L’institution panafricaine va participer, aux côtés de la Banque de développement néerlandaise, au développement et au financement de cette centrale hydroélectrique d’une capacité de 44 mégawatts.
La société norvégienne Scatec Solar a signé avec le Mali un accord pour la construction et l’exploitation d’une centrale photovoltaïque de 33 mégawatts à Ségou.
Les fleuves du continent représentent un potentiel considérable et sous-exploité : une énergie propre et parmi les moins chères au monde. Mais pour les États, la construction d’un barrage est un long, très long parcours semé d’embûches…
En visite à Paris du 22 au 26 juin « pour resserrer les liens avec le secteur privé français », Vishnu Lutchmeenaraidoo, le ministre mauricien des Finances, a multiplié les rendez-vous avec les entreprises françaises.
Pour renfoncer les finances de la compagnie nationale d’électricité Eskom, l’État sud-africain a cédé ses parts dans l’opérateur télécoms Vodacom Group. L’acquéreur est Public Investment Corporation, gestionnaire des fonds de pension des fonctionnaires.
Platinum Power, une filiale du capital-investisseur américain Brookstone Partners installée au Maroc, a signé un accord-cadre avec le gouvernement camerounais pour le développement de la centrale hydroélectrique de Makay. Un projet dont le coût pourrait atteindre 500 milliards de F CFA (760 millions d’euros).
Réalisée moyennant un investissement de 392 millions de dollars, l’extension de la centrale d’Azito, au nord d’Abidjan, a été inaugurée le 30 juin en présence du président Alassane Ouattara.
Le groupe pétrolier nigérian a cédé, pour 276 millions de dollars, le contrôle de ses actifs dans la distribution pétrolière à un consortium formé par le négociant suisse Vitol et le capital-investisseur Helios Investment Partners
Le nouveau président du Nigeria Muhammadu Buhari a dissous le conseil d’administration de la compagnie pétrolière nationale NNPC le vendredi 26 juin. Une décision perçue comme un premier pas dans la restructuration d’un secteur pétrolier marqué par la mauvaise gouvernance et des scandales de corruption.
Affichant des pertes abyssales, le groupe français a gelé des projets miniers au Niger et en Namibie. Mais allié à EDF qui va reprendre son activité réacteurs, il lorgne des contrats nucléaires en Afrique du Sud.
Lutte contre la corruption, développement des infrastructures et répartition plus équitable des richesses… Pour tenir ses promesses électorales, le nouveau président va devoir restructurer la filière pétrolière. Et, surtout, la compagnie nationale NNPC.
Le groupe pétrolier britannique Tullow Oil a annoncé le lundi 22 juin avoir reglé un long contentieux fiscal avec les autorités ougandaises, acceptant de débourser 250 millions de dollars (220 millions d’euros).
Energy Access Ventures boucle ses premiers investissements. Destinée à améliorer l’accès à l’énergie dans les pays émergents, notamment en Afrique, la structure vient de choisir trois entreprises internationales.
Le Nigeria a retenu deux sites pour la future construction de centrales nucléaires qui doivent pallier les pannes d’électricités qui handicapent la croissance de la première économie d’Afrique depuis des décennies.
Veolia a remporté un contrat d’une valeur de 11,3 millions d’euros pour fournir des services de gestion de l’énergie à Électricité de Guinée (EDG). Le groupe français espère améliorer la distribution d’électricité dans le pays.
Après plusieurs mises en demeure, le groupe pétrolier algérien Sonatrach a résilié un contrat signé en 2010 avec le groupe français Technip. D’un montant de 1 milliard de dollars (880 millions d’euros), le contrat portait sur la réhabilitation de la raffinerie de Sidi Arcine, au sud-est d’Alger.
À l’arrêt depuis deux ans, les quatre raffineries de pétrole du Nigeria devraient reprendre leur activité dès le mois de juillet 2015. Une bonne nouvelle pour le pays qui subit depuis deux mois une pénurie d’essence sans précédent.
Les chefs d’État et de gouvernement de la Cedeao ont donné leur accord pour la mise en commun de leurs ressources électriques en vue d’établir un marché régional de l’électricité pouvant mettre un terme aux coupures de courant qui pénalisent ses 15 pays membres depuis des décennies.
Au terme d’un appel d’offres, le groupe panafricain Eranove a décroché le financement, pour un montant de 110 millions d’euros, et l’exploitation, pour 30 ans, du barrage de Kenié, sur le fleuve Niger, à une trentaine de km de Bamako.
Le Cameroun a dû accélérer les négociations pour le rachat de centrale thermique du groupe Aggreko à Yaoundé (60 MW). Découvrez comment le leader mondial des solutions énergétiques temporaires a obtenu gain de cause.
Les prochaines semaines promettent des sueurs froides aux dirigeants des compagnies pétrolières présentes au Gabon. Le pays mène des audits sur la production pétrolière.
Deux ans après le lancement par Barack Obama du plan Power Africa, son coordinateur, Andrew Herscowitz, a répondu aux questions de « Jeune Afrique » en marge de l’Africa Energy Forum de Dubaï. Et est revenu sur plusieurs aspects polémiques de ce méga-programme d’électrification.
La société américaine American Capital financera près d’un quart de la construction du parc éolien de Taiba Ndiaye au Sénégal. Un projet dont le montant global s’élève à 305 millions d’euros.
Au Niger, Bolloré vient d’inaugurer sa quatrième Bluezone, un site autonome en énergie et connecté à internet. Une innovation séduisante pour le continent, toujours en manque d’infrastructures.
Chantier phare du quinquennat, le barrage et la centrale de Kaléta, en Guinée, viennent d’entrer en service. Et devraient bientôt combler la moitié du déficit national en électricité.