Bizarreries dans le paysage gastronomique local, ces coquillages ont pourtant conquis le palais des Marocains, grâce à l’expansion de l’ostréiculture à Dakhla, entre mer et désert.
Le chef du restaurant « MoSuke », originaire du Mali, nous offre en dessert son « siphon de lait fermenté et noix de pécan caramélisées », inspiré du dègué (ou thiakry) d’Afrique de l’Ouest.
Dans le centre de Paris, cet ancien bougnat proposant une cuisine afro-cubaine accueille des rencontres littéraires et publie même un magazine, le « Jip’s Bazar », parrainé par l’auteur congolais.
Ouvert en 2018, ce restaurant du Cap, en Afrique du Sud, s’est rapidement fait un nom. Avec sa cuisine d’inspiration japonaise, Fyn a été désigné meilleur restaurant d’Afrique dans le classement « 50 Best ».
La cheffe originaire de Casablanca fait voyager la gastronomie marocaine jusqu’à Los Angeles, tout en restant attachée aux produits locaux et de saison. Rencontre à Dakhla, le temps d’un dîner gastronomique.
Entre sa grand-mère, les anciennes des villages d’Afrique, sa maman adoptive allemande, le chef originaire du Congo et installé au Rwanda ne raconte rien de sa cuisine sans évoquer les femmes qui l’ont accompagné.
Installé au Cap depuis un quart de siècle, le chef allemand revendique des plats aux goûts intemporels, indissociables d’une collection de vins qu’il combine à ses créations avec passion.
Cette année, le festival Omnivore mettait à l’honneur la gastronomie africaine, en invitant trois chefs : Georgiana Viou, Dieuveil Malonga et Harouna Sow. Ce dernier, d’origine mauritanienne, s’est confié à Jeune Afrique sur son parcours culinaire.
Ce documentaire suit l’entraînement de quatre immigrés zimbabwéens formés à la sommellerie en Afrique du Sud pour participer au championnat du monde de dégustation. Un film « feel good » réjouissant sur l’intégration par le travail.
À près de 30 ans, le jeune chef travaille sept jours sur sept et partage son temps entre son restaurant parisien, MoSuke, et celui de la célèbre marque de luxe, installé pour l’été à Saint-Tropez, dans le sud de la France.
Figure de proue de la cuisine togolaise, elle sera la marraine de la première édition du festival La Marmite, du 10 au 15 mai à Lomé. Mais cette cheffe itinérante partage aussi ses talents à Dakar, Libreville ou Abidjan.
Quel nom donner à ces spécialités à base de manioc, communes à plusieurs pays africains, mais qui sèment la discorde entre eux ? Définir leur spécificité et leur identité va bien au-delà du simple chauvinisme : cela favorise le dialogue entre les cultures.
Originaire de Soweto, le restaurateur a appris la cuisine aux tables étoilées de Paris et de New York. De retour à Johannesburg, il a ouvert Les Créatifs en 2018, et vient d’être élu meilleur chef de l’année.
Souvent méprisée, la cuisine des Noirs américains est pourtant bien plus variée qu’on ne le pense. Ses recettes plongent leurs racines en Afrique et racontent l’histoire de l’émancipation noire.
La première édition de cet événement destiné à rapprocher les Dakarois de la gastronomie a été un franc succès pour Aziz Agbo-Panzo, promoteur culinaire et cuisinier.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (6/6). Les amateurs de cocktails n’ont que son nom à la bouche. Mais cet établissement branché attire aussi les fins palais de tous bords, qui y trouvent une carte typiquement dans l’air du temps.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (5/6). À cette table du quartier de Guéliz, les deux jeunes chefs proposent une carte évolutive et nourrie de leur connaissance du terroir.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (4/6). Dans cette petite adresse très recherchée, la « comfort food » aux accents québécois prend des allures haut de gamme. Une approche inventive signée d’un chef atypique passé par la France et Montréal.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (3/6). Son nom est délicieusement français. Sa carte aussi. Derrière cet établissement où la gastronomie hexagonale est revisitée à la sauce convivialité, un chef globe-trotter passé par les plus grandes tables de la planète.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (2/6). Dans son restaurant avec vue imprenable sur l’Atlas, la créative blogueuse de « My Moroccan food » mêle les saveurs ancestrales et les influences du monde entier.
« Marrakech, capitale de la gastronomie » (1/6). Dans le quartier de M Avenue vient d’ouvrir une adresse étonnante d’authenticité, Le Douar. Au fil des assiettes, le chef Issam Rhachi raconte les traditions oubliées.
Son restaurant vient d’ouvrir à Paris : Jujube. Il y propose un mélange subtil de saveurs africaines, italiennes et françaises. Des plats surprenants, dans lesquels se reflètent toutes ses tranches de vie.
Meilleur jeune talent du guide « Gault et Millau 2017 » et candidat récent de l’émission « Top Chef » du monde arabe, le cuisinier de 39 ans, arrivé là un peu par hasard, est une étoile montante de la gastronomie marocaine.
Dans un livre de 80 recettes, la Franco-Ivoirienne Marie Kacouchia bat en brèche les préjugés sur la présence de la viande dans les assiettes africaines. Et promeut l’afrovéganisme, une manière de se réapproprier son héritage culturel par l’alimentation.
Plus qu’un simple plat, le couscous est un mode de vie qui rassemble ceux qui le partagent. Au point que certains lui vouent une véritable passion, comme Jane Roussel.
Éloges de l’Afrique gourmande (5/6). Plus que n’importe quel autre repas, la combinaison foutou sauce graine est enracinée dans le répertoire gastronomique ivoirien. Elle n’en est pas moins menacée par la « modernité », selon Joël Té-Léssia Assoko.