Quelque 300 bureaux de vote ont rouvert dimanche au Nigeria, au lendemain d’une première journée marquée par de nombreux problèmes techniques, mais aussi par une forte participation à la présidentielle la plus serrée de l’histoire du pays.
Les électeurs de quelque 300 bureaux de vote au Nigeria se rendent à nouveau aux urnes dimanche, après une première journée marquée par des problèmes techniques et des violences au cours de la présidentielle la plus serrée de l’histoire du pays.
Les opérations de vote pour les élections présidentielle et législatives au Nigeria ont été suspendues samedi en raison de problèmes techniques dans certains bureaux, où elles reprendront dimanche, a annoncé la commission électorale.
Au moins sept personnes ont été tuées samedi dans plusieurs attaques menées par des islamistes présumés dans le nord-est du Nigeria contre des bureaux de vote le jour des élections présidentielle et législatives.
Les Nigérians commençaient samedi à se rendre aux urnes pour élire leur prochain président, au cours du scrutin le plus serré de l’histoire de ce pays le plus peuplé d’Afrique, marqué par les violences islamistes, la chute des cours du pétrole et la corruption endémique.
Remi Sonaiya est la première femme dans l’histoire du Nigeria à se porter candidate à une élection présidentielle. Bien que sa candidature fasse figure de poids plume, elle souhaite lancer un signal fort vers les femmes, qui, dit-elle, ont évidemment leur place en politique.
Au Burundi, le ton monte au sein du parti au pouvoir, entre les soutiens du chef de l’État, Pierre Nkurunziza, et ceux qui lui contestent le droit de briguer une nouvelle fois la présidence.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a été officiellement désigné dimanche candidat du Rassemblement des républicains (RDR) à l’élection présidentielle d’octobre prochain, dont il part favori face à une opposition divisée.
Le premier tour de la présidentielle guinéenne est fixé au 11 octobre, a annoncé mardi la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) à Conakry.
Des élus de l’opposition congolaise ont déposé mardi à la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) de la République démocratique du Congo une proposition de calendrier pour les scrutins à venir. Ils estiment qu’en l’état actuel des choses, le chef de l’État Joseph Kabila pourrait rester au pouvoir au-delà du terme de son second mandat, fin 2016.
Les habitants du Lesotho sont appelés aux urnes samedi pour des législatives anticipées censées rebattre les cartes après une tentative de coup d’État militaire en août 2014.
Plusieurs pays d’Afrique francophone ont adopté un statut officiel de « chef de file de l’opposition ». D’autres ont voté des textes mais attendent toujours la désignation de leur opposant en chef. Mali, Burkina, Guinée, RDC… Voici la place institutionnelle réservée à vos opposants.
La campagne pour les élections présidentielle et législatives débute ce mardi au Soudan. Le président Omar el-Béchir est presque assuré d’être réélu, le tout sur fond de boycott de l’opposition et de répression des médias.
Les Comores votent dimanche pour le deuxième tour des législatives dans un face-à-face tendu entre le camp de l’ex-président Ahmed Abdallah Sambi, partisan d’un rapprochement avec le monde musulman, et la majorité présidentielle actuelle réputée plus francophile.
Les Comores retournent dimanche aux urnes pour le second tour des législatives, un scrutin clé pour la stabilité de cet archipel musulman francophone où le manque chronique d’eau et d’électricité pèse plus que jamais sur le moral des électeurs.
Le président burundais Pierre Nkurunziza, soupçonné de vouloir rempiler pour un troisième mandat en juin, a opposé dimanche « une fin de non-recevoir » au collectif « Campagne citoyenne Halte au 3e mandat ».
Le Conseil des ministres du Soudan du Sud, un pays déchiré par une sanglante guerre civile, a reporté vendredi les élections de deux ans et prolongé d’autant le mandat du président Salva Kiir.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a tenté vendredi de rassurer la communauté internationale en promettant à des diplomates en poste à Abuja que les élections présidentielle et parlementaires, repoussées récemment de six semaines, ne subiraient pas un nouveau report.
Les Nations unies ont dit vendredi leur « engagement » à soutenir financièrement des élections « libres » en République démocratique du Congo au lendemain de la publication d’un calendrier électoral fixant à novembre 2016 la date de la prochaine présidentielle.
Déjà en proie au terrorisme de Boko Haram, le Nigeria fait également face à des violences liées à l’élection présidentielle qui doit se tenir fin mars. Un rapport publié vendredi par la Commission nationale des droits de l’homme (NHRC) fait état de 58 morts depuis décembre 2014.
La prochaine élection présidentielle, couplée aux législatives, est prévue le 27 novembre 2016 en RDC. Selon la Commission électorale nationale indépendante (Céni), la tenue de ce scrutin reste malgré tout conditionnée à un certain nombre de « contraintes ». Quelles sont-elles ?
Le président nigérian Goodluck Jonathan a assuré mercredi dans une émission télévisée qu’il n’avait « pas été consulté » sur le report de six semaines, de mi-février à fin mars, des élections présidentielle et législatives.
L’ancien chef de la diplomatie de Blaise Compaoré est pressenti pour être candidat à l’élection présidentielle du 11 octobre prochain. Voici ce qui pourrait le faire gagner, mais aussi le faire perdre.
Dans la réforme électorale engagée en RDC, la caution exigée pour prendre part à la présidentielle a été revue à la hausse. Une démarche très fréquente sur le continent à la veille de la tenue des scrutins. Suivez le guide, infographies et carte interactives en main !
Le président de l’Assemblée nationale congolaise a dénoncé samedi un « dérapage » de la police, qui a tiré dans la foule à Kinshasa durant les violences meurtrières du début de semaine provoquées par un projet de loi électorale contesté.
Le candidat du pouvoir à la présidentielle en Zambie, Edgar Lungu, mène d’une courte tête après le dépouillement des bulletins dans 80% des circonscriptions du pays, mais son principal opposant contestait vendredi la crédibilité des résultats.
La Commission électorale du Nigeria a réaffirmé vendredi que les élections présidentielle et législatives prévues le 14 février auraient bien lieu à la date prévue, malgré les inquiétudes sur les délais de distribution de millions de cartes d’électeurs.
Le président Michel Kafando, s’exprimant devant la presse jeudi à Ouagadougou, a annoncé que les élections présidentielle et législatives se tiendraient le dimanche 11 octobre.
Quelque 5,2 millions d’électeurs zambiens étaient appelés mardi à désigner un successeur au président Michael Sata, décédé fin octobre 2014. En début de soirée, alors que les bureaux de vote commençaient à fermer, l’opposition a dénoncé des fraudes tandis que les autorités évoquaient des retards liés au mauvais temps.