Le patron des patrons béninois, Sébastien Ajavon, a passé ce mercredi une sixième nuit en détention à la gendarmerie de Cotonou. L’homme d’affaires a été arrêté vendredi après la découverte de 18 kilos de cocaïne dans un conteneur destiné à sa société, selon la police.
Ce document, qui devait être initialement publié le 14 octobre, porte principalement sur des soupçons d’influence de la sulfureuse famille d’hommes d’affaires indienne – les Gupta – sur le président sud-africain, au point de lui imposer la nomination de certains ministres pour favoriser leurs intérêts, ou d’user de leur influence pour décrocher des contrats gouvernementaux.
Le procès de l’ex-première dame de Côte d’Ivoire pour crimes contre l’humanité a une nouvelle fois été suspendu mercredi 2 novembre car les personnalités ivoiriennes que la défense veut faire entendre n’avaient pas été convoquées. Il devra reprendre lundi 7 novembre.
Onze personnes ont été présentées à un juge d’instruction au Maroc dans l’affaire de la mort vendredi d’un vendeur de poisson, écrasé accidentellement dans une benne ordure, qui a suscité une vive émotion dans le pays, a indiqué lundi la justice.
La France demande aux trois pays qui ont annoncé leur décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI), qu’ils accusent de cibler essentiellement des pays africains, de « reconsidérer » leur décision, a fait savoir lundi le ministère français des Affaires étrangères.
Le roi du Maroc intervient dans l’affaire du chanteur marocain Saâd Lamjarred, mis en examen et écroué par la justice française pour viol aggravé. Ce lundi, Mohammed VI a mis à la disposition de l’inculpé son avocat, Maître Éric Dupond Moretti. L’affaire se politise.
L’homme d’affaires et ancien candidat à l’élection présidentielle Sébastien Ajavon a été interpellé vendredi après que de la cocaïne a été retrouvée dans un conteneur destiné à sa société, la Cajaf-Comon. Il était toujours détenu par la gendarmerie ce lundi dans la matinée, selon l’un de ses avocats.
Des marches spontanées et désorganisées ont eu lieu ce lundi dans cette ville du nord du Maroc endeuillée par le décès d’un vendeur de poisson. Cinq personnes ont été placées en garde à vue afin de dissiper les zones d’ombre planant encore sur cette mort tragique.
La justice sud-africaine a abandonné les poursuites pour fraude engagées il y a trois semaines contre le ministre des Finances Pravin Gordhan, a annoncé lundi le procureur général. Cette affaire est à l’origine de vives tensions politiques au sein du gouvernement.
Le 29 octobre 1965 était enlevé à Paris le leader de la gauche marocaine Mehdi Ben Barka. Dès lors, on ne le reverra plus jamais, son corps n’ayant jamais été retrouvé. Retour, 56 ans après les faits, sur “l’affaire Ben Barka”, qui reste non élucidée par la justice.
Le chanteur de pop marocain Saad Lamjarred a été mis en examen vendredi soir à Paris notamment pour « viol aggravé » et placé en détention provisoire, a-t-on appris de source judiciaire.
L’ancien chef de la Marine bissau-guinéenne Bubo Na Tchuto, récemment libéré après avoir passé plus de trois ans en prison aux Etats-Unis pour trafic de drogue, a demandé au président José Mario Vaz sa réintégration dans les forces armées.
Le Burundi a notifié formellement aux Nations unies sa décision de se retirer de la Cour pénale internationale (CPI), conformément à la loi adoptée par le Parlement burundais le mercredi 12 octobre dernier et promulguée six jours plus tard par le président Nkurunziza .
La pop star a été arrêtée mercredi à Paris à la suite d’une plainte déposée par une jeune femme pour séquestration et viol. Saâd Lamjarred devrait rester en garde à vue jusqu’à vendredi avant d’être déféré devant le parquet.
