La vente de joueurs est une source de revenus importante pour les clubs subsahariens. Mais les gains ne sont pas toujours à la hauteur des attentes et des investissements consentis.
À cause d’un décret présidentiel datant de 2014, six joueurs, dont le fils de l’ex-capitaine des Lions indomptables Samuel Eto’o, ne pourront pas disputer la Coupe du monde des moins de 17 ans (U17), programmée du 26 octobre au 17 novembre au Brésil.
De nombreuses sélections africaines de football ont tendance à privilégier l’Europe, et surtout la France, pour organiser des stages et des matchs amicaux. Une démarche justifiée par des critères logistiques, économiques, mais aussi sportifs.
Alors que le Cameroun devrait accueillir la Coupe d’Afrique des nations (CAN) en 2021, tous les chantiers promis pour l’édition 2019 n’ont pas encore été livrés, et les contrats de sous-traitance font l’objet d’âpres batailles.
Après presque quatre ans de crise institutionnelle, le football malien commence à se redresser, désormais doté d’une vraie fédération, dont Mamoutou Touré, dit « Bavieux », vient de prendre la tête. Mais les rivalités de clans ont laissé des traces.
Beaucoup de sélections africaines ont changé de coach au cours des dernières semaines. Avec une forte tendance à la nomination de nationaux. Des choix parfaitement assumés, où se mêlent raisons sportives et arguments économiques.
Après avoir été chaleureusement accueillis lors du match aller, les joueurs du club palestinien de Hilal al Qods (Jérusalem) reçoivent jeudi 3 octobre leurs adversaires du Raja Casablanca, en seizième de finale retour de la Coupe arabe des clubs. Une double confrontation émaillée de nombreuses polémiques.
Le rugby gagne en popularité en Afrique, où la formation est une priorité. Mais le développement de cette discipline est ralenti par certaines contraintes économiques et le manque de structures.
Le Camerounais Samuel Eto’o, qui pris sa retraite le 6 septembre dernier, a toujours considéré qu’il était le meilleur joueur africain de l’histoire il l’a réaffirmé récemment à plusieurs médias. Et s’il avait raison ?
Le Portugais Antonio Conceiçao Da Silva Oliveira, plus connu sous le nom de « Toni Conceiçao », a été nommé sélectionneur des Lions indomptables du Cameroun. Âgé de 57 ans, il succède au Néerlandais Clarence Seedorf, limogé après la dernière CAN.
Alors que la Confédération africaine de football (CAF) vient d’attribuer la Ligue des Champions 2018-2019 à l’Espérance Tunis, le WAC Casablanca a décidé de faire appel devant le Tribunal arbitral du sport (TAS). Énième rebondissement d’un feuilleton qui semble ne pas avoir de fin.
De nombreux footballeurs africains feront parler d’eux cette saison dans les principaux championnats européens. Jeune Afrique en a retenu dix, évoluant en Angleterre, en Allemagne, en France, en Espagne et en Italie.
En réponse à Lilian Thuram, le journaliste sportif Pierre Ménès a invoqué un supposé « racisme anti-blanc » qui sévirait, selon lui, dans le monde du foot. Un véritable débat à tiroirs, devenu feuilleton nauséeux, révélant les écueils de la communication 2.0.
Alors que l’ancien entraîneur du Syli national, Paul Put, a été limogé après avoir été accusé de racket sur ses joueurs, mi-juillet, son successeur n’a toujours pas été désigné. Aujourd’hui, 17 candidats sont en lice pour reprendre son poste.
Noël Le Graët, le président de la Fédération française de football (FFF), a plaidé en faveur de l’organisation d’une rencontre d’ici à 2020 entre les équipes nationales d’Algérie et de France. Ce serait la deuxième de l’histoire, et la première sur le sol algérien.
« The end, vers un nouveau défi » : c’est ainsi que l’attaquant star du Cameroun, Samuel Eto’o, considéré comme l’un des plus grands joueurs africains de tous les temps, a annoncé sa retraite, à 38 ans.
L’opérateur téléphonique Mobilis n’est plus le sponsor du football professionnel algérien. Une situation qui va pénaliser de nombreux clubs aux finances déjà fragiles.
Le mercato s’est achevé lundi 2 septembre dans la majorité des pays. L’occasion, pour quelques footballeurs africains, de changer de club, parfois pour des sommes rondelettes. Nicolas Pépé, transféré de Lille à Arsenal pour 80 millions d’euros, en est le principal symbole.
Depuis la fin de la CAN 2019 en Égypte, 13 sélectionneurs sur les 24 des équipes participantes ont quitté leurs fonctions. Parfois de leur plein gré, souvent après avoir été poussés vers la sortie. Retour sur les cas les plus emblématiques.
Physiquement face à face sur la pelouse du stade de Radès, le 31 mai, après l’interruption de la finale retour de la Ligue des champions africaine de football, Hamdi Meddeb et Saïd Naciri, présidents respectivement de l’Espérance de Tunis et du Wydad Casablanca, poursuivent depuis leur match par médias et instances disciplinaires interposés.
Florent Ibenge, qui avait succédé à Claude Le Roy en 2014 à la tête de la sélection congolaise, a quitté son poste après une CAN jugée décevante, ont annoncé mercredi 7 août l’intéressé et la Fédération nationale.
Réunie mercredi 7 août au Caire, la commission de discipline de la CAF a finalement déclaré le Wydad Casablanca « perdant par forfait » de la finale retour de la Ligue des champions africaine qui l’opposait fin mai à l’Espérance de Tunis. Le match avait été interrompu prématurément à cause d’un problème d’assistance vidéo à l’arbitrage.
Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a rendu mercredi 31 juillet une « décision partielle » sur le choix de la CAF de faire rejouer la finale retour de Ligue des champions entre le Wydad Casablanca et l’Espérance sportive de Tunis (EST) : il a estimé que le comité exécutif de l’instance n’avait pas le pouvoir de le faire et appelé les « organes compétents » de cette dernière à se prononcer.
Président de la Confédération africaine de football (CAF) jusqu’en mars 2017, Issa Hayatou n’aurait toujours pas digéré sa sortie jugée sans égards, selon l’entourage d’Ahmad Ahmad.
Finaliste malheureux de la Coupe d’Afrique des nations 2019 face à l’Algérie (0-1), le Sénégal digère doucement sa déception. En se projetant vers l’avenir, qui se fera avec Aliou Cissé.
Le désormais ex-sélectionneur de l’équipe nationale du Maroc revient sur son passage dans le royaume chérifien et évoque son avenir, dont il assure qu’il s’écrira probablement en Asie à court terme, tout en promettant un retour en Afrique à plus longue échéance.
Nommé en août 2018, Djamel Belmadi a réussi à remporter la CAN 2019, le 19 juillet dernier, alors que l’Algérie n’était pas considérée comme un favori. Le fruit d’un gros chantier engagé dès son arrivée sur le banc des Verts.
La victoire de l’Algérie a été largement célébrée par les Marocains, donnant lieu à des scènes de fraternisation inédites dans le nord du pays. Des violences ont cependant éclaté dans le Sud.
Place à la grande fête après presque 30 ans d’attente: l’Algérie a accueilli samedi ses héros, qui ont conquis la deuxième Coupe d’Afrique des nations de son histoire, en battant la veille le Sénégal (1-0) au Caire.
Martial Yéo, l’ancien sélectionneur de la Côte d’Ivoire championne d’Afrique en 1992, a observé avec attention la finale de la CAN 2019 remportée par l’Algérie face au Sénégal (1-0), grâce à un but chanceux de Bounedjah.