En marge de la 38e assemblée générale de la Fanaf, Alfred Yaméogo, DG de NSIA au Congo-Brazzaville, évoque la santé du groupe d’assurances et son avenir, alors que son principal actionnaire minoritaire a mis ses parts en vente.
Donald Kaberuka, le président de la Banque africaine de développement (BAD), a décidé de faire le ménage parmi les équipes chargées du retour de l’institution à son siège statutaire, à Abidjan.
La Côte d’Ivoire va émettre 250 milliards de F CFA (375 millions d’euros) d’obligations sur le marché financier régional, à partir du 25 février 2014. L’État ivoirien a mandaté NSIA Finances et Bank of Africa pour mener à bien cette opération.
Lamido Sanusi, le gouverneur de la Banque centrale du Nigeria, a déclaré à la chaîne de télévision américaine CNBC Africa qu’il contesterait la décision surprise du président Goodluck Jonathan de le suspendre, afin de « préserver l’indépendance » de l’institution.
Le président nigérian Goodluck Jonathan a annoncé le 20 février la suspension du gouverneur de la Banque centrale du Nigeria, Lamido Sanusi, pour fautes et pour avoir éloigné l’institution de son mandat de base.
L’assureur camerounais Chanas, spécialisé jusqu’alors dans les risques des secteurs du pétrole et des transports, s’adresse désormais aux particuliers et aux PME du Cameroun.
L’agence Bloomfield Investment s’apprête à noter Abidjan. La capitale économique ivoirienne est la deuxième métropole de la zone UEMOA à recevoir une note après Dakar, qui avait été évaluée par la même agence en octobre 2013.
Parallèlement à la mise en place de systèmes publics de couverture maladie, le rôle des compagnies privées est appelé à s’accroître. Paradoxe ? Pas vraiment.
Le Cameroun veut se doter d’une bourse des matières premières agricoles dès 2015. Le cabinet de consultance Eleni LLC a été désigné pour mener une étude de faisabilité dont le rapport est attendu en août.
On la connaît mal, mais la Deutsche Investitions und Entwicklungsgesellschaft (DEG), l’institution financière de développement allemande, est la première d’Europe. Comment compte-t-elle renforcer sa présence en Afrique ? Son patron évoque les grandes lignes de sa stratégie.
KfW, la première banque allemande de développement, a octroyé le 17 février 2014 une ligne de refinancement de 200 millions d’euros à Finéa, filiale de la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) marocaine. Ces fonds sont destinés au soutien des PME locales.
La République démocratique du Congo sera 36e pays africain à rejoindre la Banque africaine d’import-export (Afreximbank) en tant que membre et actionnaire, indique l’institution bancaire dans un communiqué.
Menés par Wilmar, des actionnaires récemment entrés au capital de Cosumar lancent une offre publique d’achat. Mais pas de quoi perturber la stratégie du sucrier.
Exclusif. Dans un email adressé aux 80 principaux dirigeants d’Ecobank, Thierry Tanoh, directeur général du groupe, attaque à mots couverts ses adjoints, estimant que « les résultats des audits en cours sur des transactions passées suscitent de l’inquiétude chez des gens qui auraient pu être liés à ces transactions ».
Malgré un rendement élevé et des fondamentaux solides, Maroc Télécom reste peu attractif pour les investisseurs boursiers, mais la situation devrait certainement changer avec l’entrée d’Etisalat dans son capital. Décryptage avec Taha Jaidi, responsable desk actions chez Attijari Intermédiation.
La BAD devrait réintégrer ses locaux à Abidjan en Côte d’Ivoire d’ici à la fin 2014, une fois les travaux de réhabilitation du siège terminés. Cette relocalisation se soldera par la déménagement de 2 500 fonctionnaires ainsi que par la mise à disposition de nouveaux bâtiments dans le quartier du Plateau.
Selon Reuters, Albert Essien, numéro deux d’Ecobank, a demandé dans un email co-signé par trois autres dirigeants du groupe bancaire le départ de Thierry Tanoh. Les directeurs exécutifs ne citent pas de griefs particuliers contre l’actuel directeur général mais s’inquiètent des conséquences de la crise que traverse l’institution.
La capitale du Burkina Faso abrite du 17 au 21 février la 38e assemblée générale de la Fanaf pour réfléchir aux innovations nécessaires pour améliorer la viabilité d’un secteur qui peine encore à trouver sa place, notamment au Burkina Faso.
Pour Pathé Dione, le très sage PDG du groupe Sunu Assurances, trop de petites sociétés du secteur ne sont pas assez bien gérées. Avant de se lancer dans de nouvelles conquêtes, mieux vaut d’abord consolider les acquis !
Coface Services Maghreb rassemble ses équipes à Casablanca. La filiale marocaine de l’assureur-crédit français, présente au Maroc depuis 2007, a vu ses effectifs quadrupler au cours des deux dernières années.
Le quotidien Le Monde révèle que les juges français en charge de l’enquête sur les avoirs détenus en France par la famille Obiang s’intéressent à la filiale équato-guinéenne de la Société générale. Sous pression, celle-ci aurait permis le transfert de très importantes commissions sur les ventes de bois.
Dans un entretien à « Jeune Afrique », Andrew Alli, PDG de Africa Finance Corporation (AFC), détaille les ambitions de cette jeune institution multilatérale financière en zone francophone.
La Banque Populaire, maison-mère du groupe bancaire ouest-africain Banque Atlantique, a annoncé avoir mobilisé 250 milliards de FCFA (environ 500 millions de dollars) pour l’État du Sénégal. 150 milliards en monnaie locale et le reste en euros.
L’opérateur télécoms Burbinabè Onatel annonce avoir réalisé un résultat net en hausse de 67% à 20,4 milliards de F CFA (30,6 millions d’euros) sur l’année 2013.
La BOAD a signé un contrat de financement de 4 milliards de F CFA (6 millions d’euros) avec la société sénégalaise Satrec et a octroyé un prêt de 10 milliards de F CFA (15 millions d’euros) au Port autonome de Dakar. L’institution a en outre signé un accord de coopération avec Bank of Africa.
Leur spécialité : l’aménagement du territoire avec Horizons Azur et la banque avec Trust Merchant Bank. Portraits de Georges Songi et Olivier Meisenberg, deux entrepreneurs en RD Congo qui n’ont pas froid aux yeux.
Les citoyens marocains détenant illégalement des avoirs à l’étranger sont priés de les rapatrier. Leur amnistie doit permettre de renflouer les réserves de change du Maroc.