongo Ondimba, pour un second septennat. Un important dispositif sécuritaire a été déployé à Libreville pour prévenir tout nouveau déferlement de violence.
La campagne électorale pour les législatives du 7 octobre a démarré ce samedi pour la trentaine de partis politiques en compétition. Jeune Afrique fait le point sur son financement.