Initialement prévues le 18 octobre, les élections présidentielle et législatives sont une nouvelle fois reportées. Une nouvelle date doit bientôt être fixée.
Selon les résultats provisoires publiés jeudi soir par la Ceni, le président guinéen sortant, Alpha Condé, devance nettement tous ses concurrents et pourrait même remporter la présidentielle du 11 octobre dès le premier tour.
Un solide plan de com pour vanter son bilan, une large couverture médiatique, une coalition soudée derrière lui… Le président, qui brigue un second mandat le 25 octobre, semble avoir toutes les cartes en main. Au grand dam de ses adversaires, qui se plaignent de ne pas avoir les moyens de lutter contre lui.
Peu avant la publication des premiers résultats partiels du premier tour de la présidentielle guinéenne du 11 octobre, lesquels ont placé nettement en tête mercredi soir le président sortant Alpha Condé, son principal rival, Cellou Dalein Diallo, a annoncé qu’il se retirait du processus électoral.
Installation dans des bureaux flambant neufs dans le quartier chic du Lac 2, à Tunis ; lancement imminent d’un think tank ; nomination d’un aréopage de conseillers ; multiplication des apparitions médiatiques…
Nul ne sait quand aura lieu l’élection présidentielle, mais les responsables politiques centrafricains sont déjà en plein palabres, obsédés qu’ils sont par cette question : faut-il nouer des alliances dès le premier tour ou attendre le second ?
Les résultats nationaux du premier tour de l’élection présidentielle de dimanche en Guinée ne devraient pas être connus avant la fin de la semaine au plus tôt, a déclaré mercredi 14 octobre la commission électorale. Selon elle, le scrutin a fortement mobilisé : une participation de quelque 75% a été enregistrée.
Mardi, le Parti authenticité et modernité (PAM) a réussi à placer son candidat Hakim Benchamach à la tête de la deuxième chambre du Parlement, dernière étape d’un processus électoral local entamé en août dernier. Portrait du nouveau président.
L’ambassadeur de Guinée équatoriale à Paris a répondu mardi à la coalition d’opposants en exil, dont Severo Moto Nza, qui ont publié une liste de 310 supposés assassinats « politiques » perpétrés sous le régime du président Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Un tohu-bohu bienvenu, à quelques semaines de la candidature de Teodoro, au pouvoir depuis 37 ans ?
Après les critiques de l’opposition qui se plaignait de n’avoir pas pu consulter le projet de Constitution destiné à être soumis au référendum le 25 octobre, les autorités congolaises ont enfin dévoilé, mardi, le texte intégral de la future loi fondamentale du pays.
La droite le voue aux gémonies, le centre est très loin d’être enthousiasmé par sa politique et la gauche de la gauche ne lui pardonne pas ses reniements. François Hollande ne désespère pourtant pas d’être réélu en 2017 !
Le chef de la Mission d’observation électorale de l’Union européenne, Frank Engel, revient pour Jeune Afrique sur le premier tour du scrutin présidentiel en Guinée qui s’est déroulé le 11 octobre.
Programmé pour le 25 octobre, le premier tour de la présidentielle approche à grands pas. L’heure est aux derniers préparatifs d’un scrutin dont on espère qu’il fera oublier les violences de 2011.
La tension ne cesse de monter en Guinée au lendemain de la demande par les sept adversaires du chef de l’État sortant Alpha Condé de l’annulation du premier tour de la présidentielle.
L’Union des forces républicaines (UFR) a décidé lundi de se retirer du processus électoral en Guinée, au lendemain de la présidentielle du 11 octobre. Entretien exclusif avec son candidat, Sidya Touré.
À moins de deux semaines du référendum prévu le 25 octobre, lequel pourrait permettre au président Denis Sassou Nguesso de briguer un troisième mandat, l’opposition congolaise a déploré lundi que le projet de la nouvelle Constitution ne soit pas encore disponible pour le corps électoral.
L’examen par le Parlement rwandais du projet de réforme de la Constitution destiné notamment à permettre au président Paul Kagamé de briguer un troisième mandat en 2017, a débuté lundi à Kigali.
Après le retrait de la campagne pour la présidentielle du 25 octobre de Mamadou Koulibaly, vendredi, ils ne sont désormais plus que sept à se présenter face au président sortant, Alassane Dramane Ouattara (ADO).
Après la démission le 10 octobre de l’abbé Apollinaire Malumalu, président de la Ceni, la balle est de nouveau dans le camp de la société civile, habilitée à proposer un autre candidat à ce poste qui lui revient. Mais le processus de désignation s’annonce délicat…
À Conakry et dans le reste du pays, les Guinéens se sont déplacés en masse dimanche pour choisir leur futur président. Un scrutin placé (pour le moment) sous le signe de la concorde, même si le défi de la transparence reste à relever pour des résultats attendus d’ici à cinq jours. Reportage.
Dans son numéro 2857 du 11 au 17 octobre, Jeune Afrique revient sur l’organisation de la campagne électorale du président ivoirien Alassane Ouattara. Une machine mise en marche pour la victoire dès le premier tour.
À Conakry, les Guinéens ont répondu présent dimanche à l’ouverture des bureaux de vote de la présidentielle qui devait départager le président sortant Alpha Condé et son principal rival, Cellou Dalein Diallo. Reportage.
Les Guinéens se présentaient nombreux dimanche à l’ouverture des bureaux de vote pour l’élection présidentielle en Guinée, avec des retards par endroits dus notamment à l’affluence, ont constaté les journalistes de l’AFP.
Les affrontements entre militants de l’opposition pro-Cellou Dalein Diallo et ceux du pouvoir d’Alpha Condé se sont concentrés jeudi et vendredi à Conakry dans le marché de Madina. Reportage.
Le président de l’Autorité nationale des élections (ANE), organe charger de préparer et d’organiser les prochaines élections centrafricaines, a démissionné, évoquant des « pressions » pour tenir le calendrier électoral.
Les appels au calme se multipliaient vendredi en Guinée après deux jours de violences électorales, à 24 heures d’une élection présidentielle dont l’opposition menace de contester les résultats, alors que le camp du sortant Alpha Condé le donne vainqueur dès le premier tour.
Le président ivoirien sortant Alassane Ouattara a ouvert vendredi à Yamoussoukro la campagne électorale de la présidentielle du 25 octobre en invitant lors d’un grand meeting ses compatriotes à lui accorder un second mandat afin de « consolider la paix » et faire oublier une décennie de crise.