Alors que le bâti s’étend et que la presqu’île étouffe, jardins et aménagements paysagers regagnent du terrain, notamment à Cambérène, dont le parc respire à nouveau.
Le 1er janvier, le Gabon accédera à la présidence du Groupe des négociateurs africains sur le climat. Cette décision sera officialisée à Madrid le 13 décembre, en clôture de la COP25.
La protection de l’environnement, loin d’être un luxe hors de portée des Africains, devient une condition indispensable à son développement. Le réchauffement climatique la menace directement, de la montée des eaux à la mise en danger des rendements agricoles.
Deux décennies durant, la finance carbone s’est tenue à l’écart du continent. Elle pourrait cependant revenir en force, à la faveur des négociations qui se jouent lors de la COP 25 de Madrid, qui s’est ouverte lundi pour deux semaines.
De nombreuses victimes ont été emportées par des éboulements de terrain tandis qu’au moins deux ponts se sont effondrés dans la capitale de la République démocratique du Congo (RDC).
Lors de la prochaine COP, qui s’ouvrira à Madrid le 2 décembre, le président congolais annoncera l’opérationnalisation du Fonds bleu, destiné à préserver le Bassin du Congo, deuxième réservoir de carbone du monde.
Situé au large de Monastir, cet archipel dont la biodiversité est aussi riche que vulnérable reste relativement préservé : seule la plus petite des deux îles est accessible aux touristes.
Le Forum de Paris sur la Paix a été l’occasion de rappeler l’importance des objectifs mondiaux de développement durable (ODD) de l’ONU, véritables armes contre les conflits. Mais au-delà des paroles, il est urgent de passer à l’action, en particulier sur le continent africain.
Le plus grand désert du monde peut devenir une planche de salut si la possibilité, bien réelle, de sa transformation est prise au sérieux. C’est la thèse que défend un livre de l’ingénieur Jean-Edouard Buchter, paru aux éditions Favre en septembre 2019.
À Bandia, à une soixantaine de kilomètres à l’est de la capitale Dakar, les projets d’extension d’une cimenterie font craindre la désolation pour l’une des plus belles forêts de baobabs du Sénégal…
Les autorités sud-africaines ont annoncé lundi 28 octobre qu’elles avaient imposé des restrictions d’eau dans les principales villes du pays, « pour éviter le redoutable Jour Zéro », lorsque l’eau cessera de couler du robinet.
En visite sur les îles Glorieuses mercredi, le président français a annoncé que l’archipel sera classé en réserve naturelle dès 2020. Il fait partie de l’ensemble des îles Éparses, administré par la France, dont Madagascar revendique la souveraineté.
Au Zimbabwe, plus de 50 éléphants sont morts depuis un mois en raison du réchauffement climatique. De leur côté, les populations de girafes ont diminué de près de 40 % en trois décennies en Afrique, dans la plus grande indifférence.
Les États africains signataires de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zleca) ne peuvent faire l’économie d’une discussion sur les enjeux environnementaux, cruciaux pour assurer un vrai développement durable.
Un grand dépôt de carburant est parti en fumée samedi 28 septembre dans un quartier populaire de Kinshasa, où les habitants ont dénoncé la mise en place d’entrepôts de produits inflammables au milieu des habitations.
Le Gabon devrait recevoir un financement du Fonds norvégien de 136 millions d’euros d’ici 2025 l’encourageant à ne pas déforester. Le pays, recouvert à plus de 80% de forêts, mérite-t-il vraiment sa réputation internationale de « bon élève » en matière d’environnement ?
Les dirigeants de la planète se sont réunis lundi au siège de l’ONU à New York pour participer à un sommet consacré à l’urgence climatique. L’occasion pour les chefs d’État africains de rappeler l’importance de l’impact du réchauffement climatique sur le continent et de demander des mesures plus concrètes de la part de la communauté internationale.
Alors que le sommet sur le climat s’ouvre ce lundi à l’ONU, les sites du patrimoine mondial naturel recensés l’UNESCO – qui couvrent une superficie équivalente à celle de la Chine – pourraient permettre de lancer un plan d’urgence et d’investissement massif pour les zones les plus critiques, en particulier en Afrique.
La réserve naturelle des gorilles de Lésio-Louna a pour objectif de protéger ces espèces emblématiques et de récupérer des orphelins, dont les parents ont été tués par des braconniers. Objectif : les réintégrer à la vie sauvage.
Alors que le Congo-Brazzaville est à la pointe des questions de développement durable, nombre de sociétés continuent d’y travailler sans se soucier de la biodiversité. Un paradoxe.
Alors que la forêt amazonienne est ravagée par des incendies inédits, de nombreuses voix se sont inquiétées des feux en Afrique. Mais ces incendies ne sont pas de même nature.
Denis Sassou Nguesso et Emmanuel Macron tiendront le 3 septembre leur premier tête-à-tête à Paris. À l’heure où l’Amazonie brûle, l’environnement et le climat seront au cœur des discussions entre les deux chefs d’État.
Des défenseurs de l’environnement nigériens et internationaux ont lancé une pétition contre le déclassement de la moitié de la grande réserve naturelle nigérienne de Termit et Tin Toumma au profit de China National Petroleum Corporation (CNPC).
Dans un nombre croissant de pays, la préservation de l’environnement est au cœur du discours des dirigeants. Mais les résultats sont-ils toujours au rendez-vous ?
En Afrique, comme ailleurs, les initiatives visant à « verdir » les pratiques agriculture se multiplient. Exemple avec l’Association tunisienne de permaculture (ATP), qui cherche à « promouvoir les semences paysannes ».
À 15 km à peine au sud de Ouagadougou, la ville nouvelle de Yennenga est en train de sortir de terre sur une superficie de 678 ha, et les premiers habitants sont déjà installés.