Confronté à une baisse de ses revenus en Europe, le groupe gazier français GDF Suez chercherait à privilégier les pays émergents. Il vient de signer un accord de financement avec le marocain ONE pour une ferme éolienne de 300 MW.
La major pétrolière américaine Chevron veut investir 2,5 milliards de dollars pour développer le champ pétrolier de Lianzi, au large des côtes de l’Angola et de la République du Congo.
La Mauritanie est en passe de construire une centrale électrique d’une capacité de 350 MW. D’un coût évalué à 700 millions de dollars, elle pourrait entrer en activité en 2014.
La Banque africaine de développement (BAD) vient de débloquer un prêt senior de 57,5 millions d’euros pour aider à financer deux projets hydroélectriques au Gabon menés par Coder Gabon.
Le Niger vient d’attribuer 18 contrats et conventions dans le domaine minier et pétrolier. Avec l’ambition de doper l’extraction des ressources naturelles sur son sol.
L’émirati Taqa, opérateur de la centrale Takoradi 2, utilisera les fonds apportés par plusieurs institutions de développement dont la SFI et le FMO pour augmenter de 50% la capacité de l’usine électrique ghanéenne. Sans utilisation supplémentaire de fuel.
La junior pétrolière de l’homme d’affaires australo-roumain Frank Timis a acquis un nouveau bloc au large de la Sierra Leone et signé un memorandum avec Petrochina.
Grâce à l’amélioration des techniques de prospection, des réserves de pétrole et de gaz ont été mises au jour sur le continent. Un marché de 5 milliards d’euros d’ici à quatre ans pour les sociétés spécialisées.
La Banque mondiale accorde pour 684 millions de dollars de prêts à l’Éthiopie et au Kenya pour le financement d’une ligne électrique transfrontalière qui permettra au premier de fournir le second en électricité.
Attaquée récemment par deux grands investisseurs internationaux, la Guinée équatoriale met cette fois fois en cause le groupe pétrolier américain CMS Energy devant le tribunal d’arbitrage de la Banque mondiale, le Cirdi.
D’après le site Zawya, la compagnie nationale algérienne des hydrocarbures Sonatrach aurait choisi Total pour sa future usine de méthanol d’Arzew, à Oran.
En poste depuis 2004, Noureddine Boutarfa, PDG de Sonelgaz, milite pour la libéralisation des tarifs en Algérie. Cela permettrait notamment au groupe de financer le virage des énergies renouvelables.
La société allemande Leoni, spécialisée dans l’équipement d’installations solaires et qui emploie 25 000 personnes en Afrique du Nord, a rejoint le consortium Desertec en tant que partenaire associé.
Puma Energy a acquis Vitogaz Sénégal, qui détient un terminal GPL sur le port de Dakar. La filiale de Trafigura et Sonangol poursuit ainsi son offensive en Afrique.
Jean-Marc Darboux est président pour l’Afrique de Schneider Electric, leader français de la gestion de l’énergie présent sur le continent depuis près de quarante ans. Selon lui, entre croissance économique et déficit énergétique criant, l’avenir s’y annonce prometteur.
La junior britannique Heritage s’est offert un droit d’accès au pétrole nigérian en rachetant des parts des champs pétroliers de Total, Shell et ENI pour 850 millions de dollars.
Tous les moyens doivent être mobilisés pour permettre à l’Afrique d’atteindre son objectif : équiper les 500 millions de foyers qui n’ont toujours pas le courant.
Le gouvernement algérien est désormais décidé à exploiter le gaz de schiste. Un choix controversé, sur fond de révision prochaine de la réglementation.
Le président nigérian Goodluck Jonathan limoge l’état-major de la compagnie nationale NNPC. La ministre des finances estime qu’environ un milliard de dollars partent en fumée chaque mois à cause des détournements dans le secteur.
L’émiratie Taqa, propriétaire de la centrale thermique de Jorf Lasfar, au Maroc, vient de sécuriser un prêt de 1,4 milliard de dollars pour en accroître la capacité de 700MW.