Le géant bancaire panafricain a enregistré une chute de -42 % de son résultat net part du groupe au premier semestre de cette année, marqué par une contre-performance au Nigeria, où sa filiale a vu son bénéfice reculer de -63 millions de dollars.
La société islamique pour le développement du secteur privé (SID) a accordé une ligne de crédit d’un montant de 17 millions d’euros à Coris Bank international (CBI). Ce financement permettra au numéro trois burkinabè de poursuivre son développement et de consolider son appui aux petites et moyennes entreprises.
Améliorer la gouvernance des établissements, encadrer la finance islamique, protéger les déposants… Le texte adopté par l’Assemblée serait-il le prélude à une réforme plus profonde du secteur ?
Le Rockefeller Brothers Fund, fondé par des membres de la prestigieuse famille d’industriels américains, a investit 10 millions de dollars dans la plateforme Lekela Power, qui développe plus de 1 300 mégawatts de projets d’énergie renouvelable sur le continent.
L’agence de notation Fitch a brutalement abaissé la note de crédit de la République du Congo, basculée dans la catégorie des obligations comportant un « risque de crédit exceptionnellement élevé ». Explications.
Selon l’agence de presse officielle chinoise, des protocoles d’accords d’une valeur de 17 milliards de dollars ont été conclus entre des entreprises et institutions financières chinoises et africaines jeudi, en amont d’une réunion de suivi des engagements du Forum sur la coopération sino-africaine (Focac).
La première grande banque marocaine à avoir rendu public ses résultats semestriels s’en sort à bon compte, dans un contexte où l’activité économique a du plomb dans l’aile.
La République démocratique du Congo est reconnue comme un pays à fort potentiel disposant aussi bien de ressources considérables dans son sous-sol que d’une terre des plus fertiles.
Le nouveau président de la Commission des marchés financiers (CMF) du Cameroun arrive dans un contexte de crise entre le régulateur et les sociétés de Bourse. Sa mission : relancer un secteur atone.
Dans une décision surprise, la Banque centrale du Nigeria a augmenté son taux d’intérêt directeur de 200 points de base, le faisant grimper de 12 % à 14 %, son plus haut niveau depuis une dizaine d’années. En ligne de mire : l’inflation, qui atteint des niveaux records.
Commercial Bank of Africa, l’une des plus importantes banques du Kenya, a envoyé une lettre – consultée par l’agence américaine « Bloomberg » – à la Banque centrale du Congo pour exprimer son intérêt dans la reprise de la Biac, un des plus grands établissements bancaires de la RD Congo, actuellement en difficultés.
Le groupe bancaire sud-africain, qui disposait depuis début 2014 d’un bureau de représentation en Côte d’Ivoire, vient d’obtenir une licence d’établissement bancaire. C’est la vingtième implantation de Standard Bank sur le continent.
Selon nos informations, la banque publique congolaise négocie un financement de 300 millions de dollars pour la réalisation d’un programme de construction de 5 000 logements d’ici à 2019.
Cet accord est le troisième signé entre Rabat et le Fonds monétaire international depuis 2012. Le Maroc peut puiser dans cette ligne de financement pour répondre à une crise de sa balance de paiements. Ce mécanisme compte toutefois plusieurs détracteurs, qui mettent en doute son utilité et s’alarment de son coût.
La Banque africaine d’import-export (Afreximbank) et son homologue chinoise (Exim Bank of China) s’engagent à apporter jusqu’à 1 milliard de dollars de financement pour le développement de parcs industriels à travers le continent. Une initiative dénommée « China-Africa Investment and Industrialization Programme ».
Si la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced) juge que le niveau d’endettement des pays africains reste encore « soutenable », l’institution les presse de trouver d’autres sources de financement (transferts des migrants, partenariats publics-privés, lutte contre les flux financiers illicites) pour éviter une répétition des crises de la dette des décennies 80 et 90.
La Banque tuniso-koweïtienne (BTK) se voit octroyer un crédit de 25 millions d’euros par la Société financière internationale (IFC) avec l’objectif de favoriser les prêts aux PME. En 2013, IFC avait pris une participation au capital d’Amen Bank, la troisième banque tunisienne.
À l’occasion de la deuxième assemblée générale du fonds piloté par la BAD, de nouvelles institutions rejoignent le tour de table. La Banque centrale marocaine et la BCEAO ont injecté 25 millions de dollars dans ce véhicule d’investissement panafricain spécialisé dans les infrastructures.
Le gouvernement ivoirien va céder à la Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) la participation publique de 23 % dans la société agro-industrielle Sucrivoire.
Lancée en 2013, InVenture, la start-up de cette ancienne d’UBS et de Citigroup, permet aux personnes non bancarisées d’avoir une identité financière grâce aux données de leurs smartphones.
La Banque centrale a rendu public son troisième rapport sur la stabilité financière qu’elle réalise annuellement en collaboration avec les autorités chargées du contrôle des assurances et des marchés de capitaux.
Dans un communiqué au ton surprenant, la Primature dénonce une « mafia financière connectée à la Banque centrale » au sein de la Biac, la troisième banque du pays, actuellement sous administration provisoire. La Banque centrale dément et s’offusque.
Attijariwafa Bank se retrouve face Emirates NDB pour le rachat de la filiale égyptienne du britannique Barclays Group, rapporte « Reuters ». Le groupe marocain s’était vu coiffé au poteau par le dubaïote pour le rachat de la filiale égyptienne du français BNP en 2013.
48 fois plus de demande que d’offre ! La valeur Marsa Maroc démarre à plein régime lors de sa première journée de cotation à Casablanca au point de crever le plafond de variation quotidienne à la hausse autorisée. La valeur a ainsi été réservée le temps d’écluser les ordres d’achat. Les premiers transferts effectifs sont attendus vendredi.
Ancien du fonds Investisseurs et Partenaires (I&P), de Jean-Michel Severino, Patrice Gomis vient de lancer à Dakar un véhicule d’investissement, M&A Capital, dévolu à la restructuration d’entreprises ouest-africaines.
Le Fonds monétaire international a approuvé mi-juillet un décaissement de 17,1 millions de dollars en faveur du Niger, dans le cadre d’un programme de prêt initié en 2012. Au total, le Fonds a déboursé 150 millions de dollars en quatre ans, à travers ce mécanisme.
Les entreprises ivoiriennes ont surclassé leurs consœurs marocaines en devenant le premier investisseur dans le pays au premier semestre 2016, avec 31 % des investissements contre 15 % pour les opérateurs du royaume chérifien.