Après avoir bouclé l’année 2019 sur une franche progression, la Bourse de Casablanca a entamé une année 2020 sous de bons auspices, avec l’entrée en vigueur de la nouvelle réglementation de l’Autorité marocaine du marché des capitaux et des taux bas.
Ancien gouverneur adjoint de la Banque centrale d’Afrique du Sud (South African Reserve Bank), Aaron Daniel Mminele, de son nom complet, prendra ses fonctions le 15 janvier. Il sera, depuis sa création en 1991, le premier directeur général noir d’Absa Bank.
Jeune Afrique dévoile son classement général 2019 des 200 premières banques africaines, permettant de les comparer par leur bilan et leur produit net bancaire. Si le top 10 reste dominé par les établissements bancaires sud-africains, les marocains y consolident leur ancrage.
Le crowdfunding arrive bientôt au Maroc. Les députés y ont commencé l’examen d’un projet de loi qui doit encadrer le financement participatif. Ce nouveau moyen de financement doit s’ouvrir à des épargnants modestes et connectés.
La lecture des chiffres de l’exercice 2018 pourrait mener à conclure un peu vite à que l’année a marqué un net recul des banques sur le continent, mais les résultats sont à nuancer : les sociétés africaines pèsent de plus en plus sur le continent.
La numérisation financière qui gagne l’Afrique expose aussi les banques et assurances du continent à des cyberattaques de pirates informatiques peu scrupuleux. Les efforts en matière de sécurité informatique dans le secteur financier sont indispensables.
Chaque année, l’établissement tunisien truste les premières places du secteur bancaire. Une hégémonie qui devrait perdurer, même si ses concurrents progressent…
La société d’assurances négocie un tournant bancaire et compte bien s’imposer parmi les géants du secteur en Afrique de l’Ouest et en Afrique centrale.
Approuvé par l’exécutif, le rachat du groupe par la caisse ivoirienne de retraite diversifie le portefeuille de celle-ci et repositionne l’État sur un segment où il était peu présent.
L’établissement bancaire contribue au financement en amont de certains programmes d’investissements exécutés par d’autres banques. Des interventions destinées à influencer les équilibres monétaires et macroéconomiques, comme le font les banques centrales.
En 2018, le nombre d’opérations a baissé sur les Bourses du continent, qui peinent à attirer de nouveaux émetteurs. La Tanzanie, le Zimbabwe et la Tunisie font figure d’exceptions notables.
L’agence de notation financière américaine vient de revoir à la baisse la perspective des banques africaines pour l’année 2020, de stable à négative, en raison de la dégradation des conditions d’exploitation et de la pression croissante exercée sur la qualité de leurs actifs.
Anticipant l’ouverture du système bancaire éthiopien à la concurrence étrangère, finalement ratifiée cette année, la cinquième plus grande banque du pays a consolidé ses fondements et amélioré sa profitabilité.
Le fils de l’ancien président angolais José Eduardo dos Santos comparaît depuis lundi devant un tribunal de Luanda pour des faits de corruption, le tout premier procès visant un membre de la famille de l’ex-maître absolu du pays.
La feuille de route ambitieuse de ce spécialiste du transfert d’argent, qui se prépare à se lancer à l’international, a su attirer un investisseur de poids, alors même que de chaque côté on se projette vers les pays d’Afrique subsaharienne.
Centralien et financier, Julien Lefilleur a créé Enexus afin d’accompagner les entreprises présentes en Afrique dans leurs opérations d’acquisition, de vente ou de levée de fonds. Il était le Grand Invité de l’économie RFI-Jeune Afrique vendredi 6 décembre sur RFI, à 12 h 10 heure de Paris, 10 h 10 TU.
Pour son quinzième réapprovisionnement depuis sa création en 1972, le Fonds africain de développement (FAD) vient de rassembler trente-deux pays donateurs, pour soutenir des projets de développement dans les pays les plus pauvres du continent.
Le géant pétrolier saoudien Aramco est parvenu à lever 25,6 milliards de dollar pour ce qui va devenir la plus grosse introduction en Bourse de l’histoire.
Des taux d’intérêt en baisse, des échéances plus lointaines, des émetteurs toujours plus nombreux… Le marché international de la dette obligataire séduit les États africains.
Après le désengagement de Barclays, la banque sud-africaine Absa Bank peine à dessiner un projet commercial dans un contexte concurrentiel et économique tendu.