Le procès des « biens mal-acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait mercredi. Et il a été question, entre autres, de « sentiments ».
Un livre très attendu et des attentes somme toute satisfaites. Mieux qu’un long compte rendu des travaux de l’Instance Équité et Réconciliation (IER), « Kadhalek Kan… » (« ainsi fut-il… ») est une expérience d’écriture qui combine plusieurs approches menée d’une seule traite, la main sur le cœur, par deux anciens « ennemis du régime » marocain.
Alors que, le 19 juin, à Paris, s’est ouvert le procès des biens mal acquis (BMA), dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue (« Teodorín »), vice-président de la Guinée équatoriale, est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la cour provinciale de Malabo a rendu, le 12 juin, un jugement dans cette même affaire.
Le procès dit des biens mal acquis, dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit « Teodorín », est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait lundi, avec l’audition, tant attendue, des témoins. Récit.
Selon l’AFP, la fille et le gendre du président congolais Denis Sassou-Nguesso ont été mis en examen cette semaine dans l’enquête sur l’origine du patrimoine de l’entourage de dirigeants africains en France.
Une dispute meurtrière, jeudi 22 juin, entre deux jeunes a dégénéré en violences tribales près de Sidi Bouzid, dans le centre de la Tunisie, entraînant une intervention de la police dont six membres ont été blessés.
Le procès de Michel Gbagbo pour « divulgation de fausses nouvelles » a été reporté à la semaine prochaine, a annoncé le procureur vendredi 23 juin à Abidjan. Dans une interview accordée en mai 2016 à Koaci.com, le fils de l’ex-président ivoirien avait évoqué la disparition de prisonniers politiques en Côte d’Ivoire.
Les conclusions de la mission préliminaire des experts mandatés par la Cour pénale internationale au Gabon vont être transmises au parquet qui décidera ou non de l’ouverture d’une enquête pour « crime contre l’humanité ».
Le code de la presse, voté à l’Assemblée nationale mardi après huit années de négociations, provoque un sentiment mitigé chez les professionnels du secteur. Si les mesures d’encadrement du statut des journalistes et des entreprises de presse est salué, les inquiétudes sont vives sur de possibles dérives « liberticides ».
Jeudi 22 juin, au troisième jour d’audience du procès dit des biens mal acquis, dans lequel le vice-président équato-guinéen Teodoro Nguema Obiang Mangue est accusé de détournement de fonds publics, de blanchiment et d’abus de confiance, la défense était à pied d’œuvre, tout en pensant déjà à l’étape cruciale de l’audition des témoins. Compte-rendu.
Les attendus du jugement de 33 pages de la Haute Cour de justice d’Afrique du Sud, rendu le 15 juin à Port Elizabeth et concernant la demande de saisie d’une cargaison de phosphate de la mine marocaine de Bou Craa à destination de la Nouvelle-Zélande, ont laissé pantois son propriétaire, l’Office chérifien des phosphates (OCP).
Le vice-président angolais Manuel Vicente a été renvoyé en procès par la justice portugaise mercredi 21 juin. Elle le soupçonne d’avoir versé des pots-de-vin à un procureur pour qu’il classe deux enquêtes le visant en 2012, selon une décision citée par l’agence de presse Lusa. Les enquêtes concernaient l’origine des fonds avec lesquels Manuel Vicente avait acheté un appartement de luxe dans la banlieue de Lisbonne et, d’éventuels fraudes fiscales et blanchiments de capitaux.
L’action judiciaire de Jean-Marie Atangana Mebara se poursuit devant la Cour suprême du Cameroun. L’ex-secrétaire général de la présidence y a déposé des recours portant sur deux de ses trois condamnations pour détournement de fonds publics.
La Cour constitutionnelle sud-africaine a rendu sa décision : le vote de défiance contre le chef de l’État peut se faire à bulletin secret. La plus haute juridiction du pays avait été saisie par l’opposition, qui réclamait ce type de vote à l’Assemblée nationale en raison des risques de menaces pesant sur les députés.
Le président du parti islamiste Ennahdha, Rached Ghannouchi, a annoncé ce mercredi 21 juin avoir porté plainte contre la télévision Sky News Arabia, suite à un reportage l’accusant d’être impliqué dans l’assassinat, en 2013, de l’opposant Chokri Belaïd.
