Le chef de l’État congolais a chargé un « conseil des six » de mettre en œuvre certains éléments de sa stratégie, notamment le dialogue avec l’opposition. Qui en fait partie ?
Un adversaire au président congolais Joseph Kabila a accusé dimanche le pouvoir de ne pas tolérer de manifestation publique de l’opposition, au lendemain de l’interpellation d’environ trente personnes à Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo.
Les Burkinabè votaient dans le calme dimanche pour élire leurs maires à l’occasion des premières élections municipales tenues dans ce pays pauvre d’Afrique de l’Ouest depuis la chute du président Blaise Compaoré en 2014.
Un nouveau mouvement politique baptisé « Dynamique plurielle pour Ali Bongo Ondimba » a été lancé samedi à Libreville pour soutenir le président sortant, candidat à un second mandat lors de l’élection qui doit se tenir entre août et octobre.
L’opposant congolais Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle poursuivi par la justice de son pays, a quitté vendredi soir la République démocratique du Congo (RDC), officiellement pour se faire soigner en Afrique du Sud, sans perspective de retour à court terme.
Suspecté de recrutement de mercenaires étrangers, l’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RD Congo, a été inculpé « d’atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’État », a précisé jeudi le parquet dans un communiqué.
De passage à Paris, Léonard She Okitundu, ancien ministre congolais des Affaires étrangères et membre du bureau politique de la Majorité présidentielle (MP), a confié à Jeune Afrique la position de la coalition au pouvoir sur l’actualité brûlante de la RD Congo. Entretien.
La troisième fois sera-t-elle la bonne ? George Weah n’a pas renoncé à ses ambitions politiques et a annoncé le 28 avril qu’il serait candidat à l’élection présidentielle de 2017…
Le célèbre chirurgien congolais Denis Mukwege a appelé mardi à « un changement radical » en RDC, le jour de la célébration de la prise de pouvoir par Laurent Désiré Kabila, en référence aux massacres à répétition dans l’est du pays.
L’ex-putschiste et ancien président Azali Assoumani a été élu chef d’État des Comores après une élection présidentielle partielle dans des bureaux où le second tour avait été entaché de violences, selon les résultats officiels proclamés dimanche par la Cour Constitutionnelle.
Trois plateformes d’opposition congolaise appellent à des marches de protestation en République démocratique du Congo le 26 mai contre un arrêt de la Cour constitutionnelle autorisant le président Joseph Kabila à rester au pouvoir au-delà du terme de son mandat, selon un communiqué reçu samedi.
Candidat du très xénophobe FPÖ, Norbert Hofer (45 ans), tirant profit de la crise migratoire, a recueilli 35,1% des voix au premier tour de la présidentielle, le 24 avril. Et il risque fort de l’emporter au second.
Sur requête de plus de la moitié des députés nationaux de la RDC, la Cour constitutionnelle a prononcé mercredi son arrêt en interprétation au sujet de la date de la fin du second mandat de Joseph Kabila si la présidentielle n’est pas organisée dans les délai constitutionnels. Décryptage en trois points.
La nouvelle était attendue. Le président bissau-guinéen José Mario Vaz a relevé de ses fonctions le gouvernement et a demandé au parti au pouvoir de lui proposer une nouvelle équipe, afin de sortir le pays de la crise politique, dans un message à la nation jeudi.
L’annonce prématurées jeudi des résultats provisoires du scrutin partiel, confirmant la courte avance d’Azali Assoumani, ont à nouveau jeté le trouble aux Comores.
Le président Yoweri Museveni, réélu en février pour un cinquième mandat de cinq ans à l’issue d’un scrutin très controversé, a prêté serment jeudi 12 mai en présence de nombreux chefs d’État africains. Parmi eux, le président soudanais Omar el-Béchir, recherché par la Cour pénale internationale (CPI).
