La compagnie pétrolière nationale du Nigeria NNPC a signé jeudi avec une compagnie publique chinoise, la CSCEC, un accord pour construire trois raffineries et un complexe pétrochimique, pour un montant de 23 milliards de dollars, ont annoncé les deux compagnies vendredi.
Critiqués pour le peu de cas qu’ils font des droits de l’homme et de la bonne gouvernance, les Chinois n’ont pourtant pas si mauvaise réputation auprès des Subsahariens.
Malgré la crise, le distributeur Tractafric Motors a tiré son épingle du jeu en récupérant les réseaux Mercedes et Chrysler en Afrique de l’Ouest. Cette année, son dirigeant vise un nouveau marché : celui de l’entrée de gamme.
Malgré une baisse des ventes l’an dernier, les constructeurs restent optimistes. Porté par l’offre low cost et le secteur du luxe, le renouvellement du parc automobile africain laisse augurer de belles perspectives.
Terreau d’investissements, moteur de diversification, vivier d’emplois, les zones d’activité se développent. À Taharacht, près de Béjaïa et à Bordj Bou Arreridj, près de Sétif, la dynamique d’extension ne faiblit pas.
La petite ville connue pour abriter les résidences secondaires de quelques célébrités s’industrialise. Cette mutation pourrait bien laisser des traces indélébiles.
Le groupe français lance un véhicule 4×4 conçu et produit sur le modèle low cost qui a fait le succès de la Logan. Il sera disponible dans certains pays d’Afrique à partir de juin.
Français, Sénégalais, Américains, Marocains… De nombreux étrangers sont à la tête des fleurons de l’industrie du pays. Enquête sur ces entreprises qui « importent » leurs dirigeants.
Économies d’énergie tous azimuts, lutte contre la pollution, meilleure gestion des déchets et, bientôt, charte nationale globale : le royaume est résolument passé au vert. Par souci écologique, certes, mais aussi par intérêt économique.
Le plan marocain est désormais l’un des plus ambitieux au monde en matière de production d’électricité d’origine photovoltaïque. Quel en sera le coût ?
Le royaume chérifien s’est doté d’une stratégie de développement économique sur 20 ans : 70 « zones logistiques » destinées à rentabiliser les secteurs industriels et commerciaux ont été définies dans le pays, afin de permettre à l’économie marocaine de rivaliser avec les voisins méditerranéens.
En plein redécollage, les industriels sont confrontés depuis janvier aux nombreux délestages. Malgré tout, les unités de transformation des matières premières locales se multiplient. Vont-elles réussir à tenir la distance ?
Accusés de ne pas financer suffisamment les projets industriels, les banquiers invoquent souvent les risques politiques. Les filiales de grands groupes et les banques locales se disent pourtant prêtes à accompagner les initiatives.
Alors que les autorités font l’audacieux pari de créer 200 000 emplois dans la région de Tanger-Tétouan, les industriels y sont confrontés à une pénurie de main-d’œuvre, et le pôle automobile peine à prendre forme.
Le Premier ministre gabonais, Paul Biyoghé Mba, a confirmé l’interdiction d’exporter le bois en grumes, tout en promettant des mesures d’accompagnement lors d’un forum sur la gestion forestière à Libreville.
Sur le continent africain, l’usage nocif d’alcool industriel, traditionnel ou frelaté cause 3,3% des décès. Et 2,9% des Africains vivent avec des complications liées à l’ingestion de boissons alcoolisées. Interview d’une spécialiste de l’abus de substances du bureau afrique de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Après un retard au démarrage, Aluminium du Cameroun confirme l’extension de son usine d’Édéa. Tandis que sa maison mère, Rio Tinto Alcan, dévoile de nouveaux projets.
La direction du complexe sidérurgique Arcelor-Mittal d’Annaba veut négocier un plan de développement de son site avec le gouvernement, d’après le syndicat d’entreprise. Ce plan incluerait la cokerie, dont la fermeture possible avait provoqué le début de la grève.