Le groupe français va investir quelque 10 milliards de dollars et projette une production supplémentaire de 140 000 barils par jour à partir de 2017 pour une mise en production en 2015.
La junior pétrolière britannique Bowleven vient d’annoncer qu’elle allait pouvoir démarrer le développement du gisement de gaz d’Etinde, au large du Cameroun. Elle dit avoir trouvé un accord pour alimenter en gaz une usine de production d’engrais construite par l’industriel allemand Ferrostaal.
Le Kenya a le potentiel pour devenir l’une des premières puissances pétrolières africaines. À condition de mener à bien un projet de pipeline d’un coût total de 5 milliards de dollars afin d’accéder aux marchés asiatiques.
Les recettes pétrolières ont évidemment changé la donne et permettent au pays de s’équiper. Même si, en matière de redistribution et de réduction de la pauvreté, il reste fort à faire.
Le groupe italien a annoncé le 14 mars un accord avec CNPC pour un montant de plus de 4,2 milliards de dollars au Mozambique. L’arrivée du pétrolier chinois sur ce méga projet de 50 milliards de dollars pour l’exportation des gigantesques réserves de gaz naturel permet d’envisager les premiers tankers à destination de l’Asie pour 2020.
Marc Guéniat, responsable enquête à la Déclaration de Berne, auteur du rapport « Les affaires angolaises de Trafigura », a accepté de répondre aux questions de Jeune Afrique dans le cadre d’une enquête sur les maîtres de l’or noir.
Rien ne va plus entre le Conseil international de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (Itie) et le Gabon, qui a en été radié le 27 février dernier. Ce processus, dans lequel les autorités de Libreville s’étaient engagées volontairement en 2004, vise la divulgation des versements des entreprises extractives.
Les pays producteurs de ressources naturelles sont nombreux à lancer des véhicules d’investissement pour faire face à la volatilité des cours. Le tout est de savoir les utiliser à bon escient.
Le groupe français Veolia a annoncé avoir cédé ses activités de distribution d’eau, d’assainissement et d’électricité au Maroc au capital-investisseur britannique Actis, spécialisé sur les marchés émergents.
La société française de services maritimes a présenté un chiffre d’affaires en hausse de 17,7% à 1,2 milliard d’euros pour 2012. Elle veut profiter de ce contexte favorable pour épurer ses dettes, estimées à 2 milliards d’euros.
L’un des champs les plus riches en gaz naturel au large du Mozambique devrait voir arriver de nouveaux partenaires, l’opérateur américain Anadarko et l’indien Videocon cherchant à vendre chacun 10% de Rovuma.
Après une rencontre avec le président Alassane Ouattara en début de semaine, une délégation de la société pétrolière russe Lukoil a confirmé son intérêt pour le pays d’Afrique de l’Ouest. Le ministre des Mines Adama Toungara évalue les investissements prévus du russe à 300 millions d’euros.
Le 27 février 2013, le conseil international de l’Initiative pour la transparence des industries extractives (Itie) a décidé d’exclure le Gabon du processus de candidature.
La centrale électrique au gaz de Kribi, d’une puissance de 216 mégawatts, détenue en majorité par l’américain AES, commencera ses opérations commerciales à la fin mars.
Conscients de leur potentiel géothermique, de plus en plus d’Etats d’Afrique de l’Est se tournent vers cette nouvelle sources d’énergie soutenus par la Banque africaine de développement.
GPL, lubrifiant, bitume… AOG (ex Addax & Oryx Group) se déploie dans les dérivés pétroliers pour bâtir l’une des plus importantes plateformes de distribution de produits énergétiques du continent. Son patron a reçu Jeune Afrique dans les bureaux du groupe, à Genève.
La junior pétrolière Maurel & Prom, qui réalise l’essentiel de ses activités au Gabon, fait l’objet de nouvelles rumeurs de rachat. Le prétendant, Pertamina, est indonésien.
La valeur des 49,95% détenus par Tullow Oil dans le bloc de Tano est estimée par Ecobank entre 3 et 4 milliards de dollars. Le champ ghanéen, qui recèle 420 millions de barils, pourrait intéresser la société nationale ghanéenne GNPC, l’anglo-néerlandais Shell, l’américain Chevron et le sud-africain PetroSA.
Stratégie calée, tarifs négociés, financements trouvés et chantiers de court et de moyen termes engagés… La Côte d’Ivoire devrait produire plus d’électricité, à moindre coût, dès 2013.
La super junior britannique présente dans 16 pays africains a publié un chiffre d’affaires en légère hausse de 2% et a annoncé le doublement de ses investissements dans l’exploration.
Le rôle de la Suisse comme centre névralgique dans les affaires de détournement de l’argent du pétrole africain vient d’être une nouvelle fois mis à jour.. par une ONG suisse. La société Trafigura, basée en Suisse, est notamment soupçonnée d’avoir facilité la sortie illégale de devises d’Angola.