Selon les informations de « Jeune Afrique », les deux sociétés de gestion et d’intermédiation se sont arrogées la part du lion, dans une opération publique de vente, au grand dam de leurs concurrentes.
Ecobank Transnational Incorporated et l’ancien président de son conseil d’administration, le Nigérian Kolapo Lawson, démissionnaire en 2013 durant la crise de gouvernance traversée par le groupe panafricain, ont trouvé un accord financier mettant un terme aux procédures judiciaires qui les opposaient.
Le groupe télécoms sud-africain va céder 4 % supplémentaires de son capital à des investisseurs sud-africains noirs, en conformité avec les quotas imposés par le gouvernement.
L’association des personnels de la Banque mondiale n’y va pas par quatre chemins pour dénoncer le mode de désignation du président de l’institution de Bretton Woods.
KCB M-Pesa, la plateforme mobile d’épargne et de crédit ouverte en partenariat avec la célèbre application de paiement mobile de Safaricom a permis la délivrance de 10,3 milliards de shillings kényans (88,2 millions d’euros) de prêts compris entre 10 et 400 euros en un an et demi, a fait savoir l’opérateur téléphonique kényan jeudi.
Le groupe bancaire panafricain a vu son bénéfice courant croître de +5 % au premier semestre 2016, malgré un environnement macroéconomique difficile en Afrique du Sud et le recul du naira nigérian.
Désormais à la tête du fonds spécialisé dans les infrastructures, le Camerounais définit ses ambitions pour ce véhicule d’investissement soutenu par vingt-deux pays actionnaires.
Un article de l’agence « Bloomberg » mettant en exergue la chute du naira et le rétablissement du rand sud-africain a déclenché des réactions en série pointant le « recul » de l’économie nigériane. Les chiffres racontent une autre histoire. Décryptage.
Les autorités camerounaises ont conclu des accords de financement pour le complexe sportif d’Olembé, au nord de Yaoundé. D’un coût de 163 milliards de F CFA (248,5 millions d’euros), sa construction doit durer 30 mois. Le chantier a été confié au groupe de BTP italien Piccini.
Dans sa nouvelle édition double n°2901-2902, en kiosques du 14 au 27 août, « Jeune Afrique » présente une enquête exclusive sur la stratégie et les ambitions en Afrique du milliardaire Jean-Claude Mimran, le puissant patron de la Compagnie sucrière sénégalaise (CSS). Découvrez également un focus sur les retards du projet de métro d’Abidjan et un dossier sur l’économie du sport en Afrique.
Le gouvernement libyen soutenu par les Nations unies a annoncé lundi la nomination d’un comité intérimaire de cinq membres pour gérer les avoirs du fonds souverain du pays qui se montent à 67 milliards de dollars (60 milliards d’euros).
Les équipes du Fonds monétaire international ont trouvé ce jeudi un accord préliminaire avec le gouvernement égyptien pour un prêt d’environ 12 milliards de dollars. Ce financement doit maintenant être approuvé par le conseil d’administration du FMI.
L’agence américain a sorti la notation souveraine du pays de la catégorie « défaut partiel », après que Brazzaville s’est acquitté d’un arriéré sur un emprunt international. Standard & Poor’s souligne toutefois de la baisse des actifs liquides externes du pays.
Les autorités congolaises ont procédé à un paiement estimé à 21 millions de dollars pour l’échéance de fin juin 2016 de son emprunt international de 2007. Une « erreur administrative » a empêché la réalisation de ce paiement à temps, entraînant la dégradation de la note du pays.
Inculpés pour faux et usage de faux, et abus de confiance aggravé, Innocent Ondoa Nkou, l’ancien directeur général adjoint de la Banque internationale du Cameroun pour l’épargne et le crédit (Bicec), Samuel Ngando Mbongue, l’ex-directeur de la comptabilité et de la trésorerie, ainsi que deux prestataires ont été placés lundi en détention provisoire à la prison de Douala.
Le groupe bancaire, présent dans onze pays africains, a enregistré un produit net bancaire en légère progression au premier semestre 2016, tandis que son bénéfice, ses dépôts et ses prêts à la clientèle sont en recul.
Le Cameroun a été noté « B2 » pour ses obligations en monnaie locale et en devises étrangères. L’agence new-yorkaise met en avant les challenges liés à l’exposition du pays au choc pétrolier, de même qu’une croissance potentielle soutenue par les investissements dans les infrastructures.
Réunis à Cotonou, au Bénin, les gouverneurs africains de la Banque mondiale et du FMI ont validé une déclaration commune, exhortant ces institutions à soutenir le continent à travers des financements massifs et à des taux préférentiels.
Le Trésor public ivoirien a lancé en début de semaine un emprunt obligataire de 150 milliards F CFA (228,6 millions d’euros) sous forme d’obligations islamiques conformes à la charia. C’est le deuxième sukuk émis par le pays.
Après une série de rencontres cette semaine avec des investisseurs aux États-Unis et au Royaume-Uni, le gouvernement ghanéen a décidé de reporter l’émission d’un emprunt obligataire de 500 millions à 1 milliard de dollars.
Pour lancer son emprunt sukuk de 150 milliards de F CFA (228,7 millions d’euros) le 20 juillet, l’État togolais a dû mettre en gage une partie de son patrimoine immobilier.
Le 30 juin, le FMI a annoncé que l’Angola abandonnait sa demande de soutien financier, lancée en avril 2016. Cette décision surprenante s’explique tout d’abord par le rebond des prix du pétrole – dont le cours moyen depuis le 1er avril a atteint 46 dollars le baril.
Réalisée avec une garantie américaine, l’émission obligataire internationale de 500 millions de dollars a mobilisé plus de 3 milliards de dollars de souscriptions.
Les institutions financières de développement Norfund et FMO, et la banque hollandaire Rabobank apportent à Arise leurs participations dans une dizaine de banques, dont Bank of Africa.
Des associations représentant les épargnants floués de la PME gabonaise « Bâtisseur de richesses » ont porté plainte à Paris vendredi. Elles estiment les pertes subies à jusqu’à 38 millions d’euros. Le fondateur de l’entreprise, interpellé à Paris plus tôt cette année, demeure introuvable.
Le Parlement a approuvé une modification de la loi encadrant les activités de la Banque centrale du Ghana, limitant ses prêts au gouvernement à 5 % des recettes de l’année précédente. Le FMI réclamait une abolition de cette facilité de financement.