La filiale du leader français de l’assurance-crédit vient d’obtenir un agrément lui permettant de traiter directement avec les entreprises… Et de renforcer ainsi sa présence sur le continent.
Standard & Poor’s a abaissé d’un cran la note de la République du Congo à « B », en raison de la chute des cours du pétrole dont les effets sur l’économie du pays s’annoncent importants. L’agence américaine a toutefois maintenu celle du Cameroun, noté « B ».
Au lendemain du lancement de son Plan génération cash, le promoteur immobilier marocain a vu son cours s’effondrer à Casablanca. Chronique d’un grand malentendu.
L’opérateur télécoms Orange et Ecobank lancent un service de transfert d’argent, grâce auquel les clients d’Orange Money et du groupe bancaire panafricain pourront réaliser des mouvements de fonds de leur compte mobile vers leur compte bancaire et vice-versa.
Exit les fonctions opérationnelles. Désormais, le holding royal se voit en fonds d’investissement, un point c’est tout. Un nouveau plan de réorganisation devrait être validé dans les prochaines semaines.
L’emprunt obligataire émis par le pays a attiré de nombreux investisseurs. Pour le ministre des Finances, c’est le signe que les marchés ont été convaincus par la transition politique.
La Banque centrale de Tunisie (BCT) a indiqué tabler sur une croissance de 3 % en 2015, en hausse par rapport aux 2,5 % de l’année précédente mais toujours trop « modeste » compte tenu des « défis » auxquels fait face le pays.
Après Abidjan, c’est au tour du Tribunal du travail de Lomé de condamner Ecobank, cette fois dans le cadre d’une procédure pour licenciement abusif. Le groupe bancaire basé au Togo devra payer 5,7 milliards de FCFA à son ancien directeur général.
Les institutions financières de développement Norfund (Norvège) et CDC (Royaume-Uni) prennent le contrôle de l’opérateur Globeleq, jusqu’alors détenu par Actis. Objectif : augmenter la production d’électricité en Afrique d’au moins 5 000 mégawatts d’ici 10 ans.
Le groupe financier gabonais BGFI Bank a bouclé une opération dans le secteur des assurances en Afrique de l’Ouest, qui lui permet de s’assurer d’un coup une présence dans trois marchés de la région, a appris « Jeune Afrique ».
Selon une étude récente, trente entreprises africaines ont annoncé une introduction boursière cette année, soit six de plus que l’an dernier. C’est le plus grand nombre d’IPO de groupes africains depuis la crise de 2008.
La succession d’Albert Essien au poste de directeur général du groupe bancaire panafricain Ecobank est ouverte. Découvrez en exclusivité quelques uns des poids lourds de la finance africaine aujourd’hui en lice pour prendre la suite du banquier ghanéen, nommé en mars 2014.
La Côte d’Ivoire se prépare à émettre un eurobond en février prochain. Pour cette deuxième incursion en moins d’un an sur les marchés internationaux, le pays devrait solliciter « au moins un milliard de dollars », selon le Premier ministre Daniel Kablan Duncan.
BGFI Bank a obtenu l’agrément des autorités financières pour la création d’une filiale au Sénégal. La première agence du groupe, située à Dakar, devrait être opérationnelle à la fin du 1er semestre 2015.
Binta Drave, analyste chez Exotix, analyse pour « Jeune Afrique » les challenges auxquels est confronté Maroc Telecom suite à l’acquisition de six filiales d’Etisalat en Afrique subsaharienne.
Le spécialiste du « cash to goods » Afrimarket, implanté en France et dans quatre pays africains, lève 2,5 millions d’euros, dont 1 million apporté par le groupe de télécoms Orange.
Après s’être séparé fin 2014 de sa participation dans l’assureur nigérian Mansard Insurance, cédé à AXA pour 198 millions d’euros, le capital-investisseur tunisien AfricInvest réalise une nouvelle sortie gagnante en cédant ses parts dans le kényan UAP, à un prix également très élevé.
Dakar veut lever 20 milliards de F CFA pour la construction du nouveau centre commercial Félix Eboué dans la commune du Plateau. C’est le premier emprunt obligataire lancé par une communauté territoriale dans la zone Uemoa. Il a été noté « A/A1 » par l’agence Bloomfield Investment.
Chacun de leur côté, deux opérateurs boursiers américains s’apprêtent à lancer de nouveaux marchés libellés dans la monnaie unique européenne. Et les négociants de fèves, qu’en disent-ils ?
Dopée par l’entrée de la Banque islamique de développement (BID) à son capital, la banque islamique tunisienne Banque Zitouna souhaite s’étendre et diversifier ses produits. Et envisage de se développer en Afrique.
Dès avril, Coris Bank lancera une « offre islamique », une première au Burkina Faso. Elle devrait etre etendue par la suite aux filiales de la banque dans la sous-région.
Jeune Afrique révèle le contenu de la décision du tribunal de commerce d’Abidjan ayant mené à la condamnation du groupe Ecobank, du sud-africain PIC et de Daniel Matjila à payer 7,5 milliards de FCFA à Thierry Tanoh, ancien directeur général du groupe panafricain.
Dans le cadre du plan de développement de Banque Zitouna, la Banque islamique de développement acquiert 20,9 % du capital de la banque islamique tunisienne, pour environ 17 millions d’euros.
Supreme Group, multinationale du soutien logistique et du transport alimentaire, diversifie ses activités et s’intéresse désormais aux PME du continent, a appris « Jeune Afrique ».