Plusieurs médias, tunisiens et étrangers, évoquaient mardi l’arrestation de deux Américains à Jendouba, soupçonnés d’avoir planifié des attaques terroristes et prôné l’application de la Charia en Tunisie. Une information démentie depuis par les autorités locales, qui les ont simplement entendus, l’enquête préliminaire de la police ayant révélé que les deux individus n’avaient aucun lien avec des organisations terroristes.
Attendu au cabinet des avocats de Commisimpex à Washington mercredi pour témoigner, Calixte Ganongo, ministre congolais des Finances, n’a pas fait le déplacement. C’est le nouvel épisode d’un feuilleton judiciaire interminable entre Brazzaville et la société de Mohsen Hojeij.
Le ministre de l’Information gambien a annoncé mardi que son pays allait se retirer de la Cour pénale internationale (CPI). Le pays imite ainsi l’Afrique du Sud et le Burundi, qui ont récemment annoncé leur retrait.
Les retraits du Burundi et de l’Afrique du Sud de la CPI prendront effet dans un an « à compter de la date de réception » de la lettre adressée aux Nations unies. Pour Sidiki Kaba, président de l’Assemblée des États parties au statut de Rome, il est temps de s’atteler à trouver un consensus.
Pascal Simbikangwa, premier condamné en France pour sa participation au génocide de 1994 au Rwanda, fait de nouveau face à la justice française, à partir de mardi. Condamné il y a deux ans à 25 ans de prison pour génocide et complicité de crimes contre l’humanité, il avait fait appel.
La défense de Simone Gbagbo, l’ex-Première dame de Côte d’Ivoire accusée de crimes contre l’humanité, a suspendu lundi sa participation au procès de leur cliente. Les avocats protestent contre la décision de la Cour, qui a refusé de faire témoigner certaines personnalités ivoiriennes.
Cinq ans jour pour jour après l’élection de l’Assemblée constituante tunisienne, le pays se rapproche un peu plus de son objectif d’indépendance judiciaire. Dimanche a eu lieu la première élection des membres du nouveau Conseil supérieur de la magistrature (CSM), dont la création avait été prévue par la Constitution de 2014.
Le tribunal a rejeté la demande d’acquittement du correspondant de RFI, emprisonné pour complicité d’actes terroristes. Même si, un an après son arrestation, aucune preuve n’a été apportée.
25 ans après les faits, la justice a annoncé ce jeudi qu’une trace ADN relevée sur le lieu du crime pouvait correspondre à celle d’un homme, déjà condamné pour violences, enregistré au fichier national automatisé des empreintes génétiques.
Le 29 novembre 2011, Laurent Gbagbo quittait sa résidence surveillée de Korhogo pour être transféré à la prison de Scheveningen, dans les faubourgs de la Haye. Depuis janvier 2016, l’ancien président ivoirien est jugé aux côtés de l’ex-chef des patriotes ivoiriens, Charles Blé Goudé, devant la Cour pénale internationale (CPI). Trois questions pour comprendre l’avancement de la procédure.
Sur les neuf pays qui font l’objet d’une enquête par la Cour Pénale Internationale, huit sont africains. Une statistique qui nourrit les accusations de « chasse raciale » portées par l’Union africaine, dans un contexte tendu. Le Burundi et l’Afrique du Sud viennent en effet de se retirer de la CPI.
De la parole aux actes. Un an après avoir menacé de quitter la Cour pénale internationale (CPI), l’Afrique du Sud a notifié aux Nations Unies son retrait du statut de Rome.
La peine capitale est toujours d’actualité au Mali, un pays de confession musulmane à plus de 90%. Les rares volontés politiques manifestées pour l’abolir butent encore sur une opinion publique opposée à la question.
Avant de mourir à Accra le 3 octobre, Étienne Zongo, l’ancien aide de camp de Thomas Sankara, qui vivait en exil depuis vingt-sept ans, avait pris soin de laisser un témoignage écrit.
L’ancien vice-Président congolais Jean-Pierre Bemba a été reconnu coupable d’atteinte à l’administration de la justice ce mercredi, par la Cour pénale internationale (CPI). Il était aux côtés de quatre autres accusés.