Le Conseil de sécurité de l’Organisation des Nations unies a appelé vendredi, dans une déclaration adoptée à l’unanimité de ses 15 membres, au respect de la date de l’élection présidentielle en Guinée-Bissau, en rejetant le changement de pouvoir décidé par son président.
L’Autorité nationale indépendante des élections (Anie), nouvelle instance chargée de superviser le processus électoral en Algérie, a jusqu’à samedi 2 novembre à minuit pour annoncer quelles candidatures – parmi les 22 déposées – seront finalement retenues pour le scrutin présidentiel du 12 décembre. Indiscrétions.
Le président sortant a été déclaré vainqueur de l’élection présidentielle du 15 octobre par la commission électorale ce dimanche. Il remporte le scrutin avec près de 73 % des voix, contre 22 % pour son principal opposant Ossufo Momade.
L’ancien Premier ministre d’Abdelaziz Bouteflika a déposé samedi son dossier de candidature à la présidentielle, prévue le 12 décembre et massivement rejetée par la rue.
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi à Bissau pour le report de l’élection présidentielle prévue le 24 novembre. Un militant de l’opposition aurait été tué par la police, qui a dispersé le rassemblement.
Le président sortant a été réélu ce vendredi, à l’issue d’un scrutin où sa formation politique, le Parti démocratique du Botswana (BDP), avait été mise en difficulté par l’ancien chef de l’État Ian Khama.
Le chef du gouvernement a accusé mardi Umaro Sissoco Embaló, un candidat de l’opposition, d’avoir planifié un coup d’État. L’information a été démentie par l’intéressé, qui dénonce une « cabale » politique.
Présenter un candidat, ne pas le faire mais soutenir quand même le processus électoral, ou bien boycotter le scrutin ? Le choix taraude responsables et partis politiques algériens, à quelques jours de la date limite pour le dépôt des candidatures à l’élection présidentielle du 12 décembre.
Le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou a annoncé lundi soir qu’il renonçait à former un gouvernement après les législatives du 17 septembre, dont les résultats étaient très serrés.
Huit mois après les premières manifestations populaires, le pouvoir militaire algérien donne l’impression de tenir bon et entend imposer son élection présidentielle dans un contexte répressif.
À un an de la présidentielle, des dizaines de milliers de partisans du PDCI ont participé samedi 19 octobre à un grand meeting en hommage à Félix Houphouët-Boigny, le premier président de Côte d’Ivoire. Une démonstration de force dans le bastion du parti d’Henri Konan Bédié.
Les premiers résultats partiels des élections présidentielle et législatives de mardi donnent sans surprise une large avance au président sortant et son parti. L’opposition a appelé samedi 19 octobre à l’annulation des élections générales et accuse le pouvoir d’avoir violé l’accord de paix.
Si leurs candidatures se confirment, les électeurs algériens pourraient assister à un duel inédit lors de la présidentielle du 12 décembre : Ali Benflis et Abdelmadjid Tebboune, deux anciens Premiers ministres du chef de l’État déchu, Abdelaziz Bouteflika, s’affronteraient pour pimenter un scrutin au contexte déjà assez particulier.
L’ex-ministre malien des Affaires étrangères Tiéman Hubert Coulibaly observera le processus électoral en Guinée, mission pour laquelle il a été nommé, le 28 septembre, envoyé spécial de Louise Mushikiwabo, la secrétaire générale de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Les électeurs mozambicains choisissent mardi leur président, leurs députés et leurs gouverneurs, après une campagne électorale très tendue. Le président sortant Filipe Nyusi part grand favori du scrutin présidentiel.
Si le président de la Commission électorale guinéenne assure que le scrutin législatif se tiendra bien le 28 décembre prochain, des retards accumulés dans le chronogramme que s’était fixé l’institution font craindre à certains, au sein de l’exécutif, un possible report.
L’avocat principal de Laurent Gbagbo, Me Emmanuel Altit, a déposé lundi devant la Cour pénale internationale (CPI) une demande de remise en liberté « sans condition » de l’ancien président ivoirien, dans l’attente de la fin de la procédure d’appel le concernant.
Les élections législatives à l’île Maurice ont été fixées au 7 novembre, a annoncé dans une déclaration à la radio nationale dimanche le Premier ministre Pravind Kumar Jugnauth, qui a par la même occasion demandé au président de l’Assemblée de dissoudre cette dernière.
Idriss Déby Itno avait promis la tenue de ces élections, sans cesse repoussées depuis quatre ans, pour 2019. La Commission électorale a annoncé ce jeudi qu’elles ne pourront avoir lieu avant le premier trimestre 2020, au mieux.
Ibrahime Coulibaly-Kuibiert, ancien secrétaire général du Conseil constitutionnel ivoirien, a été élu lundi président de la nouvelle Commission électorale indépendante (CEI) qui devra organiser la présidentielle de 2020 alors que l’opposition continue à protester contre ce nouvel organisme.
Après les échecs d’avril et de juillet, le pouvoir algérien tente d’imposer une nouvelle élection présidentielle le 12 décembre prochain. Les Algériens, mobilisés depuis plus de sept mois, la rejettent.
Le principal parti islamiste du pays, le Mouvement de la société pour la paix (MSP), a annoncé dimanche 29 septembre qu’il ne présenterait pas de candidat à la présidentielle du 12 décembre.
Après le retour en grâce de Belkacem Zeghmati, ancien procureur d’Alger, nommé garde des Sceaux le 1er août, c’est un autre banni de l’ère Bouteflika qui réapparaît : Mohamed Charfi, récemment nommé à la tête de l’Autorité nationale indépendante des élections.
Une nouvelle commission a été mise en place mardi 24 septembre au sein du Cadre national du dialogue politique. Son objectif : réviser le code électoral tchadien et favoriser une tenue des législatives avant début 2020.
En marge de sa visite à New York, le président guinéen a lancé un appel à ses partisans pour qu’ils se préparent « pour le référendum et les élections ». Une allusion à un référendum sur une éventuelle réforme constitutionnelle qui figure parmi les questions que doivent trancher les « concertations nationales » actuellement en cours.
Au lendemain des élections législatives anticipées en Israël, l’écrivain et psychanalyste juif porte un regard sans concession sur la politique de Tel-Aviv, dont la critique est pour lui un impératif éthique.
L’ancienne rébellion, principal parti d’opposition, a signé un accord de paix avec le gouvernement le mois dernier. Mais des dissidents ont toutefois mené deux attaques mercredi 18 septembre contre des véhicules et menacent de poursuivre leurs raids si Maputo ne suspend pas les élections générales du 15 octobre.
L’élection présidentielle en Algérie aura lieu le 12 décembre, a annoncé dimanche soir le chef de l’État par intérim, Abdelkader Bensalah, dans un discours à la nation retransmis par la télévision publique.
Le président guinéen a annoncé mercredi le début de « consultations » entre les acteurs politiques et les organisations de la société civile au sujet de la Constitution. La date des élections législatives n’est quant à elle pas encore arrêtée.
Le président du Botswana Mokgweetsi Masisi a fixé au 23 octobre la date des prochaines élections générales, qui devraient être dominées par la rivalité politique inédite qui l’oppose à son prédécesseur Ian Khama.