La police ougandaise a indiqué mercredi que Kizza Besigye, le chef de l’opposition, a été arrêté une nouvelle fois à Kampala. Une arrestation qui intervient à la veille de l’investiture du président Yoweri Museveni, réélu en février pour un cinquième mandat à l’issue d’un scrutin controversé.
Saisie en interprétation de la Constitution par les députés de la majorité au pouvoir, la Cour constitutionnelle a indiqué mercredi que Joseph Kabila, le président sortant, pourra rester en fonction après 2016 si la présidentielle n’est pas organisée.
L’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle en RD Congo, est de nouveau entendu mercredi à l’office du procureur général près la cour d’appel de l’ex-Katanga, dans le sud du pays. Nouvel épisode d’une affaire présumée de recrutement de mercenaires. De quoi s’agit-il ?
Les électeurs comoriens se sont rendus mercredi en grand nombre aux urnes pour départager l’ex-putschiste Azali Assoumani et le candidat du pouvoir sortant « Mamadou ». Un scrutin présidentiel partiel sous haute sécurité.
Après avoir menacé de déraper au lendemain du second tour organisé le 10 avril, l’élection présidentielle comorienne semble avoir retrouvé les chemins de la légalité constitutionnelle. Le scrutin partiel organisé ce mercredi 11 mai à Anjouan clôture un processus électoral aussi long que tendu dans l’archipel qui, depuis un mois, attend de connaître le nom de son futur président.
Réélu sans surprise et haut la main, avec plus de 86 % des suffrages obtenus dès le premier tour de l’élection présidentielle organisée le 8 avril à Djibouti, Ismaïl Omar Guelleh (IOG) a été officiellement investi dans ses fonctions le dimanche 8 mai, au Palais du Peuple de la capitale.
La campagne électorale pour les élections municipales du 22 mai a débuté le week-end dernier au Burkina Faso. L’occasion de faire un point sur ce scrutin local important, qui permettra de définitivement tourner la page de l’ère Compaoré.
Arrêté le 24 avril à Lubumbashi, dans le sud de la RD Congo, lors d’un meeting de Moïse Katumbi, Darryl Lewis, 48 ans, a été transféré le lendemain à Kinshasa, où il est détenu au secret avec trois autres proches de l’ancien gouverneur du Katanga.
L’opposant Moïse Katumbi, candidat déclaré à la présidentielle, a été entendu pendant plusieurs heures lundi après-midi par le parquet de Lubumbashi qui le soupçonne d’avoir recruté des mercenaires étrangers. Des accusations que l’intéressé rejette en bloc, dénonçant des manœuvres politiciennes.
Moins de 24 heures après l’annonce de sa candidature, Moïse Katumbi a indiqué jeudi que son domicile à Lubumbashi, dans le sud de la RDC, avait été encerclé par la police dans le but de l’arrêter. Mais à Kinshasa, les autorités assurent qu’aucune instruction n’a été donnée en ce sens « pour le moment ».
C’est devant ses principaux lieutenants et soutiens que Jean Ping, candidat à l’élection présidentielle gabonaise, a dévoilé son programme mercredi. Modification de la Constitution, mandat unique et financement de ses promesses : Jeune Afrique fait le point sur les engagements du candidat.
Les Londoniens pourraient bien élire maire jeudi Sadiq Khan, un musulman fils d’un chauffeur d’autobus pakistanais. Une illustration parfaite du cosmopolitisme de la capitale britannique.
Fort du soutien de trois regroupements de partis d’opposition, Moïse Katumbi s’est déclaré mercredi soir candidat à la présidentielle en RD Congo. Une annonce qui intervient alors que l’opposant est visé par une enquête judiciaire ouverte sur la présence présumée de mercenaires étrangers dans l’ex-Katanga.
Après la validation mardi de la victoire au premier tour de la présidentielle de Idriss Déby Itno, six candidats à l’élection présidentielle du 10 avril ont appelé à une journée ville morte dans l’ensemble du Tchad, prévue jeudi.