La Cour constitutionnelle a validé quinze candidatures pour le premier tour de la présidentielle du 21 février au Niger. Jeune Afrique a dressé le portrait de chacun d’entre-eux.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) du Niger a officiellement annoncé le 20 janvier que les cartes d’électeur seraient disponibles dès le lendemain, 21 janvier, en vue des élections présidentielle et législatives du 21 février.
De source diplomatique à Kinshasa, Edem Kodjo, ancien Premier ministre togolais, est arrivé lundi soir dans la capitale congolaise pour entamer des « préconsultations » en vue du dialogue politique préconisé par le président Joseph Kabila. Un forum boudé par une frange d’opposition dite « radicale ».
Jean Ping a été désigné candidat unique du Front uni de l’opposition pour l’alternance à la prochaine présidentielle gabonaise, a annoncé l’ancien président de la Commission de l’UA. Problème : une bonne partie des membres de cette vaste coalition rejettent sa candidature. Explication en quatre points.
Qu’attend-on des politiciens, de la démocratie, des bulletins de vote et des lois de la bonne gouvernance électorale quand on vit à Birao (Centrafrique) ou à Gouré (Niger) ?
Nicéphore et Rosine Soglo refusent de soutenir le parti au pouvoir et l’alliance autour de la candidature de l’actuel Premier ministre, Lionel Zinsou, a fait savoir l’ancien couple présidentiel dans un communiqué publié jeudi.
Avec le « Front citoyen 2016 », les « mouvements citoyens » congolais Filimbi et Lucha sont parvenus à rassembler une vaste coalition pour exiger l’organisation d’une élection présidentielle permettant l’alternance d’ici à la fin de 2016. Son coordonnateur, Floribert Anzuluni, répond aux questions de Jeune Afrique.
Le 14 janvier 2011, et tout cet hiver-là, le climat avait été particulièrement clément en Tunisie comme pour rendre plus jolies les images d’un soulèvement baptisé à la hâte « révolution du jasmin ».
48 candidats à la présidentielle du 28 février ont déposé leurs dossiers devant la Commission électorale nationale autonome (Cena). Ces derniers doivent désormais être validés par la Cour constitutionnelle. Jeune Afrique a dressé le portrait des principaux candidats.
Charles Malinas, l’ambassadeur de France en Centrafrique, devrait anticiper son départ de Bangui (prévu pour la mi-2016) dès après le second tour du scrutin présidentiel, le 31 janvier.
Jusqu’ici, la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) s’était toujours opposée à tout « glissement » du calendrier électoral de nature à permettre à Joseph Kabila de prolonger son bail au Palais de la nation. Sa position paraît moins tranchée en ce début d’année.
Ils seront nombreux sur la ligne de départ pour la présidentielle béninoise du 28 février. Pas moins de 48 candidats ont été acceptés par la Commission électorale nationale autonome (Cena), qui a fermé ses portes mardi 12 janvier à minuit.
À Madagascar, le parti présidentiel, le HVM remporte une majorité écrasante lors des élections sénatoriales du 29 décembre dernier, avec plus de 60 % des suffrages exprimés, selon les chiffres publiés samedi. Un total de 12 664 grands électeurs, maires et conseillers municipaux, s’étaient rendus aux urnes pour élire 42 sénateurs. Un succès qui renforce le pouvoir d’Hery Rajaonarimampianina.
Il avait promis qu’il partirait, mais il est toujours là, inamovible dinosaure. Le secrétaire général du Parti socialiste soutiendra-t-il Macky Sall à la prochaine élection ? Laissera-t-il la jeune garde émerger ? L’intéressé continue d’entretenir le mystère. Quitte à faire tanguer le parti.
En convalescence à Bruxelles, l’opposant historique Étienne Tshisekedi a annoncé samedi, une fois de plus, son retour imminent en RDC. Le leader de l’UDPS a également préconisé, dans son message de voeux, le rassemblement de « toutes les forces acquises au changement » pour exiger notamment la tenue des élections dans les délais constitutionnels.
Arrivé 4e au premier tour de l’élection présidentielle du 30 décembre, Martin Ziguélé a dénoncé ce lundi, par un communiqué de son parti, le Mouvement de libération du peuple centrafricain (MLPC), le manque de transparence dans la publication des résultats. Il va user de son droit de recours devant la Cour constitutionnelle de transition pour exiger le recompte manuel des votes.
Les vainqueurs du premier tour lui doivent leur succès. Si Anicet-Georges Dologuélé a reçu le soutien du parti de l’ex-président, Faustin Archange Touadéra a bénéficié de l’aide de ses anciens cadres.
Après une année 2015 marquée, sur le plan électoral et démocratique, par le sursaut nigérian et l’heureux dénouement de la « révolution » burkinabè, que nous réserve 2016 ?
Nidaa Tounes, parti au pouvoir en Tunisie, tient depuis hier 9 janvier son congrès constitutif sur fond de crise aiguë sur son leadership et dans laquelle le fils du chef de l’État, Hafedh Caïd Essebsi, semble avantagé.
Une femme musulmane a été priée de quitter un meeting de Donald Trump après s’être levée pour protester en silence contre le candidat à la Maison Blanche, son vêtement portant en grandes lettres les inscriptions : « Salam, je viens en paix ».
À la tête de l’Alliance pour un Bénin triomphant (ABT), Abdoulaye Bio-Tchané s’est officiellement lancé jeudi dans la course à la présidentielle du 28 février.
L’Autorité nationale des élections (ANE) a annoncé jeudi les résultats provisoires du premier tour de l’élection présidentielle centrafricaine du 30 décembre. Respectivement en première et deuxième position, Anicet Georges Dologuélé et Faustin Archange Touadéra devraient s’affronter au second tour prévu le 31 janvier.
Depuis l’annonce de la tenue anticipée de la présidentielle, au mois de mars 2016, les voix sont de plus en plus discordantes au sein du Frocad, le principal regroupement de l’opposition congolaise, qui risque d’éclater.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Teodoro Obiang Nguema Mbasogo, président de la Guinée équatoriale, et Teodoro Obiang Nguema Mangue, son fils.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Denis Sassou Nguesso, président du Congo.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Khalifa Sall, le maire de Dakar.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Mahamadou Issoufou, Président du Niger.
Une coalition d’hommes politiques et de syndicalistes béninois conteste le choix du Premier ministre Lionel Zinsou comme candidat du parti au pouvoir à la présidentielle du mois prochain, considérant qu’il s’agit d’un « parachutage » téléguidé par la France.
Dresser la liste des personnalités qui marqueront l’Afrique en cette année qui débute est un exercice périlleux, même si les élections, les crises dont l’épilogue se fait attendre ou les événements sportifs et culturels mettront certainement en avant des protagonistes bien connus. Jeune Afrique vous propose une liste non-exhaustive. Parmi eux, Macky Sall, Président du Sénégal.