Tarik Hamane, le nouveau directeur général, déploie sa stratégie de transformation de l’Office national de l’électricité et de l’eau potable (ONEE). Coulisses.
En froid avec les autorités tunisiennes, le consortium franco-marocain s’est fait remplacer par le français Voltalia dans la réalisation de la centrale photovoltaïque de Gafsa.
L’ardoise de l’État vis-à-vis de la Société d’énergie et d’eau du Gabon aggrave la situation financière de l’entreprise, qui enregistre des résultats déficitaires depuis quatre ans.
Après avoir fait l’acquisition de Lekela Power, la coentreprise entre l’égyptien Infinity et l’émirati Masdar est devenue le plus grand producteur d’énergie renouvelable sur le continent, où elle multiplie les projets dans l’éolien, le solaire et l’hydrogène vert. Son président, le milliardaire égyptien Mohamed Ismail Mansour, dévoile à Jeune Afrique sa stratégie et ses ambitions.
L’annonce, par les distributeurs ghanéens d’électricité, de perturbations accrues du réseau électrique pour une durée de trois semaines irrite une population déjà soumise à des coupures fréquentes.
La vente à des compagnies locales de gisements onshore ne semble pas devoir résoudre les problèmes de fond qui affectent les zones pétrolifères du delta du Niger, dont la pollution.
Release – filiale de l’énergéticien norvégien Scatec – va étendre ses centrales solaires de Maroua et de Guider. Objectif : contenir les délestages dans le Nord.
Yamoussoukro va intensifier ses investissements dans le gaz naturel. L’objectif étant, selon le ministre des Mines et de l’Énergie, de renforcer l’offre énergétique du pays et réduire les temps de coupures.
Défaillances des réseaux de distribution et de transport, rôle du secteur privé, place du gaz dans la transition énergétique, crise de l’industrie éolienne, rôle de l’offgrid… Le responsable des infrastructures de la filiale de la Banque mondiale revient pour Jeune Afrique sur les grands enjeux énergétiques du continent.
En tête de l’industrie mondiale de l’atome, la Russie et la Chine entendent marquer de leur empreinte de nouveaux territoires sur le continent africain. Aux dépens de Paris et de Washington.
Algérie, Kenya, Maroc, Rwanda… ces dix dernières années, la Russie a multiplié les partenariats nucléaires sur le continent. Mais que valent-ils vraiment ?
Mises en difficulté par les déboires de l’énergéticien national, les sociétés maliennes tentent de trouver des parades pour maintenir leurs activités. Aux dépens, parfois, de leur santé financière.
La déclaration finale du forum Investing in African Energy 2024 (IAE), qui s’est tenu à Paris les 14 et 15 mai, souligne que l’Afrique doit faire partie du débat mondial sur la transition énergétique et la justice climatique.
De l’Éthiopie à la Tunisie, en passant par le Burkina, le Mali ou encore l’Ouganda, les accords nucléaires avec le russe Rosatom se suivent et se ressemblent. À y regarder de plus près, toutefois, aucun de ces projets n’a connu la moindre avancée. Et pour cause.
Après la découverte de plusieurs gisements de gaz naturel, les spéculations vont bon train sur les capacités du royaume à couvrir ses propres besoins, voire à exporter. Qu’en est-il vraiment ?
Les travaux de construction de la plus grande centrale solaire photovoltaïque d’Afrique de l’Ouest, selon la ministre malienne de l’Énergie, ont débuté vendredi près de Bamako. Un projet en collaboration avec la Russie.
Plus d’1,2 million d’euros par jour. C’est le montant des pertes évalué par l’industrie minière ivoirienne, depuis le début des pannes électriques, mi-avril, dans le pays.
Priorité stratégique de la décarbonation de l’industrie au sein de l’Union européenne, les projets de développement du « carburant du futur » sur le continent suscitent de l’espoir, mais peinent encore à décoller. Décryptage.
Patronat, OCP, ministère de l’Industrie, Masen, Royal Air Maroc… À l’Africa CEO Forum, plusieurs représentants des secteurs public et privé ont vanté les opportunités d’investissements dans le royaume.
À la veille d’un sommet organisé par l’Agence internationale de l’énergie sur la « cuisson propre » en Afrique, décryptage en infographies des enjeux derrière ces poêles innovants, qui visent à limiter les émissions de gaz à effet de serre et la déforestation, tout en promettant de préserver la santé des Africains et de favoriser l’autonomie de ces derniers.
Pour 8 Africains sur 10, bois et charbon constituent aujourd’hui encore la principale source d’énergie dans la cuisson des aliments. Avec des conséquences sanitaires, sociales et environnementales qui s’aggravent à mesure que la pression démographique s’accroît. Décryptage en infographies.
L’ouvrage construit par EDF injecte dès ce vendredi 10 mai ses 60 premiers mégawatts (MW), sur une capacité totale de 420 MW, avec la mise en service de son premier groupe. Il doit être complètement opérationnel en décembre. Mais l’arrivée de cette énergie supplémentaire risque d’accentuer la saturation du réseau.
Alors que la centrale d’Azito et la Compagnie ivoirienne de production d’électricité font face à des incidents techniques, les industriels ivoiriens saisissent leur ministre à propos des délestages qu’ils subissent.
En visite à Rabat ce vendredi 26 avril, le ministre français de l’Économie Bruno Le Maire a annoncé « l’ère d’une nouvelle coopération économique » entre les deux pays.
Après avoir échoué pendant plus deux ans à céder sa filiale marocaine Lydec au nouveau Suez, le groupe français a enfin trouvé un nouvel acquéreur. Mais à quel prix ? Chronique d’une affaire aux accents diplomatiques.
Tandis que les prix de l’électricité au Mali atteignent des sommets, du fait des difficultés du fournisseur public, certains pays comme le Maroc s’en sortent mieux.