Elle est aussi réservée que Patience Jonathan, l’ex-First Lady, était exubérante. L’épouse du nouveau président Muhammadu Buhari devrait s’en tenir à un rôle de première dame très traditionnel.
Exilée en France depuis 1970, la princesse Esther Kamatari a défilé pour les plus grands couturiers, puis s’est lancée en politique. De sa vie elle a su faire un conte de fées.
Les mouvements sankaristes burkinabè tenteront-ils un coup de poker, en désignant la veuve de Thomas Sankara candidate à la présidentielle d’octobre ? Ou le coup de théâtre se révèlera-t-il un coup d’épée dans l’eau ?
La pierre tombale du père d’Hillary Clinton a été renversée dans le cimetière de Pennsylvanie, dans l’est des États-Unis, où il est enterré, peu après l’annonce de la candidature de Mme Clinton à la présidence, a annoncé mercredi la police.
Dénonçant des irrégularités dans le processus électoral en cours dans le pays, deux candidats indépendants se sont retirés mercredi de l’élection présidentielle au Soudan. Un scrutin boycotté déjà par les principaux partis d’opposition.
À 35 ans, la plus jeune députée du pays est aussi la cadette de l’ex-directeur du protocole d’Houphouët-Boigny. Rencontre avec Yasmina Ouégnin, une élue parfois… déconcertante.
Les échauffourées entre partisans de l’opposition et policiers guinéens ont repris mardi matin à Conakry, au lendemain d’une journée de heurts qui ont fait un mort et au moins une dizaine de blessés.
À Ouagadougou, les ambitions présidentielles de l’ancien ministre ne sont un secret pour personne. Rencontre avec un homme qui a presque réussi à faire oublier qu’il avait été un pilier du régime de « Blaise » et qui est décidé à se présenter malgré le nouveau code électoral.
Le hasard des calendriers électoraux veut qu’en 2015 et en 2016 trois des sept « fils de… » que compte le club des dirigeants africains remettent en jeu leur mandat de chef d’État : Faure Gnassingbé, fils d’Eyadéma, dans deux semaines ; Ali Bongo Ondimba, fils d’Omar, au milieu de l’année prochaine ; et Joseph Kabila, fils du Mzee Laurent-Désiré, à la fin de 2016.
Selon les résultats officiels publiés lundi, le Congrès progressiste (APC) du président élu Muhammadu Buhari, grand vainqueur des élections des gouverneurs, a perdu le contrôle de Rivers. Le stratégique État pétrolier sera désormais dirigé par le parti du président sortant, Goodluck Jonathan.
Il aurait pu profiter d’une retraite paisible sous le soleil madrilène. Mais le sulfureux opposant fait son retour. Bien déterminé à jouer un rôle, fût-il indirect, dans la présidentielle de l’année prochaine.
La démocrate Hillary Clinton a officialisé dimanche, dans une vidéo diffusée sur le site hillaryclinton.com, sa candidature à l’investiture présidentielle de 2016, sa deuxième tentative pour devenir la première femme à diriger les États-Unis.
L’ex-First Lady s’apprête à annoncer sa candidature à la présidentielle de 2016. Sa désignation par le Parti démocrate ne sera qu’une formalité. Mais la suite s’annonce plus compliquée.
La répression des autorités de Kinshasa et le discrédit de la classe politique congolaise pourraient ouvrir un boulevard au tout jeune mouvement citoyen Filimbi.
D’une élection à l’autre, le PS abandonne les positions conquises au temps de Sarkozy. L’UMP en profite presque mécaniquement tandis que le Front national accroît son implantation locale mais démontre son incapacité à passer de la nuisance à la gouvernance.
Djibrill Bassolé, ex-ministre des Affaires étrangères de Blaise Compaoré, ne mâche pas ses mots après le vote du nouveau code électoral, qui interdit aux partisans du président déchu de se présenter aux élections d’octobre prochain. Joint au téléphone par « Jeune Afrique », il réitère son intention de se présenter à la présidentielle.
Quatre jours avant le scrutin, le candidat du All Progressives Congress, Muhammadu Buhari ,se glissait déjà dans les habits de président du Nigeria. Rencontre avec un ancien putschiste qui a gagné ses galons de démocrate.
Ancien chef de file de l’opposition burkinabè et président de l’Union pour le progrès et le changement (UPC), Zéphirin Diabré a été officiellement invité par Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du Parti socialiste français, au prochain congrès de cette formation (Poitiers, 5-7 juin).
La loge maçonnique du Grand Orient de France (GOF) estime notamment qu’une deuxième transition doit succéder, en juillet, à celle dirigée par la présidente Catherine Samba-Panza.
Au terme d’une élection pacifique, Goodluck Jonathan s’est incliné de bonne grâce. Son successeur, Muhammadu Buhari, aura fort à faire pour redresser le pays, touché par la chute des cours du pétrole, miné par la corruption et menacé par Boko Haram.
Les députés du Conseil national de transition (CNT) ont adopté mardi soir un nouveau code électoral controversé qui interdit aux partisans du président déchu Blaise Compaoré de se présenter aux élections présidentielle et législatives d’octobre prochain.
Si l’OIF continue d’aider la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) à « consolider » les listes électorales, la coopération de l’UE avec le Togo au sujet de la prochaine présidentielle a connu un sérieux accroc.
La campagne pour sa réélection a déjà commencé. Et le chef de l’État rwandais, Paul Kagamé, n’entend pas recevoir de leçons de l’étranger quant à une éventuelle révision de la Constitution. Pour lui, les choses sont claires : « 2017, c’est l’affaire du peuple. » Entretien.
À deux mois des élections, le président Nkurunziza a fort à faire. Contesté au sein même de son parti, il a aussi dû assister, impuissant, à l’évasion de son grand rival, Hussein Radjabu.
Déjà quatrième parti d’Espagne, Ciudadanos pourrait devenir après les élections générales de la fin de l’année le partenaire incontournable de toute majorité. De droite comme de gauche.
Les Togolais sont habitués aux contestations de résultats électoraux par l’opposition. Mais, dans le cadre de la présidentielle prévue pour le 25 avril, la classe politique se déchire autour de la question de l’audit du fichier électoral censé garantir un processus irréprochable.
Leader de l’Union pour la république et la démocratie (URD) et opposant numéro un au président Ibrahim Boubacar Keïta (IBK), Soumaïla Cissé va officiellement devenir le chef de file de l’opposition malienne. Il se félicite de ce changement institutionnel, tout en fustigeant la gestion de la crise du Nord par le gouvernement actuel. Interview.