Kinshasa a connu mardi une seconde journée de violences entre policiers et manifestants hostiles au président Joseph Kabila. Le chef de l’État est soupçonné de vouloir se maintenir au pouvoir grâce à un projet controversé de loi électorale.
L’élection présidentielle zambienne a lieu ce mardi 20 janvier pour élire le successeur de Michael Sata, décédé en cours de mandat le 27 octobre dernier à l’âge de 77 ans. Deux favoris aux profils différents se font face : le ministre de la Défense Edgar Lungu et l’homme d’affaires Hakaide Hichilema.
Au Burkina Faso, les autorités de transition planchent sur l’organisation des élections présidentielle et législatives qui doivent avoir lieu avant la mi-novembre 2015 pour remettre le pays sur les rails démocratiques. « Jeune Afrique » fait le tour des questions qui sont encore sur la table. Donnez, vous aussi, votre avis !
Le président nigérian Goodluck Jonathan, candidat à sa réélection à la mi-février, a lancé sa campagne électorale ce jeudi avec un grand meeting organisé à Lagos.
Le gouvernement du Soudan du Sud a promis vendredi que des élections présidentielle et législatives seraient organisées en 2015, malgré la guerre civile qui ravage le pays depuis plus d’un an.
L’annonce surprise d’un recensement de la population en 2015 en République démocratique du Congo (RDC) suscite les craintes de l’opposition, qui y voit une stratégie du président Joseph Kabila pour retarder l’élection de 2016 et se maintenir au pouvoir.
Béji Caïd Essebsi a revendiqué dimanche soir la « victoire » à l’élection présidentielle tunisienne. Son annonce a été immédiatement contestée par le camp de son adversaire, le président sortant Moncef Marzouki. Les résultats officiels devraient être publiés lundi.
L’épouse de Bill Clinton n’est pas encore candidate à la présidentielle de 2016, mais nul doute qu’elle le sera bientôt. Sera-t-elle la première femme à accéder à la Maison Blanche ? Retour sur vingt ans de carrière au plus haut niveau.
À 87 ans, Béji Caïd Essebsi se pose déjà en futur président de la République tunisienne. Blaise Compaoré, lui, vient de quitter la présidence burkinabè qu’il occupait depuis vingt-sept années. L’occasion de faire un point sur la vieillesse et le pouvoir en Afrique.
Le chef de l’opposition togolaise, Jean Pierre Fabre, a été investi samedi soir par les militants de son parti pour la présidentielle de 2015, à l’issue d’un congrès à Lomé, a constaté un journaliste de l’AFP.
Les grands électeurs congolais votaient dimanche pour renouveler la moitié du Sénat, où le parti au pouvoir et ses alliés devraient conserver une majorité écrasante.
Du Nigeria au Burundi en passant par la Côte d’Ivoire et la Centrafrique, les élections présidentielles, législatives et locales sont nombreuses en 2015 sur le continent africain. « Jeune Afrique » vous propose une carte interactive pour y voir plus clair.
Léon Kengo wa Dondo, le président du sénat de la RDC, a mis en garde lundi contre un « changement de Constitution » qui pourrait, selon lui, « menacer » la paix et la cohésion nationale.
Le parti islamiste Ennahdha, majoritaire à la Constituante tunisienne, a décidé dimanche de ne pas présenter de candidat à la présidentielle prévue le 23 novembre, a annoncé le porte-parole de ce mouvement, Zied Ladhari.
Le président mauritanien Mohamed Ould Abdelaziz, réélu en juin avec près de 82% des voix, a été investi samedi pour un second mandat de cinq ans, promettant de continuer à lutter contre le terrorisme.
Le Parlement irakien a élu jeudi le politicien kurde Fouad Massoum à la tête de l’État fédéral. Un premier pas qui laisse augurer la formation d’un nouveau gouvernement dans le pays assiégé par des insurgés sunnites, menés par l’EI.
Désabusés, les Tunisiens ne se bousculent pas pour s’inscrire sur les listes électorales. Qui permettra à l’Instance supérieure indépendante des élections de réussir sa « phase finale » ? Peut-être l’actuel Ballon d’or, Lionel Messi…
Il faut savoir lire entre les lignes, mais Blaise Compaoré, le président burkinabé, n’élude aucune questions dans son grand entretien accordé à Jeune Afrique.
L’inscription en ligne et par SMS sur les listes électorales pour les élections législatives et présidentielle de la fin de l’année en Tunisie a été perturbée par des attaques informatiques. Selon l’Isie, l’instance chargée d’organiser les scrutins, le service a repris dans la journée de jeudi.
Le Conseil constitutionnel mauritanien a confirmé dimanche la large victoire du président Mohamed Ould Abdelaziz à l’élection présidentielle du 21 juin. L’unique recours déposé pour l’annulation du scrutin a été rejeté.
Comme Hillary, Chelsea Clinton est douée d’un phénoménal sens des affaires. En politique, elle se contente pour l’instant de donner un coup de main à sa génitrice. En attendant mieux ?
Le climat d’insécurité dans le pays n’a pas permis mercredi une forte participation des Libyens aux législatives. Un scrutin pourtant crucial pour l’avenir de la transition démocratique dans un État qui s’enfonce dans l’anarchie depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011.
Sans surprise, Mohamed Ould Abdelaziz a été réélu à la tête de la Mauritanie à l’issue du scrutin présidentiel organisé le 21 juin dans le pays. Le chef de l’État sortant a obtenu 81,89 % des voix, selon les résultats provisoires publiés dimanche par la Ceni.
Président de l’Union nationale pour la démocratie et le renouveau (UNDR) et fervent détracteur du chef de l’État Idriss Déby Itno, Saleh Kebzabo affirme son ambition de voir l’opposition tchadienne gagner du terrain aux prochaines élections législatives et présidentielle, en 2015 et 2016. Interview.
Sans surprise, les premières tendances des élections générales du 7 mai en Afrique du Sud donnent l’ANC de Jacob Zuma en tête. Avec environ 60% des voix, le parti de Nelson Mandela semble néanmoins en retrait par rapport au précédent scrutin de 2009.
Les électeurs sud-africains sont appelés mercredi à élire les 400 députés qui choisiront le 21 mai le président de la République. Malgré les tensions sociales, l’ANC, au pouvoir depuis 1994, part favori.
En RDC ou au Burundi, voire au Congo-Brazza ou au Burkina Faso, Washington s’oppose à toute modification de la Constitution destinée à permettre à un chef d’État de se maintenir au pouvoir. Et le fait savoir.