Le procès des « biens mal acquis », dans lequel Teodoro Nguema Obiang Mangue, dit Teodorín, est accusé de détournement de fonds publics, d’abus de confiance et de blanchiment, se poursuivait ce mercredi à Paris. Jeune Afrique y était.
Un soldat somalien a été condamné à la peine de mort lundi 19 juin pour le meurtre du ministre des Travaux publics et de la reconstruction Abdullahi Siraji, survenu en mai. La défense assure que l’accusé a tiré par erreur, alors qu’il était chargé, le soir du drame, de la sécurité d’un autre haut responsable somalien.
Le célèbre mercenaire d’origine britannique et de nationalité sud-africaine avait été condamné en 2008, à Malabo, à 34 années de prison pour une tentative de coup d’Etat, en 2004, contre Teodoro Obiang Nguema Mbasogo. Après avoir présenté ses excuses, il avait finalement été gracié en 2009.
Plainte déposée contre lui en Belgique, sanctions internationales contre les autorités congolaises, violences au Kasaï et évasions successives dans les prisons de la RDC… En séjour à Paris, Alexis Thambwe Mwamba, ministre congolais de la Justice, a répondu mardi aux questions de Jeune Afrique.
Le Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’Homme, Zeid Ra’ad Al Hussein, a accusé mardi des autorités de la RDC, sans préciser lesquelles, d’armer une milice menant d' »horribles attaques » contre les civils dans le Kasaï, au centre du pays.
Après quinze années de procédure, l’entrepreneur camerounais Pius Bissek a obtenu gain de cause face au groupe agroalimentaire suisse. Un remake de David contre Goliath en Afrique centrale.
Juldas Biviga, journaliste de la radio Massanga, a été arrêté samedi 17 juin dans le sud-ouest du Gabon. Il avait diffusé l’interview de Marcel Libama, un syndicaliste qui, lui, a été arrêté le 15 juin. Le journaliste serait poursuivi pour diffamation.
Le président algérien a pris cette décision dans une volonté d’apaisement après que le journal français lui a présenté ses excuses. L’affaire est désormais close.
Samir el-Wafi, célèbre présentateur télé tunisien, a été placé en garde à vue lundi pour soupçon de « corruption et d’escroquerie », a indiqué le Parquet à l’AFP.
La police de Seattle est violemment critiquée depuis la mort, dimanche 18 juin, de Charleena Lyles, une femme noire enceinte, abattue par des policiers au cours d’une intervention. La jeune femme était armée d’un couteau, selon la police, mais « elle aurait pu être maîtrisée » jugent ses proches.
Le procès du vice-président de Guinée équatoriale, Teodoro Nguema Obiang Mangue (appelé Teodorín ), s’est ouvert à Paris ce lundi 19 juin. Les arguments soulevés par la défense pour faire reporter cette procédure historique ont été retoqués par les juges. Les débats ont été vifs. Chronique.
Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, doit l’annoncer dans les prochaines heures : le contingent de 629 Casques bleus congolais déployés à Berberati, la troisième plus grande ville de la République centrafricaine, vont être rapatriés. En cause : des accusations d’agressions sexuelles et de participation à des trafics.
Les conclusions de la contre-expertise réalisée sur les restes présumés de l’ancien président du Burkina-Faso, tué en 1987, jettent à nouveau le trouble sur la localisation de la vraie tombe de Thomas Sankara. « Aucun profil génétique » n’a pu être établi sur les corps exhumés dans la tombe où Thomas Sankara et douze de ses compagnons sont supposés avoir été enterrés, a annoncé l’avocat de la famille après la livraison des résultats lundi 19 juin.
Un Algérien a été condamné à deux ans de prison ferme par le tribunal de Dar El Beida, lundi 19 juin, pour avoir suspendu un nourrisson dans le vide et avoir publié les images sur Facebook. Il menaçait de jeter l’enfant s’il n’obtenait pas un millier de « like ».
Le policier égyptien qui a tué la militante de gauche Shaïmaa al-Sabbagh en janvier 2015 a écopé d’une peine de 10 ans de prison. Il avait été condamné une première fois à 15 ans de prison, mais le jugement avait été cassé en 2016. Il a encore la possibilité de faire appel.