Une ONG accuse des diplomates nord-coréens établis en Afrique de braconnage. Une manne qui contribuerait au financement du programme nucléaire de Pyongyang.
Accusés de se comporter de façon indécente dans une voiture près de Tunis, un Franco-Algérien et une Tunisienne ont été arrêtés puis condamnés à de la prison pour « atteinte aux bonnes mœurs » et « outrage à un fonctionnaire ».
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné jeudi le journaliste Pierre Péan pour avoir laissé entendre que le président gabonais Ali Bongo était à l’origine des tentatives d’assassinat de Jean-Pierre Lemboumba.
Héritage, mariage avec des non-musulmans, gare des enfants, violences… Malgré des avancées, les inégalités hommes-femmes persistent en Afrique du Nord.
Le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes lors de la crise post-électorale, s’est à nouveau exprimé à La Haye mercredi 4 octobre, 8e jour de son témoignage devant la CPI dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé.
Dans une retentissante série d’articles, le site d’information Mediapart écorne quelque peu l’image d’incorruptible du prédécesseur de Fatou Bensouda. De quoi apporter de l’eau au moulin des déserteurs africains de la juridiction de La Haye ?
Le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes lors de la crise post-électorale, s’est exprimé mardi devant la CPI au sujet des munitions entreposées à la présidence et de l’armement dont disposaient le Cecos et la Garde républicaine.
L’ancien chef d’état-major de l’armée ivoirienne témoigne à charge, depuis le 25 septembre, devant la Cour pénale internationale au procès son ancien mentor, Laurent Gbagbo.
L’ancien Premier ministre, ex-ministre de l’Intérieur à l’époque des incidents violents de Siliana lorsque la police a ouvert le feu (à coups de chevrotine) sur les manifestants, a été acquitté de toute responsabilité dans l’affaire des grévistes blessés par balles, qui a remué tout le pays.
Le procès de l’attentat de Sousse en Tunisie, qui avait coûté la vie à 38 touristes étrangers en 2015, a été une nouvelle fois ajourné pour laisser le temps aux avocats de monter leurs dossiers.
L’opposante rwandaise Diane Rwigara, qui avait tenté de se présenter à la dernière présidentielle face à l’homme fort du pays, Paul Kagame, a été inculpée avec sa mère et sa sœur pour « incitation à l’insurrection », a-t-on appris mardi. Une audience préliminaire est programmée ce vendredi 6 octobre à Kigali.
Associations et organisations des droits de l’Homme dénonçaient depuis des mois les pratiques de « refoulement à chaud » de Madrid dans ses enclaves de Melilla et Ceuta, au nord du Maroc. La Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a condamné mardi 3 octobre l’Espagne pour avoir renvoyé collectivement, et sans aucune décision administrative ou judiciaire, des migrants à peine arrivés en terres espagnoles.
Entendu par la Cour pénale internationale dans le cadre du procès de Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ancien chef d’état-major des armées du président Gbagbo, est soumis depuis ce lundi 2 octobre aux questions de la défense. Hier, il a livré sa part de vérité sur les journées chaotiques d’avril 2011.
Réputées proches de la confrérie turque de Fethullah Gülen, accusé par Ankara d’être à l’origine de la tentative de coup d’État durant l’été 2016, les écoles sénégalaises du groupe Yavuz Sélim ont été fermées lundi matin par les forces de l’ordre.
C’est la surprenante déclaration qu’a livré l’ancien chef d’état-major de Laurent Gbagbo à la barre de la Cour pénale internationale, ce lundi 2 octobre. Interrogé par la défense de l’ancien président ivoirien le général Philippe Mangou est revenu dans le détail sur le financement de cette milice d’anciens rebelles qui combattaient les forces pro-Gbagbo pendant la crise post-électorale.
Pour marquer le 12ème anniversaire du référendum de septembre 2005 portant approbation de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale, la télévision algérienne a diffusé, jeudi 29 septembre, un « reportage » avec des images atroces, horribles et insoutenables de victimes du terrorisme barbare qui a endeuillé l’Algérie au cours des années 1990.
Au quatrième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ancien chef d’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu jeudi 28 septembre sur la question des mercenaires et des miliciens, utilisés par le camp Gbagbo, ainsi que sur la répression de certaines manifestations proches d’Alassane Ouattara lors de la crise postélectorale.
Les magistrats de la Grande Île ont décrété mercredi 27 septembre une grève illimitée pour protester contre les atteintes à l’indépendance de la justice. Ils ont été rejoints par les greffiers.
Dans un communiqué diffusé la semaine dernière, la société Commisimpex, qui affirme avoir conclu d’importants contrats d’infrastructures avec le Congo dans les années 1980 pour lesquels elle n’a jamais été payée, a annoncé vouloir mettre en oeuvre une garantie contractuelle accordée par le pays sur ses revenus pétroliers.
Au troisième jour de son témoignage devant la CPI, mercredi 27 septembre, dans le procès Laurent Gbagbo et de son bras droit Charles Blé Goudé, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées, est revenu sur l’attitude jugée par moments « inamicale » de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et sur les décrets signés par Laurent Gbagbo instaurant des couvre-feux sur l’étendue du territoire ivoirien.
À l’occasion de la commémoration des huit ans du massacre du 28 septembre 2009, un groupe de victimes porte plainte contre Sékouba Konaté, ministre de la Défense nationale au moment des faits puis président par intérim de la Transition militaire entre décembre 2009 et décembre 2010.
Au deuxième jour de son témoignage à la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès Laurent Gbagbo et de Charles Blé Goudé, mardi 26 septembre, le général Philippe Mangou, ex-chef d’état-major des armées ivoiriennes, est largement revenu sur les circonstances de la démission envisagée par l’ancien chef de l’État et l’utilisation de mercenaires par ce dernier.
Dans un communiqué, la CPI estime ce mardi 26 septembre que la détention est la seule mesure qui garantisse la participation de l’ancien président à son procès.
Au cœur d’un vaste montage fiscal impliquant trois de ses sociétés, l’homme d’affaires béninois Sébastien Ajavon n’a pas su convaincre la commission chargée de recevoir son recours. Le paiement des 167 milliards de francs CFA (250 millions d’euros) mis à sa charge sous forme de redressement fiscal semble désormais inévitable. À moins de lancer des manœuvres dilatoires qui, au vu des éléments du dossier, ne feraient que différer l’imputation.
Plus de 100 000 victimes ivoiriennes du déversement de déchets toxiques par le cargo Probo Koala, à Abidjan en 2006, tenteront à nouveau, mercredi 27 septembre, de convaincre la justice néerlandaise de juger la société affréteuse Trafigura. Objectif : obliger cette dernières à verser des indemnités.
C’est un officier général très attendu qui témoigne depuis lundi à la barre de la Cour pénale internationale (CPI) dans le procès de l’ex-chef de l’État ivoirien Laurent Gbagbo et de son bras droit, Charles Blé Goudé. Voici ce qu’il a dit le premier jour de son audition.