Trois des huit candidats à l’élection présidentielle en Guinée ont déposé un recours contre les résultats du premier tour. La décision de la Cour constitutionnelle est attendue le 2 novembre.
Les résultats n’étaient toujours pas connus mardi matin en Côte d’Ivoire. Toutefois, le taux de participation à la présidentielle suscitait de vifs débats.
Selon les chiffres officiels communiqués mardi par le ministre de l’Intérieur, Raymond Mboulou, le projet de Constitution a été approuvé à hauteur de 92,96% des voix.
Pascal Tsaty Mabiala, premier secrétaire de l’Union panafricaine pour la démocratie sociale (UPADS), a affirmé lundi que le taux de participation au référendum constitutionnel du 25 octobre n’avait pas dépassé 10 %. Les résultats officiels sont attendus mercredi soir.
L’ancien ministre du Plan Amadou Boubacar Cissé, qui a quitté le gouvernement en septembre, a été désigné candidat à l’élection présidentielle de 2016 par son parti, l’Union pour la démocratie et la République (UDR).
L’édition n°2859 de Jeune Afrique, en kiosques du 25 au 31 octobre, consacre un dossier grand format de 30 pages à la République démocratique du Congo, dont l’échiquier politique est devenu particulièrement illisible ces derniers mois.
Le taux de participation à l’élection présidentielle du 25 octobre en Côte d’Ivoire se situe « autour de 60% », a déclaré lundi le premier vice-président de la Commission électorale indépendante (CEI) à Abidjan.
Le décompte des votes se poursuit lundi en Tanzanie après les élections générales de dimanche qui pourrait déboucher sur la première alternance à la tête du pays depuis l’avènement du multipartisme. Mais l’ambiance se tend et le principal parti d’opposition dénonce de possibles fraudes électorales.
Dimanche, au Congo-Brazzaville, les électeurs semblent avoir largement boudé le référendum sur un projet de Constitution qui pourrait, en revenant sur la limitation des mandats présidentiels, permettre une nouvelle candidature du chef de l’État Denis Sassou Nguesso en 2016.
Les Ivoiriens ont voté dans le calme dimanche à l’élection présidentielle pour laquelle Alassane Ouattara, face à une opposition divisée et après le désistement de plusieurs candidats, fait figure de grand favori. Les premières tendances laissaient à penser que le président sortant se dirigeait vers une victoire dès le premier tour.
Le bureau est resté vide ou presque pendant toute la journée et l’urne en plastique translucide ne laissait entrevoir que quelques bulletins de vote. À Mama, le village natal de Laurent Gbagbo, les partisans de l’ancien président ont bycotté l’élection présidentielle de dimanche.
Le taux de participation au premier tour de l’élection présidentielle dimanche en Côte d’Ivoire sera vraisemblablement « très bon », a déclaré le président sortant ivoirien Alassane Dramane Ouattara, grand favori du scrutin, après avoir voté à Cocody, un quartier d’Abidjan.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 31 ans de pouvoir à Brazzaville.
Les Congolais votaient dimanche sur un projet de constitution contesté ouvrant la voie pour 2016 à une nouvelle candidature du président Denis Sassou Nguesso, qui cumule plus de 30 ans de pouvoir à Brazzaville.
Les Tanzaniens se rendaient aux urnes dimanche pour élire leur président, leurs députés et leurs conseillers municipaux lors d’un scrutin très serré qui pourrait mettre fin au règne du parti au pouvoir depuis l’indépendance dans le pays le plus peuplé d’Afrique de l’Est.
Des hommes armés ont abattu samedi un candidat aux élections législatives en Égypte appartenant à un parti islamiste décrit comme pro gouvernemental, dans le nord du Sinaï, une région où sévissent des jihadistes, ont annoncé des responsables.
Un tribunal nigérian a annulé samedi, pour cause d’irrégularités, l’élection de Nyesom Wike, le gouverneur du riche État pétrolier de Rivers (sud) et ordonné un nouvelle élection sous 90 jours.
Alors que 6,3 millions d’électeurs ivoiriens sont attendus dimanche pour le premier tour de la présidentielle, de nombreux observateurs redoutent une forte abstention.
La campagne électorale s’achevait en Tanzanie samedi avec les derniers meetings des candidats avant l’élection présidentielle de dimanche, qui devrait être la plus serrée depuis l’indépendance dans le pays le plus peuplé d’Afrique de l’Est.
À la veille de la présidentielle, le FPI espère encore réunir la grande famille de l’ex-président Gbagbo pour aller au second tour du scrutin et voir le candidat Affi N’Guessan conserver toutes ses chances. Alors qu’un autre candidat de l’opposition, Charles Konan Banny, vient d’annoncer son retrait de la course, l’heure est à la pêche aux voix. Entretien avec Augustin Kouadio Komoé, ex-ministre de la Culture puis des Mines sous Laurent Gbagbo, désormais secrétaire général adjoint du FPI.
L’opposition congolaise est restée en retrait vendredi tandis qu’après les récentes violences, l’archevêque de Brazzaville appelait à « sauver la cohésion nationale », à deux jours du référendum qui pourrait permettre au président sortant de briguer un 3e mandat.
L’ancien Premier ministre Charles Konan Banny a annoncé vendredi qu’il se retirait de la présidentielle dont le premier tour est fixé au 25 octobre. Après Amara Essy et Mamadou Koulibaly, c’est le troisième candidat à prendre cette décision.
Les élections générales, dont la présidentielle à un tour, se tiennent dimanche en Tanzanie. Et malgré les efforts du gouvernement, les pratiques de sorcellerie et les crimes rituels ne régressent pas. Reportage.
Les législatives du 8 novembre s’annoncent mieux pour les bouddhistes islamophobes partisans du président Thein Sein que pour Aung San Suu Kyi, l’opposante star désormais contestée.
Des violences survenues avant et après l’élection présidentielle du 11 octobre ont provoqué la mort de 13 personnes en Guinée, indique jeudi 22 octobre Amnesty International.
Il y a cinq ans , les résultats du premier tour de la présidentielle reflétaient de fortes divisions régionales, épousant les bastions des trois principaux candidats. Le 25 octobre, le pays va-t-il oublier ses vieux démons ? À travers tout le territoire, nos envoyés spéciaux ont pris le pouls des électeurs.