Barclays a l’intention de vendre 16% des parts de sa filiale africaine, Barclays Africa Group, une fois qu’elle aura obtenu l’autorisation des régulateurs sud-africains, a dévoilé Bloomberg le 12 mai.
Dans le royaume, son nom est encore lié au souvenir du plus grand scandale du secteur. Souhaitant faire table rase de ses déboires passés, le groupe bancaire s’est modernisé.
La politique d’expansion des banques marocaines en Afrique fait peser un risque sur leur profil de crédit à court terme, selon un rapport publié jeudi 11 mai par l’agence de notation Fitch Ratings.
Ce Français quitte le poste de directeur Afrique et Moyen-Orient qu’il occupait chez l’assureur français. Il y est désormais chargé des affaires publiques et de la responsabilité d’entreprise au niveau mondial.
Comment apporter une solution de gestion à bas coût aux commerçants du secteur informel – prépondérant sur le continent – tout en ne se limitant pas à une énième application mobile ? C’est à cette question que la société Somtou tente de répondre à Dakar depuis deux ans via un terminal simple d’utilisation et censé résister aux conditions de vente les plus difficiles.
L’affaire est vieille de sept ans mais a connu une étape judiciaire importante début mai devant la Cour de justice de l’Union européenne : un voyageur en transit à l’aéroport Paris-Charles-de-Gaulle en provenance de Cotonou et à destination de Beyrouth avec la bagatelle de 1,6 million de dollars en liquide était tenu de les déclarer. Ce qu’il contestait.
BNP Paribas veut délocaliser des activités informatiques liées à sa banque de détail au Maroc. Ce transfert concerne 150 emplois actuellement basés en Île-de-France.
Spécialiste des ressources humaines, cette Kényane devient directrice des opérations du fonds consacré aux infrastructures, lancé par la BAD (Banque Africaine de Développement) et installé à Casablanca. Elle était jusqu’ici en poste à l’ONU
Dans le duel à distance entre la capitale économique ivoirienne et sa rivale sénégalaise pour s’imposer comme la plateforme régionale des sociétés de capital-investissement, Abidjan a, pour l’instant, l’avantage.
Réunis à Abidjan en avril, bailleurs de fonds et gestionnaires d’actifs se sont penchés sur l’avenir du private equity en Afrique. Une activité encore peu connue sur le continent, qui doit améliorer son image auprès des chefs d’entreprise et, demain, de l’opinion publique.
Les crédits octroyés à la famille et aux proches de l’ex-président tunisien Zine El Abidine Ben Ali sont suspectés d’avoir mis à genoux les banques publiques. Justifiée ou non, l’idée est enracinée dans l’opinion tunisienne.
C’est à Ouagadougou que les deux institutions françaises ont annoncé le fruit de leur rapprochement : 600 millions d’euros, dont la moitié sera consacrée aux infrastructures sur le continent.
Au lendemain de l’ouverture à Londres du procès entre la Libyan Investment Authority (LIA), le fonds souverain créé par Mouammar Kadhafi, et la Société générale, les deux parties annoncent avoir trouvé un accord transactionnel de 963 millions d’euros mettant un terme au contentieux.
Dans un rapport sur l’attractivité de l’Afrique publié début mai, le cabinet d’audit Ernst & Young (EY) dresse un bilan mitigé des IDE à destination du continent. L’incertitude géopolitique et le ralentissement de la croissance des poids lourds africains sont toutefois compensés par le dynamisme économique d’autres pays et les investissements chinois.
Six mois après son procès contre Goldman Sachs, la Libyan Investment Authority, le fonds souverain créé par l’ex-dictateur Mouammar Kadhafi, va revenir, mercredi, devant les tribunaux londoniens pour étayer ses accusations de corruption contre la Société générale.
Le Sénégalais, Mamadou Ndiaye prend la direction du Conseil régional de l’épargne publique et des marchés financiers de l’Uemoa, en remplacement du Bissau-Guinéen Jeremias António da Cruz Pereira.
Renflouées en 2014, BNA, STB et BH affichent toujours de piètres résultats. Le Premier ministre plaide pour un désengagement de l’État de deux d’entre elles, suscitant interrogations et résistances.
Au Burkina-Faso, la Société Générale a mis en place un système de banques mobiles qui se déplacent à travers le pays. Deux véhicules font office d’agences, et vont cueillir de nouveaux clients directement sur le terrain, particulièrement les jeunes. Un reportage de « Réussite », l’émission coproduite par le groupe Jeune Afrique, Canal + et Galaxie presse.
Cet ancien du Prytanée militaire de Saint-Louis est le nouveau DG de Citi Bank Sénégal. Il remplace Khady Dior Ndiaye, aujourd’hui à la tête de Citi Côte d’Ivoire et directrice pour l’Afrique francophone de l’Ouest et du Centre
Le Sénégal s’apprête à émettre ce mois-ci un eurobond − un emprunt obligataire international − afin de financer une série de projets d’infrastructures qui doivent tirer la croissance du pays à 7% à partir de l’an prochain, rapporte l’agence Reuters.
La Banque centrale des États de l’Afrique centrale tord le cou à la rumeur qui court depuis une semaine selon laquelle elle imprimerait désormais sa propre monnaie.
Ce moyen de financement innovant, annoncé en décembre dernier, devra attendre le vote du budget au Parlement. Il doit notamment permettre au Nigeria de résorber son déficit en infrastructures.
Confrontées à la crise économique, les banques du Zimbabwe vont peut-être se voir obligées d’accepter les chèvres, les vaches et les moutons comme garantie en l’échange de l’octroi d’un prêt. C’est en tout cas toute la teneur d’une loi qui doit être examinée cette semaine au Parlement.
Selon les informations de Jeune Afrique, l’exécutif burkinabè a entériné la création d’un fonds annuel de deux milliards de francs CFA sur cinq ans pour financer les start-up du pays. Il espère doper l’innovation et créer in fine environ 500 petites et moyennes entreprises.
Les chiffres préliminaires rendus publics par l’OCDE ce mardi montrent une érosion de l’Aide publique au développement (APD) à destination de l’Afrique, et de l’Afrique subsaharienne en particulier.
Makhtar Diop, le vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique, a bouclé ce 6 avril une visite de 48 heures au Togo au cours de laquelle il a signé avec les autorités de Lomé trois accords de financement. À la clé, 39 milliards de francs CFA, soit 60 millions d’euros.
La visite des officiels du Fonds monétaire international (FMI) devant permettre de débloquer de nouvelles tranches de prêt se fait attendre. Or le pays a besoin de ces ressources pour faire face à ses échéances.
Quelques jours après le limogeage de Pravin Gordhan, le ministre des Finances respecté des milieux d’affaires mais rival de Jacob Zuma, l’agence de notation Standard and Poor’s a abaissé la note souveraine de l’Afrique du Sud à BB+, dans la catégorie spéculative. Cette annonce a aussitôt fait chuter le rand face au dollar.