Le président nigérian Muhammadu Buhari, qui a limogé le conseil d’administration de la compagnie pétrolière nationale, devrait la diviser en deux entités, l’une chargée de la régulation du secteur, l’autre des investissements.
Le président nigérian Muhammadu Buhari s’est engagé à récupérer les sommes d’argent ahurissantes issues de vols et de détournements de pétrole à grande échelle dans son pays et a promis de traduire les responsables de ces transactions devant la justice, a déclaré le 22 juillet son porte-parole.
La compagnie pétrolière nigériane a indiqué que sa production pétrolière cette année devrait être significativement plus faible que prévu, ce qui pourrait entraîner une hausse de ses besoins de financement.
Le nouveau directeur général de la Société nationale d’électricité du Sénégal prend ses fonctions dans une période délicate. Celle du pic de consommation de l’électricité – et donc des coupures de courant, qui ont coûté son poste à son prédécesseur.
Les investissements dans le secteur des industries extractives en Égypte sont à la hausse : ils ont bondi de 25 % entre septembre 2014 et février 2015. Le pays en avait clairement besoin : ses besoins en électricité augmentent de 6 % par an.
La construction de la centrale à charbon de Sendou est à l’arrêt depuis plus de quatre mois. Une situation qui menace l’avenir du projet dont le montant s’élève pourtant à 200 millions d’euros.
Le deuxième producteur africain de pétrole a émis un appel d’offres pour l’attribution d’un ensemble de blocs dont les réserves sont estimées à près de 7 00 000 barils chacun.
Le britannique Tullow Oil a annoncé la suspension de la production de gaz issu de son gisement phare de Jubilee au Ghana, suite à un problème technique. L’extraction de pétrole y sera quant à elle réduite à seulement 65 000 barils par jour.
Face à ces nombreux concurrents pour la construction de nouvelles centrales nucléaires en Afrique du Sud, le russe groupe Rosatom multiplie les annonces et maintient la pression.
Le secrétaire au Trésor américain et le commissaire européen au Développement ont signé un protocole d’entente fixant les contours d’une coopération avancée entre les États-Unis et l’Union européenne dans le cadre de Power Africa, le programme lancé par le président Obama afin de fournir l’accès à l’électricité à 60 millions de foyers en Afrique.
L’institution panafricaine va participer, aux côtés de la Banque de développement néerlandaise, au développement et au financement de cette centrale hydroélectrique d’une capacité de 44 mégawatts.
La société norvégienne Scatec Solar a signé avec le Mali un accord pour la construction et l’exploitation d’une centrale photovoltaïque de 33 mégawatts à Ségou.
Les fleuves du continent représentent un potentiel considérable et sous-exploité : une énergie propre et parmi les moins chères au monde. Mais pour les États, la construction d’un barrage est un long, très long parcours semé d’embûches…
En visite à Paris du 22 au 26 juin « pour resserrer les liens avec le secteur privé français », Vishnu Lutchmeenaraidoo, le ministre mauricien des Finances, a multiplié les rendez-vous avec les entreprises françaises.
Pour renfoncer les finances de la compagnie nationale d’électricité Eskom, l’État sud-africain a cédé ses parts dans l’opérateur télécoms Vodacom Group. L’acquéreur est Public Investment Corporation, gestionnaire des fonds de pension des fonctionnaires.
Platinum Power, une filiale du capital-investisseur américain Brookstone Partners installée au Maroc, a signé un accord-cadre avec le gouvernement camerounais pour le développement de la centrale hydroélectrique de Makay. Un projet dont le coût pourrait atteindre 500 milliards de F CFA (760 millions d’euros).
Réalisée moyennant un investissement de 392 millions de dollars, l’extension de la centrale d’Azito, au nord d’Abidjan, a été inaugurée le 30 juin en présence du président Alassane Ouattara.
Le groupe pétrolier nigérian a cédé, pour 276 millions de dollars, le contrôle de ses actifs dans la distribution pétrolière à un consortium formé par le négociant suisse Vitol et le capital-investisseur Helios Investment Partners
Le nouveau président du Nigeria Muhammadu Buhari a dissous le conseil d’administration de la compagnie pétrolière nationale NNPC le vendredi 26 juin. Une décision perçue comme un premier pas dans la restructuration d’un secteur pétrolier marqué par la mauvaise gouvernance et des scandales de corruption.
Affichant des pertes abyssales, le groupe français a gelé des projets miniers au Niger et en Namibie. Mais allié à EDF qui va reprendre son activité réacteurs, il lorgne des contrats nucléaires en Afrique du Sud.
Lutte contre la corruption, développement des infrastructures et répartition plus équitable des richesses… Pour tenir ses promesses électorales, le nouveau président va devoir restructurer la filière pétrolière. Et, surtout, la compagnie nationale NNPC.
Le groupe pétrolier britannique Tullow Oil a annoncé le lundi 22 juin avoir reglé un long contentieux fiscal avec les autorités ougandaises, acceptant de débourser 250 millions de dollars (220 millions d’euros).
Energy Access Ventures boucle ses premiers investissements. Destinée à améliorer l’accès à l’énergie dans les pays émergents, notamment en Afrique, la structure vient de choisir trois entreprises internationales.
Le Nigeria a retenu deux sites pour la future construction de centrales nucléaires qui doivent pallier les pannes d’électricités qui handicapent la croissance de la première économie d’Afrique depuis des décennies.
Veolia a remporté un contrat d’une valeur de 11,3 millions d’euros pour fournir des services de gestion de l’énergie à Électricité de Guinée (EDG). Le groupe français espère améliorer la distribution d’électricité dans le pays.