Ex-ministre du Tourisme, cet outsider de la présidentielle du 12 décembre a mené campagne en s’autoproclamant candidat du Hirak, islamiste et anti-français, multipliant les actions et formules chocs. Au risque de s’attirer les moqueries des réseaux sociaux.
La campagne électorale s’est achevée dimanche pour les cinq candidats à la présidentielle. À la veille du premier tour du scrutin, Jeune Afrique vous résume ce qu’il faut savoir sur l’ex-député FLN Abdelaziz Belaïd, le seul à n’avoir pas occupé de fonction ministérielle sous le règne d’Abdelaziz Bouteflika.
Sa candidature à la présidentielle du 12 décembre n’est pas la plus médiatisée, mais l’ancien ministre de la Culture voit sa cote grimper. Il nous détaille son projet pour sortir le pays de l’ornière. Entretien exclusif.
Deux jours avant la fin de la campagne et six jours avant l’élection présidentielle du 12 décembre, les cinq candidats au scrutin ont participé à un débat télévisé inédit, alors même que d’importantes manifestations traversaient les grandes villes du pays.
L’élection présidentielle au Togo, à laquelle Faure Gnassingbé devrait être candidat pour un quatrième mandat, se tiendra le 22 février 2020, a annoncé le gouvernement dans un décret pris en conseil des ministres.
À l’approche de la présidentielle du 12 décembre, l’exécutif comme le Hirak rivalisent de véhémence dans le « french bashing » pour servir leurs desseins politiques.
L’élection partielle de mercredi a consacré la victoire de Geoff Makhubo, le candidat du Congrès national africain (ANC, parti au pouvoir). Depuis 2016, la mairie de Johannesburg était dirigée par l’opposition.
Qu’a fait l’Europe depuis le début du mouvement populaire en Algérie : rien. Si ce n’est s’accorder, jeudi 28 novembre, sur une résolution à contre-temps et contre-productive, votée par son parlement, quelques jours avant l’élection présidentielle prévue le 12 décembre.
Si certains candidats à l’élection présidentielle du 12 décembre ont donné leur accord sans réserve pour participer à un débat télévisé, d’autres ont posé leurs conditions.
La commission électorale malgache a publié les premiers résultats provisoires des élections municipales du 27 novembre. Sur l’ensemble des bureaux de vote de la capitale Antananarivo, le camp présidentiel l’emporterait de très peu face au candidat du TIM, le parti de Marc Ravalomanana.
Abdelkader Bengrina, ancien ministre du Tourisme, et Abdelaziz Belaïd, ancien cadre du Front de libération nationale (FLN), sont tous les deux candidats à l’élection présidentielle du 12 décembre, aux côtés d’Azzedine Mihoubi et des anciens Premiers ministres Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune.
À l’issue d’une visite de quatre jours dans la région du Hambol (centre-nord), Alassane Ouattara a rappelé qu’il ne souhaitait pas être candidat en 2020, tout en précisant qu’il le serait si certains de sa génération l’étaient.
Depuis le lancement de la campagne présidentielle, le nombre d’arrestations s’affole à travers le pays, avec près de 300 personnes interpellées. Amnistie, grâce, libération… Les candidats sont divisés sur l’opportunité de poursuivre les procédures judiciaires engagées à leur encontre.
Jusqu’à présent, il faut le reconnaître, Ali Benflis n’est pas très populaire. Il demeure critiqué pour avoir été un « agent du système ». Injuste procès.
Des manifestants ont protesté mercredi à Bouira (nord-est) contre un meeting électoral de l’ex-Premier ministre Ali Benflis, candidat à la présidentielle du 12 décembre. Des affrontements avec les forces de l’ordre ont été rapportés.
Pour la première fois, les dépenses de campagne des candidats à la présidentielle du 12 décembre sont soumises au contrôle de l’Autorité nationale indépendante des élections (Anie) et du Conseil constitutionnel. Le gage de davantage de transparence, comme cela est mis en avant ?
Au lendemain du premier tour de la présidentielle en Guinée-Bissau, qui oppose le président José Mário Vaz à onze autres candidats, les observateurs de la Cedeao et de la Commission nationale électorale ont estimé que le scrutin a été régulier. Ils mettent toutefois en garde contre tout débordement à l’annonce des résultats, qui devraient être communiqués mercredi.
Obstination et aveuglement, côté pouvoir. Intransigeance et mobilisation, côté population. Alors que la campagne pour l’élection présidentielle du 12 décembre a débuté depuis plus d’une semaine, la situation ressemble fort à une impasse, que le pays n’a guère le loisir de s’offrir.
Le camp du président sortant de Guinée-Bissau, José Mário Vaz, a accusé dimanche 24 novembre le parti dominant au Parlement de s’être livré à « des fraudes par bourrage d’urnes » et à « un achat de consciences » lors du premier tour de l’élection présidentielle, avant même la fin des opérations de vote.
L’ancien Premier ministre a lancé sa campagne pour la présidentielle du 12 décembre dans un climat politique délétère. Son idée-force : éradiquer les vestiges de l’ancien régime et instaurer un État de droit. Interview exclusive.
Les Bissau-guinéens ont commencé à voter dimanche 24 novembre pour élire leur nouveau président, avec l’espoir de lever les blocages dans lesquels s’est empêtrée depuis des années la classe politique.
Candidat du Madem G-15 à la présidentielle, Umaro Sissoco Embaló, qui fut l’un des huit Premiers ministres qui se sont succédé sous la présidence de José Mário Vaz, affiche une posture de rassembleur à la veille du scrutin. Une nécessité pour lui, puisque son parti, arrivé deuxième aux législatives de mars dernier, n’aurait pas la majorité nécessaire pour former un gouvernement en cas de victoire.
Ancien ministre algérien de la Justice, Mohamed Charfi est, à 73 ans, à la tête de l’Autorité nationale indépendante des élections, chargée de l’organisation de la présidentielle du 12 décembre.
Alors que la campagne pour l’élection présidentielle de mi-décembre a débuté dimanche 17 novembre, certains candidats ont dû accélérer les derniers préparatifs, tandis que d’autres ont cherché à étoffer leurs équipes.
L’ex-Premier ministre Domingos Simões Pereira sera le candidat du PAIGC, parti majoritaire à l’Assemblée bissau-guinéenne, et défiera notamment le président José Mário Vaz lors de l’élection présidentielle du 24 novembre. Dans quel contexte et avec quel programme ? Entretien.
Alors que la campagne électorale a débuté dimanche 17 novembre, les candidats à la présidentielle du 12 décembre auront à faire face, à chacune de leurs apparitions publiques, à des manifestants qui rejettent le principe même de ce scrutin.
Alors que les manifestations se succèdent chaque semaine, avec leur lot de violences, la Guinée est désormais scindée en deux. D’un côté les partisans d’une révision constitutionnelle, de l’autre ceux qui la refusent en bloc. Rachid Ndiaye, ministre d’État et conseiller spécial du président guinéen, insiste pour sa part sur l’importance de se concentrer, aujourd’hui, sur les prochaines législatives.
Le chef historique du parti Ennahdha, arrivé en tête des législatives en Tunisie, a été élu mercredi président du Parlement. Il a bénéficié du soutien du parti de Nabil Karoui.
Le président Paul Biya a convoqué dimanche 10 novembre le corps électoral, en vue des prochaines élections locales fixées au 9 février 2020. Plus d’un an après la présidentielle, ces scrutins s’annoncent déterminants.