Soupçonné d’avoir fomenté un projet de coup d’État contre Denis Sassou Nguesso, et placé en détention depuis le 11 janvier à la DGST, le général congolais Norbert Dabira a été transféré mardi à la maison d’arrêt de Brazzaville, a-t-on appris de l’entourage de l’officier, signant une nouvelle étape dans l’enquête.
Trois semaines après l’ouverture du procès du député et maire de Dakar, les débats ont, enfin, abordé le fond de l’affaire, ce mardi 6 février. Khalifa Sall et ses coprévenus comparaissent devant la justice sénégalaise notamment pour « détournement », « associations de malfaiteurs », « blanchiment ».
Le 6 février 2013, le leader de gauche Chokri Belaïd a été abattu de trois balles tirées à bout portant. Cinq ans après, cet assassinat politique n’est toujours pas résolu. Une nouvelle audience est prévue le 20 février, mais elle ne concerne que des complices présumés. Les commanditaires restent inconnus.
Moins de quatre mois après son installation par Mohammed VI à la tête du parquet général, Mohammed Abdennabaoui marque son territoire. Entre nouvelles nominations et circulaire à l’adresse des procureurs, il assure vouloir préserver l’indépendance de cette institution vis-à-vis de l’exécutif.
Les juifs originaires d’Algérie « qui ont souffert de mesures antijuives prises par des alliés des nazis comme le régime de Vichy » vont recevoir des indemnités de la part de Berlin. Jusq’ici, la reconnaissance du statut de victime ne s’étendait pas aux juifs d’Algérie.
Après l’ouverture des audiences, le 23 janvier dernier, le procès du député et maire de Dakar a repris ce lundi devant le tribunal correctionnel de Dakar en s’attaquant au fond du dossier. Suite à la bataille procédurale des premiers jours, les prévenus se sont finalement défendus notamment sur les faits de « détournement de fonds ». Sélection.
Une cinquantaine de manifestants, dont le leader contestataire Nasser Zefzafi, comparaissent devant un tribunal de Casablanca, depuis le mois de septembre. Les débats s’éternisent et deviennent de plus en plus houleux.
Après deux jours de suspension, le procès du député et maire de Dakar a repris ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Dakar. Toutes les exceptions de nullité soulevées ont été rejetées. Le procès va désormais s’attacher au fond du dossier et aborder les charges qui pèsent sur Khalifa Sall et sur sept agents de la mairie de Dakar.
Depuis le 26 janvier 2018, les trois sociétés de l’homme d’affaires, au cœur d’un vaste trafic d’évasion fiscale, ont reçu une confirmation des redressements fiscaux mis à leurs charges en 2017. Sébastien Ajavon devra payer près de 155 milliards de FCFA.
C’est la première fois qu’un État est poursuivi pour des coupures de réseau Internet. Les ONG qui interviennent dans le dossier espèrent créer un précédent, alors que plusieurs pays africains ont eu recours à cette pratique ces derniers mois pour étouffer les mouvements de contestation.
Le procès du député et maire de Dakar et de ses sept coprévenus, dont les audiences ont démarré le 23 janvier, n’a pour l’instant pas abordé les questions de fonds. Poursuivi notamment pour « détournement de fonds », Khalifa Sall et ses avocats sont engagés dans une bataille procédurale. Jeune Afrique fait le point sur les arguments déployés.
Les autorités nigérianes ont extradé lundi à Yaoundé 47 séparatistes anglophones, dont leur leader Sisiku Ayuk Tabe. Celui-ci était détenu au Nigeria depuis le 5 janvier.
Après avoir bataillé pour sa libération, l’avocate française Caroline Wassermann a présenté une facture plus élevée qu’attendue à sa consœur franco-camerounaise.
La date de l’ouverture du procès du général Gilbert Diendéré et de ses 83 coaccusés, auteurs présumés du putsch manqué de septembre 2015, a été fixée au 27 février. Les présumés putschistes devront répondre, notamment, d’« atteinte à la sûreté de l’État », de « trahison » et de « meurtre ».
Yah Touré, député élu sous la bannière du Rassemblement des houphouetistes pour la démocratie et la paix (RHDP, mouvance présidentielle) mais issu du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI d’Henri Konan Bédié) a été mis en examen ce lundi, suite à une altercation avec une policière.
