Avec son nouveau roman aux accents théâtraux, l’auteur ivoirien à la verve tranchante revient sur l’occupation de l’église Saint-Bernard, à Paris, en 1996. Et ravive la lutte.
Dans le roman graphique « La fantaisie des Dieux », le journaliste français, qui a couvert le génocide contre les Tutsi au Rwanda en 1994, décrypte l’implication de la France aux côtés des tueurs.
Dans un ouvrage à la fois dense et synthétique, l’historien tunisien M’hamed Oualdi prend à bras le corps cette question complexe. Et étudie les traumatismes contemporains qui en ont découlé.
En trois décennies, l’ancien agent du KGB et actuel président russe a amassé une des fortunes les plus considérables de la planète. Une bande dessinée raconte le système qu’il a mis en œuvre.
Éditeur et auteur de « La légende de Havilah », récit fantastique mêlant Rwanda futuriste et références mythologiques, Manzi Rugirangoga souhaite développer la science-fiction africaine dans son pays et partager la culture rwandaise avec le plus grand nombre.
De plus en plus de journalistes s’emparent du roman graphique pour développer de longs reportages dessinés. Une façon d’alerter sur des discriminations ou d’expliquer des sujets d’actualité.
Phénomène du Salon international de l’édition et du livre de Rabat, l’auteur saoudien de fantasy et de science-fiction amène de nombreux jeunes à la lecture.
Avec « Le psychanalyste de Brazzaville », l’auteur remporte la sixième édition du prix organisé par la Fondation Orange pour promouvoir la littérature écrite et publiée en Afrique.
Dans un album rythmé comme un morceau de jazz, le dessinateur marocain Youssef Daoudi et le poète africain-américain Adrian Matejka racontent le premier « combat du siècle » entre deux poids lourds, Jack Arthur Johnson et James J. Jeffries.
La romancière camerounaise a choisi de faire de la littérature une arme. En ligne de mire, les injustices que subissent les femmes et les enfants nés hors mariage.
L’écrivaine camerounaise multiprimée publie « Le Rêve du pêcheur », son cinquième roman. Une puissante épopée, où il est question des tourments de l’exil, de la quête d’identité et de la solitude. Entretien.
Dans un roman et un documentaire, la journaliste au quotidien français « Libération » retrace la période critique ayant mené au génocide contre les Tutsi. Une histoire qui l’habite depuis 1994.
L’écrivain et metteur en scène rwandais raconte dans « Hewa Rwanda. Lettres aux absents », un texte puissant qui s’appuie sur sa propre histoire, comment on vit avec le génocide, 30 ans après.
En 1998, l’écrivaine ivoirienne Véronique Tadjo a participé à « Rwanda : écrire par devoir de mémoire ». Près de trente ans plus tard, elle revient sur cette expérience et sur l’écriture de son livre « L’Ombre d’Imana », alertant du devoir moral de participer au processus de paix entre Kigali et Kinshasa.
Auteur de « Murambi, le livre des ossements » (Zulma), l’écrivain sénégalais raconte sa participation au mouvement Rwanda : écrire par devoir de mémoire. Celui qui fut lauréat 2022 du Neustadt International Prize for Literature vient de publier Un tombeau pour Kinne Gaajo (Philippe Rey), version française de son deuxième roman en wolof.
En 1998, l’écrivain tchadien Nocky Djedanoum, fondateur de Fest’Africa, invite des écrivains à venir au Rwanda pour écrire sur l’indicible. Cette initiative, unique dans l’histoire de l’Afrique, a donné naissance à une dizaine de textes puissants. L’intéressé nous raconte les intentions qui l’habitaient alors, il y a presque 30 ans.
L’écrivaine guadeloupéenne Maryse Condé est morte dans la nuit du lundi 1er au mardi 2 avril, a annoncé sa fille. Retrouvez notre portrait d’une conteuse hors pair paru en 2017.
L’écrivaine franco-rwandaise, âgée de 67 ans, vient de publier un nouveau roman, « Julienne ». Un ouvrage qui vient ajouter un dernier chapitre à son histoire et celle des siens, assassinés durant le génocide de 1994.
Classée Maison des illustres, cette habitation créole pourrait bien voir le rêve du poète martiniquais se concrétiser. Ce futur lieu de résidence d’artistes accueillera aussi la bibliothèque personnelle et la collection d’art de l’écrivain.
L’historien et politologue camerounais a été désigné, ce 14 mars, lauréat du prix Holberg pour les arts et les lettres, les sciences humaines, le droit et la théologie. Il lui sera décerné le 6 juin prochain à l’Université de Bergen, en Norvège.
Phénomène littéraire stupéfiant, la jeune romancière algérienne a déjà séduit plus de 700 000 fans avec ses histoires d’amour subversives. Refusant l’exercice de l’interview, elle bénéficie néanmoins d’un plan marketing hors normes pour le lancement de sa nouvelle œuvre, « Lakestone ».