Le 29 juillet, la cour d’appel de Casablanca a confirmé la condamnation à quatre mois de prison ferme prononcée en première instance contre Momo, l’animateur vedette, dans l’affaire du vol fictif de smartphone. Une peine « incompréhensible » pour la défense, laquelle regrette un jugement qui n’est fondé sur « aucune preuve ».
L’ancien président guinéen a été condamné à vingt ans d’emprisonnement pour crimes contre l’humanité dans le cadre du procès du massacre du 28 septembre 2009 à Conakry.
La sixième audience du procès des assassins présumés du journaliste camerounais, qui s’est tenue le 29 juillet à Yaoundé, a débouché sur un nouveau renvoi. Au centre de la querelle entre les parties : l’accès au dossier de procédure.
Dans le cadre de l’enquête sur les inondations meurtrières de Derna en septembre dernier, douze fonctionnaires chargés de la gestion des barrages ont été condamnés à des peines allant de 9 à 27 ans de prison.
Le massacre de près de 400 membres du secte évangélique apocalyptique au Kenya avait choqué le monde entier l’année dernière. Le responsable du groupuscule est jugé à partir de lundi pour « terrorisme ».
La Cour d’État a reporté au vendredi 14 juin sa décision concernant la levée de l’immunité de l’ex-président, à la suite d’une demande de libération introduite par ses avocats.
Un procès contre l’homme d’affaires Vincent Bolloré a été requis par le Parquet national financier français pour corruption dans l’attribution frauduleuse de la gestion des ports de Lomé au Togo et de Conakry en Guinée, entre 2009 et 2011.
Après une très lourde condamnation pour espionnage en RDC, un ressortissant polonais vient d’être libéré. Une histoire qui était, jusqu’à son dénouement, passée sous les radars.
Les autorités fédérales américaines ont déterminé, mardi 14 mai, que le constructeur avait « violé ses obligations » dans le cadre d’un accord conclu en 2021 à la suite de deux crashs ayant causé la mort de 346 personnes, ce qui l’exposerait à des sanctions pénales.
Florent Amany, star ivoirienne des réseaux sociaux, est en détention provisoire en raison d’une vidéo polémique. Le parquet évoque des délits d’injure, de diffamation, d’atteinte à l’image, mais aussi de refus d’obtempérer.
Après des semaines de suspension, le procès du massacre du 28 septembre 2009 a repris le 15 avril. Moussa Dadis Camara a de nouveau été confronté à son ex-aide de camp, Toumba Diakité, et à Marcel Guilavogui.
Ce lundi 15 avril ont débuté les confrontations de certains accusés dans le procès du massacre du stade de Conakry. Le capitaine Moussa Dadis Camara nie en bloc les accusations.
Le 2 avril, l’ancienne première dame gabonaise, Patience Dabany, a déposé une plainte contre huit hauts responsables du Parti démocratique gabonais, dont elle fut la cofondatrice. Elle dénonce des « troubles illicites ».
En RDC, après une injonction du chef de l’État, un haut magistrat est allé visiter la prison centrale de Kinshasa pour y constater les ravages de la surpopulation carcérale.
Traduit en justice par son ancienne directrice de cabinet, le président de la Commission des droits de l’homme du Cameroun (CDHC) saisit à son tour le tribunal.
Éric Nzabihimana fait partie des Tutsi rescapés des massacres ayant eu lieu sur les collines de Bisesero, lors du génocide de 1994 au Rwanda. En 2005, il a porté plainte pour « complicité de génocide » contre des militaires de l’opération Turquoise. Voici sa version des faits.
Alors que le président de la Commission des droits humains du Cameroun est accusé de harcèlement sexuel par son ancienne cheffe de cabinet, Judith Espérance Nkouete Messah, cette dernière vient d’être licenciée. Une décision qui provoque un tollé.
Le youtubeur Mohamed Reda Taoujni a été reconnu coupable d’« outrage à un fonctionnaire public » et de « diffamation ». On lui reprochait de s’être interrogé, dans ses vidéos, sur les éventuels liens entre un ministre et le scandale du « Pablo Escobar du Sahara ».
La justice suisse a confirmé la culpabilité de six gardes du corps de Paul Biya. Ils avaient agressé un journaliste de la Radio-télévision suisse (RTS) en 2019, en marge d’une manifestation hostile au président camerounais devant l’Hôtel Intercontinental de Genève.
Accusé de « lien notoire avec les Frères musulmans » par le ministre français de l’Intérieur, Gérald Darmanin, le Ballon d’or 2022 a entamé une procédure pour diffamation.
La cour d’appel de Paris se prononce sur certains volets de l’affaire des biens présumés mal acquis par les enfants d’Omar Bongo Ondimba. Les perspectives de procès pourraient se préciser, y compris pour Ali, le président gabonais récemment déchu.
Qui, du président de la transition ou de l’ex-magistrat, aura la tête de l’autre ? Alors que le second multiplie les actions en justice contre le premier, il pourrait bien finir par être poursuivi à son tour.
Presque dix ans après sa condamnation pour homicide, l’ex-champion paralympique sud-africain sera fixé, ce vendredi 22 novembre, sur son éventuelle libération conditionnelle.
À la manœuvre dans plusieurs procédures visant des dignitaires du régime déchu d’Alpha Condé, le procureur spécial près la Cour de répression des infractions économiques et financières (Crief) fait régulièrement parler de lui depuis le putsch de 2021.
Ce 2 novembre marquera les dix ans de la mort des deux journalistes de Radio France Internationale, enlevés à Kidal puis assassinés dans le désert malien. Depuis, l’enquête piétine, entravée notamment par le secret-défense. Mais de récents éléments ouvrent de nouvelles pistes.
Le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, a annoncé que son bureau abandonnait les charges pesant contre le Centrafricain Maxime Mokom. Ce dernier était notamment accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Un collectif de paysans camerounais vient de remporter une bataille dans le conflit qui l’oppose à la Socapalm et au groupe Bolloré. Mais la guerre n’est pas pour autant terminée.