Le groupe Aggreko, leader mondial des services d’alimentation électrique temporaire, va installer une centrale électrique mobile de 20 mégawatts à N’djamena, la capitale du Tchad.
Le Maroc a obtenu un prêt de 654 millions d’euros auprès de la banque de développement allemande KfW. Des fonds destinés à la construction de deux centrales solaires pour la seconde phase du projet de 500 MW de Ouarzazate.
L’Etat camerounais, via la Société nationale des hydrocarbures, vient d’obtenir une hausse de la taxe sur le pétrole tchadien transitant par le pipeline Tchad-Cameroun. Le droit passe de 0,41 dollar par baril à 1,3 dollar.
Sonatrach, compagnie publique algérienne, a découvert un important gisement de pétrole à 112 km de Hassi Messaoud, le plus grand champ pétrolier du pays. L’entreprise aura recours à la fracturation hydraulique, une technique de forage controversée.
Le groupe pétrolier Cairn a pris une participation de 20% dans le permis d’exploration du Cap Boujdour, dans le cadre d’un accord avec Kosmos Energy et l’Office national des hydrocarbures et des mines du Maroc (ONHYM).
L’entreprise énergétique américaine Symbion Power cherche à se renforcer sur le continent africain. Son atout ? Power Africa, le vaste programme d’électrification annoncé début juillet 2013 par le président des États-Unis.
Avec l’inauguration le 26 octobre de la ferme éolienne d’Ashegoda, développée par une PME française, l’Ethiopie conforte sa place de leader africain sur le marché de l’énergie verte.
Après l’Espagne, la Chine et la Corée du Sud, les États-Unis souhaitent soutenir le projet de construction du barrage hydroélectrique d’Inga 3, l’un des projets les plus ambitieux de la RD Congo.
Le groupe pétrolier chinois CNPC s’est engagé à investir 150 millions d’euros dans la construction d’infrastructures routières reliant le Niger au Tchad.
Le groupe de BTP sud-coréen Daewoo E&C a remporté un contrat de 640 millions de dollars en Algérie pour construire certaines installations du gisement de Berkine.
L’Éthiopie veut devancer le continent en matière d’énergies renouvelables, notamment grâce à de gigantesques ouvrages hydroélectriques. Dernier projet en date, une centrale géothermique de 1 gigawatt dont le coût est estimé à 4 milliards de dollars.
Suspendues depuis le 12 août pour « manquements graves aux règles environnementales », les activités de l’entreprise chinoise CNPCIC pourront reprendre dans le bassin pétrolier de Bongor, à 300 km au sud de N’Djaména.
Sur les trois premiers trimestres de 2013, l’Algérie a enregistré un exécedent commercial d’environ 8,16 milliards de dollars, soit une baisse de 53,12% par rapport à 2012.
Sous peine de radiation en cas d’un troisième échec, le Cameroun est parvenu à accéder au statut de pays conforme à la norme ITIE (Initiative pour la transparence dans les industries extractives). Le Sénégal, de son côté, devient pays candidat.
Selon un rapport de la Banque africaine de développement (BAD), l’exploitation des gisements de gaz de schiste pourrait offrir à l’Afrique d’importantes perspectives économiques.
Le premier raffineur et distributeur marocain de produits pétroliers traverse une période difficile. Tarik Aoun, analyste chez AlphaMena, analyse son cours boursier pour « Jeune Afrique ».
Alors que les négociations entre AES, l’État Camerounais et le capital-investisseur Actis au sujet de la reprise d’AES Sonel se poursuivent, le consortium formé du fonds souverain d’Abou Dhabi, Mubadala, et du producteur indépendant d’électricité ContourGlobal veut revenir dans la course.
Cité dans une affaire judiciaire, Oando, le premier groupe pétrolier du Nigeria, a vu son cours plonger à la Bourse de Lagos. La direction se dit confiante et compte sur le rachat des actifs de ConocoPhillips pour se renforcer.
Le Maroc a conclu des contrats dérivés auprès de banques américaines pour se prémunir contre les risques d’augmentation des prix du carburant, selon le « Financial Times ».
Bouygues Énergies & Services, la filiale du groupe français spécialisée dans les réseaux à haute et très haute tension compte doubler son chiffre d’affaires sur le continent d’ici à 2017.
Les nouvelles découvertes d’hydrocarbures dans l’offshore profond attirent les investisseurs en Afrique centrale. L’exploration se poursuit tous azimuts et la production devrait repartir à la hausse.
Le Nigeria a complété la cession de la majeure partie de son parc électrique au secteur privé, le 30 septembre 2013, complétant ainsi l’une des dernières étapes d’un processus de privatisation destiné à mettre fin à des décennies de pénurie d’électricité.
Vitol, société de négoce basée en Suisse, est en négociation exclusive pour acquérir les 66,67 % de Harvest Natural Resources dans le bloc offshore Dussafu Marin, au Gabon. Une transaction qui s’élèverait à 137 millions de dollars.
Le français Total devient opérateur du bassin de l’Outeniqua, au sud des côtes sud-africaines. Le groupe a acquis 50 % dans le permis 11B /12B auprès de l’opérateur local CNR International.
Le groupe américain General Electric a remporté un marché de 2,7 milliards de dollars en Algérie. Le contrat prévoit la construction de 9 nouvelles centrales électriques qui devraient augmenter la production d’électricité algérienne de plus de 70%.
De nouveaux projets au Mozambique, au Congo et bientôt en Somalie ? La société pétrolière italienne ENI entend renforcer sa présence en Afrique subsaharienne.
Jean-Philipe Trin et Claude Queyranne, respectivement président directeur général et président pour l’Afrique de Bouygues Énergies & Service, entendent renforcer leurs activités en Afrique et augmenter leur chiffre d’affaires.
Glencore Xstrata veut réduire ses investissements en capital de 3,5 milliards d’ici à 2015. Sauf dans l’exploitation pétrolière où le groupe suisse augmente son budget de 650 millions de dollars, notamment en Afrique de l’Ouest.