Dans une série de décisions datées du lundi 28 novembre, et dont Jeune Afrique a obtenu copie mardi – pour quatre d’entre elles -, la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) décide de « mettre fin jusqu’à nouvel ordre aux activités » de Soleil FM et Sikka TV. Deux médias dont Sébastien Ajavon, l’homme d’affaires et troisième homme de la présidentielle de mars 2016, est le propriétaire. Plusieurs autres médias sont concernés.
L’exécutif gabonais a présenté mardi un nouveau Code de la communication. Son but : empêcher les titres de presse de mener ce que le gouvernement considère comme un « combat politique ».
L’offre publique d’achat, dont les résultats publiés mi-novembre sont passés inaperçus, a rencontré un succès mitigé auprès des petits porteurs. Pour certains experts de Place de Tunis, ce demi-échec peut être perçu comme un signe d’optimisme. Explications.
Ce sont Ismaël Ben Yedder, le fondateur du fonds d’investissement Ingenium Investment Fund, et Mourad Sakli, ministre de la Culture dans le gouvernement de Mehdi Jomâa (2014-2015), qui sont derrière la mystérieuse radio qui émet depuis la mi-2016 dans le Grand Tunis.
Un des rares médias indépendants éthiopiens, le mensuel Addis Standard, cessera de paraître fin octobre. Il ne parvient plus à trouver d’imprimeur ni de distributeur en raison de l’état d’urgence décrété en Éthiopie le 9 octobre.
La Voie Originale et Aujourd’hui, deux quotidiens connus pour leurs positions pro-Gbagbo, ont été suspendus ce vendredi pour quinze parutions par le Conseil national de la presse (CNP), alors que s’ouvre samedi la campagne du référendum constitutionnel.
L’exécutif burkinabè a démarré officiellement mardi les activités d’un Fonds d’appui à la presse privée (FAPP). Doté d’un montant annuel de 700 millions de francs CFA (1 million d’euros), il ne remplace toutefois pas la subvention allouée par l’État aux médias, de 400 millions de francs CFA cette année.
Après Lubumbashi en juillet dernier, le groupe français Canal +, spécialiste de la télévision payante, a lancé son offre TNT à Kinshasa, la capitale de la RD Congo.
CFTV, la chaîne de télévision de l’opposant Vital Kamerhe récemment autorisée à réémettre estime avoir été flouée. Son directeur a dénoncé mercredi l’attribution de sa fréquence à un autre opérateur, dans une correspondance dont l’AFP a eu connaissance.
Le gouvernement mauritanien a interdit aux administrations du pays de passer des annonces dans la presse nationale. Les journaux dénoncent une mesure qui étouffe encore un peu plus un secteur sinistré économiquement.
La Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI) a signé un contrat de coproduction avec la major indienne Zee Entertainment Enterprises Ltd. (Zeel), établie à Bombay, pour une série de 26 épisodes (de vingt-six minutes chacun) qui sera tournée à Dubaï dans quelques semaines.
Les travailleurs des médias du service public burkinabè ont observé mercredi une grève de 24 heures pour réclamer de meilleures conditions de travail et dénoncer l’ingérence des autorités publiques dans le traitement de l’information.
Pour mettre fin à l’anarchie qui règne dans l’audiovisuel, le gouvernement algérien a publié de nouveaux décrets réglementant ce secteur, dont un cahier des charges assez strict en termes de liberté d’expression et de règles d’éthique.
Depuis la réélection du président Idriss Deby Itno au mois d’avril, plus aucun réseau social n’est accessible par la voie habituelle au Tchad, dénonce l’association Trop c’est Trop. Le gouvernement invoque un problème technique.
Le groupe chinois multiplie les opérations séduction envers les dirigeants africains. Et a convié de hauts responsables de 40 pays à Pékin pour leur vendre son expertise dans le domaine de la TNT. Reportage.
La Cour d’Alger a refusé, ce mercredi, la demande de liberté provisoire de Mehdi Benaïssa, directeur de la chaîne KBC et de Ness Prod (filiale du groupe Cevital), de Riyad Hartouf, responsable de la production de l’émission « Nass Stah » et de Mounia Nedjaï, directrice centrale au ministère de la Culture chargée notamment des autorisations de tournage, placés sous mandat de dépôt depuis le 24 juin dernier.
Le tribunal administratif d’Alger s’est prononcé, ce mercredi 13 juillet, pour l’annulation du rachat du groupe de médias El Khabar par Nessprod, filiale du conglomérat Cevital d’Issad Rebrab, première fortune du pays.
Le groupe français Canal +, spécialiste de la télévision payante, poursuit son offensive sur la TNT africaine en lançant une offre à Lubumbashi. En ligne de mire : une clientèle moins aisée que celle de son offre satellitaire.
Le Burkina Faso prépare activement le passage à la télévision numérique terrestre (TNT). La mise en service du projet au coût de 40 milliards de F CFA (61 millions d’euros) n’est toutefois pas attendue avant fin 2017.
Mohamed Toufik Bessaï, président de l’ARPT, a été limogé ce lundi, a appris Jeune Afrique. Cette décision intervient dans un contexte de fortes perturbations sur le réseau internet en Algérie.
Alors que Vivendi vient d’inaugurer sa première salle de spectacle CanalOlympia (concert et cinéma) à Yaoundé au Cameroun et entend en ouvrir d’autres en Afrique centrale et de l’Ouest, un autre spécialiste français de l’industrie culturelle avance tout doucement ses pions dans la région.
Le tribunal administratif d’Alger a ordonné ce mercredi le gel du rachat du groupe de presse algérien « El Khabar » par le groupe de l’entrepreneur Issad Rebrab, première fortune du pays. Un jugement sur le fond du dossier est attendu dans une semaine.
La première salle CanalOlympia a été inaugurée à Yaoundé ce mardi. Son ouverture au public est prévue dans les semaines à venir. Vivendi, présidé par le patron français Vincent Bolloré, prévoit l’ouverture d’autres salles du même type cette année au Bénin, en Guinée, au Sénégal et au Togo.