Poursuivi par la justice militaire pour « trahison » et « collusion avec une puissance étrangère » dans le cadre de l’enquête sur le coup d’État manqué de septembre 2015, Djibrill Bassolé a été désigné candidat à la présidentielle de 2020 par son parti.
Le procès pour « détournement de fonds » de Khalifa Babacar Sall, député et maire de Dakar, en est à son troisième jour d’audience, ce jeudi. Les débats sur le fond n’ont pas encore commencé : les différentes parties au procès se concentrant sur les aspects de procédures. Suivez ici les débats, heure par heure.
Exilé en Guinée équatoriale depuis son départ de Gambie, Yahya Jammeh vit dans une villa d’État cossue de Sipopo, à une vingtaine de kilomètres de Malabo.
Accusés d’être à l’origine d’une tentative de putsch contre le président Mahamadou Issoufou en décembre 2015, une dizaine de prévenus sont jugés depuis mardi au tribunal militaire de Niamey. Le verdict est attendu « en fin de semaine ».
Le procès du député et maire de Dakar, Khalifa Sall, et de sept coaccusés, entame ce mercredi sa seconde journée d’audience. Il est accusé notamment de « détournements de fonds » dans l’affaire dite de la caisse d’avance. Revivez ici les débats devant la chambre correctionnelle du tribunal de Dakar.
Depuis l’inculpation de Khalifa Ababacar Sall dans l’affaire de la caisse d’avance de la ville de Dakar, la défense de l’édile tente par tous les moyens de retarder le processus judiciaire. De l’autre côté, l’État du Sénégal comme le parquet se montrent désireux de juger le plus rapidement le maire de la capitale. Une bataille procédurale dans laquelle l’enjeu de la présidentielle de 2019 n’est jamais loin.
Reporté deux fois déjà, le procès du député et maire de Dakar Khalifa Sall doit s’ouvrir ce mardi dans la capitale sénégalaise. Avec sept coaccusés, il est accusé de « détournement de fonds » dans l’affaire dite de la caisse d’avance. Retrouvez ici le déroulé de cette audience, heure par heure.
Secrets d’histoire : le 23 janvier 1846 Ahmed Bey décrète la fin de l’esclavage en Tunisie qui devient le premier pays du monde arabo-musulman à défendre la cause abolitionniste.
Près de quatre ans après les faits, l’État congolais, son président Joseph Kabila et cinq autres membres de son entourage ont été jugés le 16 janvier responsables de l’agression de manifestants aux États-Unis. Verdict : plus de 560 000 dollars de dommages et intérêts.
Seize des 22 suspects arrêtés après le massacre de 14 personnes en Casamance, région du sud du Sénégal, ont été inculpés pour « assassinat et participation à un mouvement insurrectionnel » et écroués vendredi, a-t-on appris de sources proches du dossier.
Le verdict est tombé tard dans la nuit du jeudi : Moïse Lida Kouassi, ex-ministre de la Défense de Laurent Gbagbo, et trois autres co-accusés, tous des anciens militaires ayant servi dans l’armée restée fidèle à l’ancien pouvoir, lors de la crise post-électorale de décembre 2010 à avril 2011, ont été condamnés à quinze ans de prison ferme.
L’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo et trois de ses ex-ministres, dont son ancien Premier ministre Gilbert Aké N’Gbo, ont été condamnés jeudi à 20 ans de prison et 329 milliards FCFA d’amende, dans l’affaire du « braquage » de l’Agence nationale de la Banque centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO) pendant la crise post-électorale ivoirienne.
Alors que l’enquête sur le meurtre du militant franco-égyptien, tué à Paris le 4 mai 1978, a été rouverte en France. Ses proches continuent de considérer que c’est au soutien du FLN algérien que le commando d’assassins s’en est pris.
Au deuxième jour de son procès en assises, mardi, Moïse Lida Kouassi, ancien ministre de la Défense de Laurent Gbagbo et ponte du Front populaire ivoirien (FPI) a dit sa part de vérité devant la cour. Morceaux choisis.
Le conseil municipal de la capitale sénégalaise a adopté le 15 janvier une délibération permettant à la municipalité de se constituer partie civile dans l’affaire Khalifa Sall. Le maire de Dakar et sept agents municipaux sont notamment poursuivis pour « détournement de deniers publics » et « blanchiment », pour un montant d’1,8 milliard de francs CFA.