Le géant américain du « private equity » veut lever un fonds de plus de 500 millions de dollars destiné à l’Afrique. Mais il reste pour l’instant modeste en matière de recrutements.
À la faveur du retrait de l’État, Banque populaire se réorganise. Mais alors que ses concurrents sont passés à la vitesse africaine, sa priorité reste la rentabilisation de ses filiales chérifiennes.
Access Bank et First City Monument Bank rachètent deux établissements en difficulté. Leurs confrères restent pour l’instant attentistes, tout comme les institutions étrangères.
La multiplication du nombre d’agences bancaires alimente les besoins en main-d’œuvre. Les chargés de clientèle, notamment, sont très recherchés. Zoom sur une profession qui a le vent en poupe.
Que ce soit par leur prise de fonctions ou par des opérations financières remarquées, ces trois hommes ont défrayé la chronique depuis le mois de janvier. Parcours.
La présence du géant français en Afrique est un legs des Banques populaires et des Caisses d’épargne, réunies en 2009. Aujourd’hui, l’heure est à la mise en musique d’une véritable partition internationale.
Aux commandes de Bank of Africa depuis le 1er janvier, le groupe marocain BMCE Bank n’entend pas faire de révolution. Sa priorité: la bonne gouvernance et la maîtrise des risques.
Les troubles en Afrique du Nord et en Côte d’Ivoire pèseront sur les résultats 2011 des banques. La hausse des créances douteuses et le ralentissement économique pourraient pénaliser leur activité.
Depuis 2009, l’ex-ministre des Mines dirige une société d’ingénierie financière. Il vient de convaincre un businessman israélien d’investir 1 milliard de dollars en Afrique de l’Ouest.
Le géant américain du « private equity » veut lever un fonds de plus de 500 millions de dollars destiné à l’Afrique. Mais il reste pour l’instant modeste en matière de recrutements.
L’assureur français Axa a signé mardi à Alger un partenariat qui lui permet d’opérer en Algérie avec deux entreprises publiques. Une installation qui découle du règlement d’un vieux contentieux entre Alger et Paris.
Résultats flatteurs et cours de Bourse qui s’envolent : le groupe britannique Tullow Oil récolte les fruits de ses prises de risques sur le terrain. Mais il n’est pas seul : des titres comme Afren et Kosmos Energy prennent le même chemin.
La Banque centrale populaire sera désormais majoritairement détenue par les Banques populaires régionales. Permettant au Groupe Banque populaire de disposer désormais d’une véritable organisation mutualiste.
L’épreuve continue pour le directeur général du FMI, Dominique Strauss-Kahn, inculpé d’agression sexuelle à New York. Sa présentation devant un juge a été repoussée de vingt-quatre heures, le temps pour les enquêteurs d’approfondir leurs recherches en faisant notamment de nouveaux prélèvements ADN.
Le groupe pétrolier codécouvreur du champ de Jubilee au Ghana, également présent au Cameroun et au Maroc, fait ses premiers pas à la Bourse de New York.
Introductions en Bourse, fusions-acquisitions, emprunts obligataires… Les banques d’investissement internationales sont incontournables pour les grandes opérations transfrontalières. Mais les acteurs spécialistes de l’Afrique commencent à compter sur ce marché très fermé.
Les groupes du continent semblent se sentir à l’étroit sur les Bourses régionales. Ils préfèrent aller chercher leurs financements à Londres, New York ou Toronto.
La venue du président rwandais Paul Kagamé en France, finalement prévue pour début juillet, pourrait relancer une coopération devenue atone entre les deux pays.
En Afrique, les banques recrutent surtout des commerciaux. Mais elles offrent aussi quelques postes très convoités dans la finance spécialisée, rémunérés plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.
Malgré le gel des parts détenues par les proches de Ben Ali, les cinq principales entreprises concernées ont bien résisté en Bourse. Preuve qu’elles restent des valeurs intéressantes ?
Affectées par le « printemps arabe », les places du continent accusent de fortes chutes, et les gérants sont partagés entre attentisme et prise de risque. Le point sur les valeurs qui ont la cote.
L’agence de notation Fitch surveille de près les filiales nigérienne et béninoise de Bank of Africa. Qui seraient particulièrement vulnérables aux effets de la crise ivoirienne.