Le commissaire du gouvernement ivoirien, le lieutenant colonel Ange Kessy Kouamé, vient d’engager une enquête pour l’affaire de «pornographie sur le net » dans laquelle seraient impliqués huit membres des forces de défense et de sécurité (FDS-CI, loyalistes).
Le procureur Luis Moreno-Ocampo a accusé le chef de milice congolais Thomas Lubanga d’avoir « utilisé des centaines de jeunes enfants pour qu’ils tuent, pillent et violent », à l’ouverture du premier procès, pour crimes de guerre, devant la Cour pénale internationale (CPI).
Des militants islamistes soudanais jugés pour le meurtre d’un diplomate américain et de son chauffeur ont plaidé leur innocence, tout en affirmant que tuer des Américains était « une bonne chose ».
Quatre journalistes camerounais sont emprisonnés depuis septembre « suite à des reportages politiques », selon le Comité pour la protection des journalistes (CPJ), qui demande la dépénalisation des délits de presse dans une lettre au président camerounais Paul Biya.
L’ex-ministre de la Justice rwandaise, Agnès Ntamabyariro, seul membre du gouvernement intérimaire de l’époque à être jugé par un tribunal rwandais pour son rôle présumé dans le génocide de 1994, a été condamnée à la prison à vie, selon des témoins joints par l’AFP à Kigali.
La ministre rwandaise des Affaires étrangères a annoncé dans un communiqué la normalisation des relations diplomatiques avec l’Allemagne, après une crise diplomatique entre les deux pays provoquée fin 2008 par l’arrestation en Allemagne d’une cadre du régime rwandais, Rose Kabuye.
Plusieurs centaines de personnes ont participé à une manifestation à proximité du domicile du président mauritanien déchu Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, afin qu’il soit traduit devant la Justice du pays.
Le chef du parti au pouvoir en Afrique du Sud et favori à la présidence, Jacob Zuma, va saisir la Cour constitutionnelle après une décision de justice, qui a réactivé lundi les poursuites pour corruption à son encontre, a indiqué son avocat.
A peine lancée, la campagne électorale du parti au pouvoir en Afrique du Sud, le Congrès national africain (ANC), est déjà assombrie par les poursuites judicaires à l’encontre de son chef Jacob Zuma, favori à la présidence aux élections générales du deuxième trimestre 2009.
Le gouvernement kényan a ordonné à l’agence anti-corruption du pays d’enquêter sur des détournements présumés d’importantes quantités de maïs dans un pays où 10 millions de personnes sont menacées par des pénuries alimentaires, a-t-on appris de source officielle.
Aides a appelé le gouvernement français à protester auprès des autorités sénégalaises après la condamnation à Dakar du président de la branche sénégalaise de cette association de lutte contre le sida à huit ans de prison ferme.
Le président Nicolas Sarkozy a exprimé devant le Conseil des ministres son « émotion » et sa « préoccupation » après la condamnation à Dakar de neuf homosexuels sénégalais à huit ans de prison, a rapporté mercredi le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel.
Plusieurs anciens chefs de guerre libériens devraient être inculpés par la Commission vérité et réconciliation pour les crimes commis pendant la guerre civile (1989-2003), a indiqué un des ex-chefs de guerre qui affirme avoir un rapport confidentiel de la commission.
Le procès des complices présumés de l’attentat islamiste de Djerba, en avril 2002, s’est ouvert à Paris. Deux absents dans le box des accusés : le kamikaze, bien sûr, mais aussi l’inquiétant Khaled Cheikh Mohammed, par ailleurs cerveau des attaques du 11 Septembre, actuellement jugé à Guantánamo.
Le chef du parti au pouvoir en Afrique du Sud Jacob Zuma, qui est à nouveau pris dans la tourmente judiciaire à quelques mois des élections générales dont il est donné grand favori pour remporter la présidence, est un tribun aussi populaire que controversé.
APA-Johannesburg (Afrique du Sud) La Cour Suprême d’Afrique du Sud, siégeant à Bloemfontein, a exhumé le dossier des poursuites judiciaires pour corruption contre Jacob Zuma en prenant une décision d’annulation de la décision précédente invalidant les mêmes poursuites.
La Justice sud-africaine a rétabli lundi l’inculpation pour corruption contre le chef du parti au pouvoir Jacob Zuma, jetant une ombre sur sa candidature à la présidence lors des prochaines élections générales.