Le numéro un du médicament en algérie investit 230 millions de dollars pour renforcer sa position de leader national et se développer dans les pays arabes et en Afrique subsaharienne.
Face à la menace d’une récession prolongée, les pays développés, États-Unis et Royaume-Uni en tête, n’ont d’autre choix que de creuser de vertigineux déficits.
Le 12e sommet de l’Union africaine (UA) à Addis Abeba consacrait sa dernière journée aux conséquences de la crise économique mondiale sur l’Afrique, sur fond de craintes d’une baisse de l’aide internationale au continent.
La Banque centrale du Zimbabwe a retiré 12 zéros de la monnaie locale et introduit sept nouveaux billets pour tenter d’injecter de l’argent liquide dans une économie souffrant d’une hyperinflation record et déjà largement « dollarisée ».
Après les opérateurs de téléphonie, les écoles et les restaurants, même le journal officiel du Zimbabwe a fini par céder face à la dévaluation vertigineuse de la monnaie nationale: il se vend désormais pour un dollar américain.
Le directeur général des impôts du Cameroun a dénoncé des « fraudes massives » par certains de ses agents et déploré des résultats en deçà des prévisions avec 58 millions d’euros collectés en 2008, selon ses propos rapportés par le quotidien d’Etat Cameroon Tribune.
La bourrasque financière qui menace l’économie mondiale ne devrait pas épargner le continent au cours de l’année 2009. Toutefois, des entrepreneurs continuent de nourrir des projets ambitieux, et pas seulement dans les secteurs liés à l’exploitation des matières premières. Certains misent sur l’agro-industrie, le transport aérien ou la production d’énergie, domaines dans lesquels le retour sur investissement est souvent plus long qu’ailleurs.
Depuis la signature de l’accord de paix en 2000, la période de transition et les élections de 2005, le pays tente, au prix de nombreuses réformes structurelles, de remonter la pente. Avec plus ou moins de succès.