Le suspect, d’origine marocaine, a été mis en détention par la justice belge. Cette affaire est liée à l’arrestation le 2 mars dans le sud du Maroc d’un « extrémiste » marocain affilié à l’organisation jihadiste État islamique.
Au moment où les tensions sont au plus haut entre Paris et Bamako, une organisation de la société civile malienne accuse le ministre français des Affaires étrangères de « complicité de prise illégale et favoritisme » dans l’attribution du marché de confection des passeports biométriques maliens.
En décembre, les deux opposants ont été condamnés respectivement à dix et vingt ans de prison. Ils ont choisi de ne pas faire appel. Quelles sont les perspectives pour eux ?
Lundi 27 décembre, une cinquantaine d’opposants camerounais ont été condamnés pour « insurrection », « rébellion » ou « atteinte à la sûreté de l’État ». Mais pourquoi ces civils ont-ils été jugés par un tribunal militaire ? « Jeune Afrique » lève le voile.
Une enquête du quotidien britannique « The Guardian » révèle des accusations de viol à l’encontre de Patrick Assoumou Eyi, ex-sélectionneur de l’équipe gabonaise des moins de 17 ans. Plusieurs centaines d’enfants auraient été abusés et des personnalités de la Fédération gabonaise de football seraient impliquées.
Nommé procureur adjoint à la Cour pénale internationale (CPI), ce magistrat a auparavant géré des dossiers sensibles, du Sénégal au Rwanda. Avec le départ de Fatou Bensouda, il sera le seul Africain dans l’équipe de Karim Khan.
La star de la rumba congolaise a été condamnée pour la séquestration de quatre de ses anciennes danseuses, mais relaxée des accusations d’agressions sexuelles « au bénéfice du doute », a expliqué la présidente de la 7e chambre correctionnelle de la cour d’appel de Versailles.
Il y a 23 ans, le journaliste burkinabè était assassiné. En plein milieu d’après-midi, le 13 décembre 1998, un véhicule enflammé est retrouvé sur la route nationale 6, près de Sapouy, dans le sud du Burkina Faso. Une macabre découverte qui va secouer le pays jusqu’à son sommet.
« Game changers » (3/7). Ils sont en première ligne sur le front de la lutte contre la corruption et bataillent pour garantir l’indépendance de la justice dans un contexte souvent difficile. Portraits de ces « justiciers » du continent.
Accusé d’avoir tenu des propos « injurieux » à l’égard de Choguel Kokalla Maïga, l’opposant a été placé sous mandat de dépôt. Un nouvel épisode dans le duel qui oppose les deux hommes depuis plus de trente ans.
Accusé d’avoir illégalement dépossédé un particulier de sa parcelle lorsqu’il était l’édile de la commune IV de Bamako, Moussa Mara a été inculpé pour « faux et usage de faux » par le Parquet économique et financier. JA vous dit pourquoi.
Visant à traquer la corruption et l’enrichissement illicite, les opérations Mamba et Scorpion devaient assainir la vie politique et la haute administration. Autopsie d’un échec.
Arrêté au lendemain du 11-Septembre et considéré à tort comme un responsable d’Al-Qaïda, le Mauritanien Mohamedou Ould Slahi a été torturé et emprisonné jusqu’en 2016. Le récit qu’il a fait de sa captivité vient d’être adapté au cinéma. Entretien.
C’est la première fois depuis l’ouverture du procès historique des assassins présumés de Thomas Sankara et ses compagnons que cet homme-clé est interrogé. En l’absence de Blaise Compaoré, il fait figure de principal accusé.
L’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba a été condamné, ce 29 octobre, à cinq ans de prison ferme pour obtention de document administratif sur la base d’une fausse déclaration.
Accusé d’avoir eu un « comportement délictuel via les réseaux sociaux », le quatrième vice-président du CNT dort en prison. Il y a quelques jours, il s’en était pris vertement au Premier ministre, Choguel Maïga.
L’ancien directeur de cabinet du président Ali Bongo Ondimba a comparu cette semaine devant le tribunal correctionnel de Libreville. Il était jugé pour obtention de document administratif sur la base d’une fausse déclaration. Verdict ce 29 octobre.
Le procès de l’ancien Premier ministre congolais Augustin Matata Ponyo, soupçonné de détournement de fonds publics d’un projet agro-alimentaire, doit s’ouvrir lundi 25 octobre à Kinshasa devant la Cour constitutionnelle.
Le jihadiste malien était ce 12 octobre devant les juges de la CPI pour demander une libération anticipée. Condamné en 2016 à neuf ans de prison pour avoir détruit ce site du patrimoine mondial, il s’est présenté comme « un repenti ».
Ils seront au cœur du procès des assassins présumés de Thomas Sankara qui s’ouvre le 11 octobre, tant leur responsabilité directe est pointée du doigt depuis des années. Mais seul Gilbert Diendéré sera à la barre.
Le procès de l’assassinat de Thomas Sankara s’ouvre lundi 11 octobre à Ouagadougou, mais le principal suspect, Blaise Compaoré, n’y assistera pas. L’avocat de l’ancien président burkinabè, Pierre-Olivier Sur, explique les raisons de cette absence.
Le procès des assassins présumés de Thomas Sankara s’ouvrira le 11 octobre. Principal accusé, l’ancien président burkinabè, en exil en Côte d’Ivoire. Pour Guy-Hervé Kam, l’avocat des autres victimes de cette tuerie, son absence n’empêchera pas la manifestation de la vérité.
Depuis le 15 septembre, les rappeurs Kilifeu et Simon sont incarcérés pour trafic de passeports. Or deux députés de la majorité sont cités dans une affaire similaire et les spéculations vont bon train.
Il fut son aide de camp puis un maillon de son dispositif sécuritaire. À l’heure où s’ouvre le procès des assassins présumés du leader révolutionnaire burkinabè, Moussa Diallo s’est confié en exclusivité à Jeune Afrique.
Qui a tué l’ancien président burkinabè, icône de la révolution ? C’est un procès historique qui s’est ouvert le 11 octobre à Ouagadougou, au cours duquel seront notamment jugés Blaise Compaoré, Gilbert Diendéré et Hyacinthe Kafando.
Décédé dans un hôpital malien le 25 septembre, Théoneste Bagosora avait été l’un des protagonistes les plus influents du régime génocidaire. Le chercheur Jacques Morel revient, pour JA, sur son parcours.
Poursuivi dans l’affaire Air IBK, Soumeylou Boubeye Maïga est derrière les barreaux depuis le mois d’août. L’ancien Premier ministre réussira-t-il à se sortir de ce nouveau mauvais pas ?
Ancien procureur national du Rwanda, Alain Bernard Mukuralinda répond aux critiques portées contre la justice de son pays après la condamnation de Paul Rusesabagina à 25 ans de prison pour terrorisme.
Sanctifié par Hollywood à travers le film « Hotel Rwanda », Paul Rusesabagina a été condamné à 25 années de prison par la justice rwandaise pour actes de « terrorisme ». En cause : son rôle dans la rébellion armée du MRCD-FLN, qui a commis des attentats au Rwanda en 2018.