Amplement et magnifiquement illustrée, une somme historique dirigée par Pascal Blanchard, « La France noire », vient rétablir quelques vérités et rendre un hommage appuyé aux Noirs de l’Hexagone.
Le président béninois Boni Yayi, en visite en France, s’est entretenu avec le chef de l’État Nicolas Sarkozy sur l’immigration, l’éducation, l’intensification de la piraterie dans le Golfe de Guinée. Et en a profité pour évoquer la candidature béninoise aux présidences de la Cedeao et de l’Union Africaine.
Printemps arabe, immigration, conflit israélo-palestinien, Françafrique… Invitée à déjeuner par l’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (Afacom), le 9 novembre, Marine le Pen s’est livrée à son sport favori : rassurer et tenter de séduire ceux qui, a priori, lui sont opposés. Morceaux choisis.
Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur français, durcit les conditions d’insertion professionnelle des étudiants étrangers formés dans les meilleurs établissements du pays.
Pas facile d’obtenir un visa pour l’Europe quand on est africain, même quand on s’appelle Tirzah Evora et qu’on a gagné le concours de Miss Cap-Vert. Pour d’obscures raisons administratives, la belle devrait être privée du concours de Miss Monde, qui se déroule à Londres le 1er novembre.
La sanglante répression policière des manifestations pacifiques des 17 et 18 octobre 1961 a révélé à l’opinion française quel traitement le « pays des droits de l’homme » réservait à ses étrangers algériens. Dans un article de « Afrique-Action » daté de la semaine du 1er au 6 novembre 1961, Aziz Maarouf mène l’enquête.
L’Association des femmes arabes de la presse et de la communication (Afacom) a invité Marine Le Pen à dîner, le 9 novembre. Ce que la candidate du Front national à l’élection présidentielle de 2012 a accepté avec joie.
Chargée de l’intégration à la mairie de Nice, cette Sénégalaise sarkozyste concentre les attaques de l’extrême droite, mais a su se faire accepter par une ville schizophrène.
Les réfugiés coincés en Libye ou à ses frontières ne voient toujours pas le bout de leur calvaire. Pour secourir ces milliers de personnes, pour la plupart d’origine subsaharienne, le Haut-commissariat aux Réfugiés (HCR) met en place des programmes de réinstallation. Mais les pays volontaires pour les accueillir ne se bousculent pas au portillon.
En 2009 et 2010, six télégrammes de l’ambassade américaine à Paris, révélés par WikiLeaks, évoquent le rôle de Robert Bourgi dans les affaires africaines. Morceaux choisis.
Les révélations de Robert Bourgi étalent au grand jour les financements occultes en France en provenance du continent. Quelle est la crédibilité de ces accusations ? Pourquoi ce « porteur de valises » s’est-il mué en imprécateur ? Jusqu’où ira-t-il ? Enquête exclusive.
Plusieurs personnalités pro-Gbagbo ont bénéficié d’une levée des sanctions prises au début de l’année 2011 par l’Union européenne. Parmi elles, Paul Yao N’Dre, qui avait annoncé Laurent Gbagbo vainqueur du scrutin présidentiel.
Abdoulaye Wade ne portera finalement pas plainte en diffamation contre Robert Bourgi devant la justice française. Une décision prise après les rétractations de l’avocat, qui avait d’abord accusé le président sénégalais et son fils Karim d’avoir donné de l’argent en liquide à d’anciens dirigeants français.
Il y a soixante-dix ans, leurs grands-parents ont fui les atrocités nazies. Attirés par la réputation branchée de la ville, de nombreux jeunes Israéliens, artistes et étudiants surtout, choisissent aujourd’hui de s’y installer.
Après avoir accusé plusieurs hommes politiques français, dont Jacques Chirac et Dominique de Villepin, d’avoir profité des financements occultes de plusieurs dirigeants africains, l’avocat Robert Bourgi sera entendu par la police de Paris jeudi matin.
Abdoulaye Wade a confirmé à son entourage son intention de porter plainte à Paris et Dakar contre Robert Bourgi pour diffamation, après que celui-ci l’a mis en cause dans des financements occultes de personnalités politiques françaises. Si elle se traduit dans les faits, la procédure lancée par le président sénégalais devrait rejoindre en France celles de son fils Karim, mais aussi de Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Marie Le Pen.
Les pays de la région redoutent que les arsenaux libyens tombent entre les mains des terroristes d’Aqmi et des trafiquants de tout poil. Autre effet collatéral de la crise, le sort déplorable réservé par les rebelles aux migrants subsahariens.
Pour la création de l’Organisation mondiale de l’environnement (OME), Nicolas sarkozy compte sur l’aide de tous ses amis africains. Au premier rang desquels le président du Congo, Denis Sassou Nguesso.
Suite aux déclarations de Me Robert Bourgi dans la presse, le parquet de Paris a décidé d’ouvrir une enquête préliminaire. Selon l’avocat, six chefs d’État Africains auraient financé de manière occulte plusieurs présidents et hommes politiques français, dont Jacques Chirac, Dominique de Villepin et Jean-Marie Le Pen. Des allégations qui ont suscité l’indignation de l’opposition congolaise, le nom de Denis Sassou Nguesso étant cité par Robert Bourgi.
La fracassante sortie de Robert Bourgi, avocat franco-libanais qui accuse Jacques Chirac et Dominique de Villepin d’avoir perçu environ « 20 millions de dollars » de la part de plusieurs présidents africains, a suscité lundi une onde de choc et bien des réactions. En France surtout, un peu moins sur le continent. Pour le moment.
Robert Bourgi a accusé dimanche Jacques Chirac et son ex-Premier ministre Dominique de Villepin d’avoir perçu de ses mains des sommes en liquides provenant de plusieurs présidences africaines. Un financement occulte évalué par l’avocat à « 20 millions de dollars » qui, s’il était avéré, ferait trembler la république. L’ancien président français a aussitôt porté plainte pour diffamation.
Déjà empêtrés dans des procès-fleuve, Jacques Chirac et Dominique de Villepin sont accusés, par un des piliers de la « Françafrique », Robert Bourgi, d’avoir reçu, par mallettes entières, des fonds occultes de dirigeants africains, ce que l’ex-Premier ministre qualifie de « fariboles ».