À la fin juillet 2015, les importations de produits énergétiques du royaume ont atteint 41,7 milliards de dirhams (3,86 milliards d’euros) , soit une baisse de -28,7 % par rapport aux sept premiers mois de l’année 2014.
Le nouveau directeur de la compagnie pétrolière Nigerian National Petroleum Corp (NNPC) a annoncé le 16 août son intention de revoir tous les contrats de partage de production et de coentreprise conclus avec ses partenaires « pour refléter la réalité actuelle du secteur mondial du pétrole et du gaz ».
Alors qu’elle connaît de très importantes difficultés financières, que son titre a été suspendu de la cote et que certaines de ses unités de production ont été arrêtées, le raffineur marocain a vu ses actifs saisis par l’administration douanière marocaine en raison de charges impayées estimées à 13 milliards de dirhams (1,2 milliard d’euros) selon la presse locale.
Selon le tout nouveau directeur général de la Nigerian National Petroleum Corporation, un audit des comptes 2014 et 2015 de la compagnie pétrolière nationale devrait être réalisé. L’entreprise a été critiquée à plusieurs reprises pour sa gestion de la manne pétrolière du pays.
La compagnie nationale d’électricité sud-africaine Eskom en grande difficulté financière a annoncé mardi que ses bénéfices avaient chuté de 49 % sur ces douze derniers mois, alors que l’économie du pays est minée par les régulières coupures de courant qu’elle impose.
Glencore a indiqué avoir baissé ses prévisions d’investissements en 2015 à 6 milliards d’euros. Le négociant suisse va inscrire une dépréciations d’actifs de 790 millions de dollars sur ses opérations au Tchad.
Le cartel de douze grands pays pétroliers, dont la production continue de dépasser les quotas fixés, mise sur une demande mondiale plus forte, capable de réduire le déséquilibre du marché et soutenir le cours du pétrole.
Pour le ministre algérien de l’Énergie, l’offre de pétrole, déjà surabondante aujourd’hui, le sera encore davantage dans les prochains mois, notamment dans la foulée de l’accord sur le nucléaire iranien. Alger prévoit une forte chute de ses recettes pétrolières cette année.
Les titres du producteur d’hydrocarbures actif au Nigeria ont été retirés ce matin de la cote à la Bourse de Londres. Ils avaient perdu 98 % de leur valeur en un an.
L’engagement est contenu dans l’avenant N°2 au contrat de concession signé le 07 août entre l’Etat du Cameroun et la filiale d’Actis. Cet accord entérine également le transfert des barrages de retenue de Bamendjin, de Mbakaou et de la Mapé, jusqu’à présent gérés par Eneo, à Electricity Development Corporation (EDC).
Lourdement endettée et durement affectée par le recul des cours du pétrole, la Samir annonce l’arrêt de certaines unités de production. Les titres du groupe marocain ont été suspendus de la Bourse de Casablanca.
Le chef de l’Etat nigérian, Muhammadu Buhari, a nommé Emmanuel Ibe Kachikwu, ancien d’ExxonMobil Africa, au poste de directeur général de la NNPC, la compagnie pétrolière nationale, quelques semaines après avoir congédié l’ensemble du conseil d’administration de cette société, a annoncé le 04 août son porte-parole.
Le pays d’Afrique du Nord a annoncé le démarrage de deux nouveaux sites pétroliers. La production de l’Algérie atteint environ 1,1 million de barils par jour.
Trois des quatre raffineries du Nigeria, à l’arrêt depuis plusieurs années, ont repris leur production et atteignent 60 à 80% de leurs capacités, a annoncé le mercredi 29 juillet la compagnie pétrolière d’État NNPC.
Malgré un net recul de son chiffre d’affaires au premier semestre 2015, le groupe pétrolier britannique a réduit ses pertes et poursuit une politique ferme de réduction des coûts.
La compagnie minière britannique qui exploite la mine d’or de Tongon, en Côte d’Ivoire, estime que les délestages ont entraîné un nette hausse de ses coûts et une réduction de sa production.
Le président nigérian Muhammadu Buhari, qui a limogé le conseil d’administration de la compagnie pétrolière nationale, devrait la diviser en deux entités, l’une chargée de la régulation du secteur, l’autre des investissements.
Le président nigérian Muhammadu Buhari s’est engagé à récupérer les sommes d’argent ahurissantes issues de vols et de détournements de pétrole à grande échelle dans son pays et a promis de traduire les responsables de ces transactions devant la justice, a déclaré le 22 juillet son porte-parole.
La compagnie pétrolière nigériane a indiqué que sa production pétrolière cette année devrait être significativement plus faible que prévu, ce qui pourrait entraîner une hausse de ses besoins de financement.
Le nouveau directeur général de la Société nationale d’électricité du Sénégal prend ses fonctions dans une période délicate. Celle du pic de consommation de l’électricité – et donc des coupures de courant, qui ont coûté son poste à son prédécesseur.
Les investissements dans le secteur des industries extractives en Égypte sont à la hausse : ils ont bondi de 25 % entre septembre 2014 et février 2015. Le pays en avait clairement besoin : ses besoins en électricité augmentent de 6 % par an.
La construction de la centrale à charbon de Sendou est à l’arrêt depuis plus de quatre mois. Une situation qui menace l’avenir du projet dont le montant s’élève pourtant à 200 millions d’euros.
Le deuxième producteur africain de pétrole a émis un appel d’offres pour l’attribution d’un ensemble de blocs dont les réserves sont estimées à près de 7 00 000 barils chacun.
Le britannique Tullow Oil a annoncé la suspension de la production de gaz issu de son gisement phare de Jubilee au Ghana, suite à un problème technique. L’extraction de pétrole y sera quant à elle réduite à seulement 65 000 barils par jour.
Face à ces nombreux concurrents pour la construction de nouvelles centrales nucléaires en Afrique du Sud, le russe groupe Rosatom multiplie les annonces et maintient la pression.
Le secrétaire au Trésor américain et le commissaire européen au Développement ont signé un protocole d’entente fixant les contours d’une coopération avancée entre les États-Unis et l’Union européenne dans le cadre de Power Africa, le programme lancé par le président Obama afin de fournir l’accès à l’électricité à 60 millions de foyers en Afrique.